« Malgrès les crises jamais j'te laisse, et même quand tu me blesse, et quand tu stress je stress »
BismiLlah
RETOUR DANS MA PEAU (Kawsar)
Je marchais dans un endroit completement vide comme si j'étais dans le néant, un ocean de néant. Mon corp flottait. J'etais là immobile comme si j'attendais quelque chose. Bizzar non ? Je sentais plus mon corp, comme si d'un coup y'avait plus aucune source de stress, plus aucun poid, plus aucune vie en moi.
Et d'un coup j'entends un bruit, il semblait venir de loin mais j'avais en même temps l'impression que j'étais tout pret. Il raisonnait dans mon etre et plus precisement dans mon cœur. J'essaye de me rapprocher et je reconnais des pleurs, ses pleurs. Et d'un coup comme sa je me mets à couler.Et j'ouvre les yeux et je prend une grande bouffé d'air. Comme si pendent un moment j'avais manqué d'oxygène. Mon premier reflexe sa a été de toucher mon ventre. Mon enfant ? Où il est ?
Je regarde autour de moi, j'étais dans une chambre d'hopital, un masque sur la bouche, une charlotte sur la tete surement en guise de voile, une seringue sur le poignet et des capteur un peu partout.
-...: ouiiiiin ooouuuiinnn ouiiinnn
Mon regard s'arrete sur une poussette. J'suis pas folle y'avait un bébé dedans. C'était ses pleurs que j'entendais. Il avait peur, je le sens. Attends est ce que ?
-Moi : mon fils ?
Je me redresse tout doucement et je fini par m'assoir au bord du lit. J'avais la tête qui tournait un peu mais fallait que je me lève pour le voir de mes propres yeux. Je débranche les capteur et retire le masque. Je m'appuie sur le truc qui tenait la poche de sérum et je me lève tout doucement.
-...: ouiiiiin ioouuiinnn
-Moi : j'arrive...t'es pas tout seul *voix rassurante*
Je commence à mettre un pied devant l'autre. Doucement mais surement. J'y étais presque
-Moi : laisse moi le temps d'arriver
J'allais bientot atteindre la poussette mais j'ai pas compris, j'me suis effondré comme une merde. Mes jambes elles repondaient plus. Depuis combien de temps je me suis pas levé ?
J'étais là par terre, incapable de me relever et je me mets à pleurer. Il était juste là dans la poussette et moi j'arrivais pas à me relever.
-Moi : pardon..maman est désolé mon fils, maman est désolé *snif*
Et j'entends la porte s'ouvrir. Je voyait pas qui c'était, y'avait le lit. Les pas se rapproche.
-...: putin Kawsar
Je reconnais sa voix. Hamid. Il me porte en princesse et il me repose sur mon lit. Il prend mon visage dans ses grande mains. Il m'avait manqué. Je voyais sur son visage qu'il était soulager. Et il me serre fort dans ses bras.
-Hamid : me refet plus jamais sa
-Moi : tu m'a manqué aussi
On est resté longtemps comme sa et il se détache de moi.
-Moi : t'es revenu quand ? Pourquoi tu répondais pas à pas mes appels ?
-Hamid : doucement doucement. Tu viens juste de te réveiller. Je vais d'abord chercher un medecin ok
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KAWSAR- la douleur persiste pour qui n'a pas d'espoir
RomanceRÉÉCRITURE Le coeur à ses raisons que la raison ignore. Nos coeur ont leurs rancunes que nos parents ignorent. Comment expliquer aux adultes d'aujourd'hui que les enfants d'hier ont grandis. Que les enfants d'hier ont compris, qu'on écoute plus ce...