Chapitre 15 Altesses Royales

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Un siècle et demi plus tard...

- Anarwen ! Arrêtez votre course de cheval avec ses garçons, vos parents vous attendent dans la salle du trône ! S'époumona une elfe, en poursuivant, maintenant, la princesse avec son cheval.

- Essayer de m'attraper ! Répondit cette dernière en riant aux éclats tout en continuant sa course folle sous les regards enjoués des jeunes hommes qui étaient présents.

Nombreux son ceux qui avaient remarqués la ressemblance et la beauté de la princesse à celle de ses parents. Elle possédait de long cheveux blond onduleux ainsi que des yeux bleu ciel. Elle avait une joie de vivre qui pouvait ce lire dans ses yeux et dans les traits de son visage qui redonnait le sourire a tout ceux qui avait le bonheur de la croiser. La jeune princesse avait tout juste 500 ans et tous sure qu'elle allait accomplir de grande chose comme ses parents et ses ancêtres.

Anarwen était vêtue d'une robe d'équitation elfique tinter de vert pâle et d'argent, alors que ses cheveux d'or était coiffé en chignon tout en laissant sortir quelques mèches volant à l'aire libre, la décoiffant quelque peu dans cette course poursuite à travers les arbres du royaume de Mirkwood ou maintenant rebaptiser Vert Bois Le Grand, Forêt Des VertesFeuilles.

Quant à la jeune femme qui l'a poursuivait, elle était une magnifique femme brune, aux yeux bleus faisant ressortir sa peau diaphane. Elle avait une magnifique voix Cristaline qui faisait rêver tout ceux qui lui parlait. Celle-ci, était venue frapper à la porte du roi, il y a de cela plusieurs années, demandant de devenir la gouvernante de la jeune princesse. Le roi, son fils et sa belle fille décidèrent, après quelques discussions, d'engager  la jeune femme, de la nourrir et de la logée au palais, tout en lui souhaitant bonne chance pour son travail, car elle allait en avoir besoin. Voyez-vous la jeune Anarwen est quelque peu turbulente. C'est une jeune femme dynamique et pleine de vie ayant de l'énergie à revendre et un poile têtu tout comme ses parents.

La jeune gouvernante se retrouve donc à courir après la princesse qui ne voulait guère aller dans la salle du trône, préférant courir à cheval avec les princes venus en visite. Après une bonne dizaine de minutes de course interminable, la princesse se cacha à l'intérieur du boxe de son cheval tout en essayant de ne rire pas pour ne pas trahir sa présence, quand elle remarqua sa tutrice passer non loin d'elle. Au moment où elle sortie de sa cachette pensant avoir semée sa gouvernante, cette dernière sortie de l'ombre en attrapant la jeune princesse en rigolant disant alors:

- Je vous ai eu ! Maintenant assez ris, il faut que nous allions dans la salle du trône, nous sommes attendus depuis un moment déjà.

- Pourquoi faut-il y aller à l'instant, Firíel ? Ceci est totalement injuste! J'avais encore envie de concourir contre les garçons. Ne pourrions-nous pas leur faire faux-bond pour une fois et nous y présenter un peu plus tard?

- Non, nous ne pouvons pas , il y a un temps pour s'amuser et un temps pour faire ses devoirs de princesse. Dit la dénommée Firíel, en la regardant d'un œil bienveillant.

- Je sais. Dit la princesse tout en réfléchissant à se qu'elle avait dit avant de lui poser une question qui lui brulait les lèvres.

- Dites-moi Firíel, pourquoi me parlez-vous encore comme si j'étais encore une Elfing ? Je vous signale que j'ai un peu plus de 100 ans et que je suis considérée comme étant majeur. Dit-elle en fronçant les sourcils.

- Oui je le sais, mais vous avez encore beaucoup de chose à apprendre avant de pouvoir vous considérer comme une Elleth accomplie.

- Bien maintenant regarder moi. Dit-elle en changement de sujet.
Vous n'êtes pas aussi nette que je le désirai, mais sa ira, ont va juste remettre vos cheveux en ordre et je crois que cela devrait aller.

Elle brossa ces cheveux et fit deux tresses de chaque côté de sa tête signifiant son rang à la royauté puis une à l'arrière pour dire qu'elle est une guerrière, laissant le reste de ses cheveux tomber jusqu'au milieu de son dos. Une fois là-bas, dans la salle du trône, le Prince Legolas et la Princesse Alésia demeuraient assis sur un trône en bois sculpté de divers motifs, à côté du roi Thranduil. Ce dernier se leva et dit :

-Et bien Anarwen, vous voici ! Est-ce, donc à une jeune princesse de faire attendre le roi et son grand-père?

-Votre Majesté, dit Firíel en s'inclinant respectueusement. Je vous prie de nous excuser ce retard.

Puis Anarwen s'avança un peu plus vers son grand-père en faisant une profonde et jolie révérence dit d'une voix angélique :

- Pardonnez-moi grand-père, j'étais en train de faire des courses de chevaux avec les princes qui sont en visitent.

- Dites-moi, les avez-vous battu ou un jeune prince à réussi à vous battre ? Je ne souhaiterai guère qu'un petit prince gagne sur l'une des mes meilleures personnes à l'équitation. Dit-il avec un sourire amusé en regardant sa petite fille.

- Bien évidemment, aucun chevaux ne peut rivaliser avec ma Nyméria ! Déclare-elle fièrement, avant qu'un troupeau de gardes s'introduisent dans la grande salle, alarmés et visiblement très inquiet de la situation.

- Vos altesses, je vous pris de nous excuser de cette intrusion, mais nous venons à l'instant de trouver une femme inconsciente... Prenant une pause, cherchant les mots appropriés avant de continuer:
-La Dame, dit-il prudemment,  possède le pendentif royal de votre maison! Réussi-il enfin de dire.

- C..c..comment?, bégaya le roi Thranduil complètement incrédule, C'est impossible, ce pendentif a été perdue il y a plusieurs siècles avec le corps de son propriétaire... Ma femme. Tranchât Thranduil d'une voix sévère et douloureuse.

- Où se trouve cette femme, à l'instant? Demanda Alésia, qui jusque là n'avait prononcée aucun mot.

- La Dame se trouve encore à l'extérieur du château majesté, un groupe d'elfe la ramène au palais, au moment même où nous parlons.

-Bien, je vais aller à leur rencontre. Alésia, Anarwen pourriez-vous aller prévenir les guérisseurs et lui faire préparer un lit dans l'infirmerie? Lança Legolas, l'air distrait et curieux de savoir qui diable pouvait être cette Elfe.

Anarwen voulait accompagner son son père chercher la mystérieuse femme, mais décidant que ce n'était le bon moment de l'accompagner, elle se résigna à faire ce que son père leur avait demander et suivie sa mère en parcourant les longs couloirs vide jusqu'à l'infirmerie.

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Voilà, j'ai enfin réussi à publier se chapitre, après une très longue attente. J'espère réellement que vous l'apprécierez même si Legolas et Alésia sont très peu présent.  Vous constaterez, peut-être que j'ai murie au niveau de mon vocabulaire et je souhaite recorriger les premiers chapitres tout en leur apportant des petites (ou grandes) modifications.

** Je vous en pris, commenter l'histoire, c'est toujours apprécier de savoir se que les gens en pense et parce que cette histoire prendra bientôt fin.

Entre amour et guerreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant