Hello, helloooo ... Je tenais à m'excuser sincèrement pour les longs mois d'attente ... J'ai vécu une année de licence assez difficile psychologiquement, aussi je n'ai pas forcément eu la tête à l'écriture. Mais maintenant que l'année scolaire est derrière moi, je suis prête à reprendre cette fanfiction :) Je vous présente donc aujourd'hui le septième chapitre. Il s'agit plus d'un chapitre de transition (d'où le fait qu'il soit assez court), pour me permettre de repartir correctement. J'espère néanmoins qu'il vous plaira :) n'hésitez pas à laisser votre avis :)
Je m'excuse encore une fois et vous souhaite une bonne lecture,
SP17.
P.S : je m'excuse par avance pour les éventuelles fautes d'inattention qui pourraient être présentes dans le texte ^^
Chapitre sept :
« Mais enfin, Cole ! Ce sont tes enfants ! La chair de ta chair ! Comment peux-tu leur faire subir une chose pareille ? », s'exclama d'un air légèrement indigné Jerry Goldbayn, avant d'avaler une énième poignée de cacahuètes.
« La chair de sa chair ... deux sales petits morveux qui ne recherchent que les emmerdes, serait une bien meilleure définition, si tu veux mon avis !, intervint un homme de carrure imposante, dont les cheveux d'un roux éclatant se dressaient en épis sur son crâne.
Il s'agissait d'Henry Stern, le bûcheron et le bagarreur le plus reconnu de la région. Personne n'osait le contrarier, pas même ce gredin de Jerry qui, en tant que psychologue le moins recherché du Texas se permettait d'imposer son avis sur n'importe quel sujet, dans n'importe quelle circonstance. Sauf en présence d'Henry, bien évidemment.
« Je les ai vu plusieurs fois se promener dans les bois, continua Henry, après avoir prit une gorgée de bière – une bière blonde au miel, sa préférée –, ils disaient qu'ils ne faisaient que chercher des plantes et cueillir des champignons, mais cet endroit est un véritable repaire pour les trafiquants ... aucun enfant sain d'esprit et tout à fait innocent n'irait se promener là-bas. Nan, moi j'vous dis qu'ils ont réellement un problème, ces gosses. Cole a raison de se montrer sévère. Y'a que comme ça qu'ils vont comprendre. »
Un silence s'installa entre les trois hommes, simplement rompu par les conversations des autres clients du bar. Cole Jones, assis entre ses deux comparses, se tenait immobile, les main posées sur ses cuisses et le regard vide. De nombreux verres vides étaient posés devant lui et, bien qu'il aurait grandement apprécié signifier à Henry combien il était d'accord avec ses propos, les nombreuses bières qu'il avait ingurgité depuis son arrivée dans le bar commençaient d'ores et déjà à faire effet, troublant sa vision et l'empêchant d'ouvrir la bouche. Alors, puisant dans ses toutes dernières forces, et avec quelques secondes de retard, il réussit – après quelques échecs – à hocher la tête à plusieurs reprises, lentement et avec difficulté, comme si elle était faite de plomb. Puis, il s'écroula sans crier gare, la joue droite écrasée contre le bois vernis de la table, et se mit à ronfler bruyamment, s'attirant les regards amusés ou méprisants des tables voisines.
Cole Jones n'était plus l'homme charmant, aimable et aimé qui avait réussi à séduire Iris onze ans auparavant. L'homme au grand sens de l'humour et au visage toujours jovial avait disparu. Il était parti en fumée, remplacé par un homme violent et vulgaire. Les rumeurs les plus folles couraient à son sujet parmi les habitants de l'Olympe et Iris avait voulu vérifier leur véracité par elle-même, animée par le secret espoir que tout avait été inventé de toute pièce par Éros et Aphrodite, les deux meilleurs concierges divins. Mais malheureusement, ce qu'elle avait observé ces trois derniers jours n'avaient fait que confirmer ce que tout le monde disait déjà : Cole était devenu alcoolique et battait ses enfants. Leurs enfants. Une réalité extrêmement douloureuse qui lui donnait des idées affreuses de meurtre et de vengeance : elle qui était de nature assez pacifique, se fit ,ce soir-là, en déposant brutalement son verre d'eau sur la table et en quittant le bar d'un pas précipité, la promesse de tout faire pour venger Ambre et Matthew. Ses enfants. Ses trésors.
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Par Zeus !
FanfictionZeus avait pourtant prévenu. Encore un seul caprice et Apollon serait envoyé chez les Mortels jusqu'à ce qu'il prenne conscience de ses actes. Mais le Dieu du soleil n'avait pas écouté et avait continué à se comporter en une parfaite petite diva, ob...