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C'était minuit, du moins c'est ce qu'il aurait fallu pour que cette image soit parfaite. Mais elle ne l'était pas. Rien de tout ça ne l'était en réalité. Toute sa vie était composé de virgules mal placé et de phrases mal tourné. Alors à la place de pleurer et de se remettre en question à minuit, elle le fait à 16h37 au rebort de sa fenêtre.

Elle aurait voulu voir les vagues. Mais elle ne voulait pas voir les Vagues. Elle sait qu'elles sont derrière, juste derrière. Si un immeuble ne lui coupé pas la vue, elle aurait pu avoir un semblant de perfection. Mais rien de tout ça ne l'était. A son plus grand désespoir. La malchance était tel, qu'elle ne pouvait plus entre le bruit des vagues a cause de la route juste à côté.

Elle vivait maintenant dans un quartier très quotoyé par les voitures.

Pour pleurer toutes les larmes de son corps Elodie n'avait qu'un immeuble froid, une route, est un soleil brillant comme lorsqu'il est 16h37 un jour de juillet.

Même pas capable d'être triste correctement se dit-elle.

Les vagues s'en sont alléOù les histoires vivent. Découvrez maintenant