|| PARTIE 48 ||- Rien est acquis (1/2)

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« Mais pour mon cœur y'a plus aucun doute je dois m'en aller. Parce que c'est mieux comme ça. Ni la force, ni l'envie de continuer de te mentir mon bébé. Je réalise qu'il n'y a plus d'avenir »



«-Moi : allo ?

-...: ouai allo, c'est qui ?

Mddr mais grave du toupet, sa m'appelle et sa me demande c'est qui.

-Moi : comment sa c'est qui ?

-Hamid : c'est qui ?

-Moi : je sais pas Hamid *à la personne au bout du fil* allo ?

-...: ...»

Et la personne elle raccroche. Mbon.. je serais meme pas dire si c'était un homme ou une femme, j'entendais trop mal et en plus c'était un numéro masqué. Sa devait etre un faux numéro.

Je pose mon tel et je me mets au lit. Je me blotti dans les bras de Hamid. Il me fait un boussah sur le front.

-Hamid : bonne nuit ma femme

-Moi : mhh

Et je ferme mes petits yeux dans les bras de l'homme que j'aime.

#JE PASSE 2 JOURS

Tout se passait beaucoup mieu. On commençait a re avoir la complicité qu'on avait avant. Bref il était dans les environ de 15h, j'avais rendez-vous avec Haroûn à la PMI. C'est mon premier rendez vous avec lui donc j'étais un peux stressé. Hamid il travaillait pas aujourd'hui. Je fini de m'habiller.

-Hamid : c'est bon ?

-Moi : ouai met lui sa veste et apres tu le mets dans le siege

-Hamid : mhh

J'attache bien foulard. Une fois tout le monde pret on descends.

[...]

On était à la PMI, ont attendaient notre tour. Y'avait 2-3 parents et leurs enfants. Y'avait une petite fille qui devait avoir dans les 1-2ans comme sa. Que elle venait voir Haroûn. Une petite français aux yeux bleu et les cheveux blond. Elle état avec son papa.

-Moi : tu regarde mon fils

-Elle : papa yerade bebe

-Son pere : oui chéri, mais touche pas. Il est fragile

-Elle : hein ?

-Son pere : touche pas

-Moi : nan c'est pas grave

Et elle lui carresse les cheveux. C'était trop mignon. Haroûn il l'a regardait avec des grands yeux c'était trop marrant.

*sonnerie*

-Moi : Hamid ton tel

-Hamid : ouai ouai

Il raccroche vite. Je regarde les gens autour de moi et je leur fais un petit sourire de « desoler du dérangement ». Et de là que son téléphine il sonnait.

KAWSAR- la douleur persiste pour qui n'a pas d'espoir Où les histoires vivent. Découvrez maintenant