De Deux Mondes Différents | A.G |

Prologue

PDV Joao :

J'étais en train de finir de m'habiller quand une furie brune entra dans ma chambre.

- Mon grand frère d'amour que j'aime de tout mon cœur !!!

- Non, répondis-je sans même savoir ce qu'elle allait me demander après tout, je la connaissais et vu sa manière de m'appeler cela n'allait sûrement pas me plaire

- Oooh allé fait pas cette tête de toutes façons, tu es obligé, fit-elle en me tirant la langue.

Je me retourner pour lui faire face.

- Et obliger de quoi ma chère et merveilleuse sœur ?

- De nous accompagner moi, maman et papa à la réception qu'organise la famille Grilligni pour les enfants défavorisés souhaitant voir leurs idoles courir derrière un ballon. Me répondit elle avec un grand sourire.

- Quoi ?? Et quand l'invitation à telle était donner ?

- Aujourd'hui pour vendredi alors va vite te trouver un nouveau costard parce que ça va arriver vite et essaye de le prendre gris, histoire d'aller avec ma magnifique robe verte en velours, tu verras elle est su-per-be maman m'a aidé à choisir.

- Je parie 50 balles que tu me l'as déjà acheté mon costume. Quand doit-je aller le chercher Mimi ?

- À 15h demain, et arrête de m'appeler Mimi, et pour me montrer son mécontentement me tapa dans le biceps. Grace à sa force de mouche, je ne sentis absolument rien déclenchant mon rire.

Elle m'envoya un oreiller à la tête déclenchant les hostilités. Je le ramassai et lui renvoya. C'est dans cette cacophonie que ma mère nous retrouva.

Ma mère, bien qu'issue d'une famille riche était une femme simple qui aimait sa famille par-dessus tout. Elle aurait déplacé les montagnes pour mon frère, moi et ma petite sœur. Elle était châtain aux yeux verts, c'est d'ailleurs d'elle que je les tiens, et était plutôt fine, mais avec quelques kilos en trop qui lui allait très bien ainsi que ces minuscules rides qui commencer à se voir. Elle avait épousé mon père qui comme elle, était d'une riche famille, coup de foudre nous ont-ils dit et ça on les croyait dur comme fer vu leur manière d'agir à 45 ans passer.

Mon père était le genre d'homme à ne jamais s'arrêter de bosser. Il avait repris l'entreprise d'un de ces proches amis qui n'avait pas d'héritier, à ces 25 ans et la dirigeait d'une main de fer et bientôt cela sera à moi de prendre la relève et dire que j'angoissais était un doux euphémisme.

Mon père avec ces cheveux grisonnant autrefois d'un magnifique noir et ces yeux brun brillant de fierté me disait toujours de ne pas m'en faire et qu'il sera là chaque jour auprès de moi pour me guider.

- Qu'est-ce que c'est que ce bazar ? Non mais vous avez quel âge ? Nous demanda ma mère, les poings sur les hanches.

- C'est Joao qui a commencé, s'écria ma traite de petite sœur.

- Pas vrai mãe c'est Mia, me défendis-je, elle souffla

- Joao rappelle-moi ton âge ?

- 25 ans, mais 18 dans la tête

- Pff vous êtes des imbéciles regardez-moi ça vous êtes tous débrailler. Cris arrive dans une dizaine de minutes dépêchez-vous de vous rhabiller.

Elle partit avec un léger sourire aux lèvres. Ma mère aimait beaucoup voir la complicité qui nous lier tous les trois bien que Quentin, mon grand frère, a quitté la maison depuis quatre ans juste après avoir terminé ces études de sport. Il est maintenant entraîneur de la Real Sociedad, faisant notre fierté. Ma sœur, elle fait des études de droit dans le but de devenir avocate en droit des familles, ces études était pour le moment très bien partie. A 23 ans ma petite sœur avait déjà tout pour elle tant au niveau physique que psychique.