YOU LOVE ME

Dans les couloirs

Je le regarde pas dans les yeux celle-ci était magnifique si je l'ai regarde je vais me perdre ma connaissance et ma fierté mais je lui parle quand même. Il me fait tellement pas peur.

- Mais toi tes juste qu'un taré de merde. Tu te prends pour qui pour me parler de cette manière dans la classe.
Dis je très en colère.

- Quoi je voulais juste te demander si tu était bonne au... Il est pas sérieux. En plus il continue comme un gamin de dix ans. Il se rendait pas compte comment il était totalement idiots.

- Au ferme ta gueule enculeé. Arrête de te comporter comme un enfant grandis un peu. Je ne suis pas une pute compris.

J'avais la fureur en moi, mon rythme cardiaque montait à chaque mots que je prononçais.

Il me plaque sur le casier il est fort et si rapidement Il avait l'air fâché mais j'avais pas peur de lui non pas du tout.Mais j'étais quand même surpris de son changement d'humeur en une seconde. Sa respiration s'abattait sur mon visage. Il me tenait très ferment pour que je bouge pas. Il se prend pour me tenir de cette façon, je me débat de son emprise.

- Je n'aime pas que des filles comme toi me résiste. Je sais que t'aimerai ça que qu'on baise. Il était en colère mais en même temps amusé.

- Qu'est ce que tu veux dire " des filles comme toi"
Ses mots étaient nette mais pas spécifier. J'attendais au pire de sa raiponce.

- Bah... des pauvres filles comme toi devrais êtres à mes pieds en se moment même.

"Dès pauvre fille" donc c'était ça qu'il me donnait comme image une pauvre fille. Pourquoi me juge-il alors qui connaît strictement rien de moi. Je trouvais arrogant et très méchant.

- Je ne suis pas se genre de filles, tu voudrais que je sois une pute comme la majorité pour facilement m'avoir à ta guise. Je te demanderai de me lâcher s'il te plaît.

Il était trop prêt de moi, nos visages était à quelques centimètres. J'étais quand même mal alaise même si lui il ne l'apercevait pas encore

- Ouais ce l'image que tu donnes de toi mais au fond t'es comme toutes les filles qui rêve qu'un gars les viennent leurs parler un jour.

C'est mots étaient franchement des connerie. Mais il disait tout ça avec un regard pervers et craquant en même temps.

Il se rapproche de plus en plus. mon corps comment à se chauffer mes joue aussi Mon cœur bas si fort je pourrais croire qu'on l'entendre juste en chine. C'est le premier gars a me faire ce genre d'effet. Ses yeux faisait des haut en bas, en regardant mes yeux et mes lèvres en même temps. Ma réputation devenait petit à chaque centimètre qu'il franchissait. Pourquoi je ne réagis pas, était- ce la cause de sa beauté? Mais quand je ferme les yeux pour attendre ses lèvres posées sur les miennes mais sa voix me sort de mon fantasme idiote.

- Voila ce que j'attendais, tu vois je commence à te faire de l'effet. Il avait un sourire sur le coins de ses lèvres. Il était juste sexy à mort. reprend tes esprits lucy. Je l'ai repousse enfin "essaie" ses pectoraux était inversible face à ma force d'une mouche.

- arg .... J'essaie de me degager de lui. Js l'impression que c'est peine perdu. Le gars était bien plus fort que je crois. Il riait face à mes gestes répète plusieurs fois. Une vois qui cris au lion me fait sursauter.

- HEY QU'EST QUE VOUS FAITES LA?!.crias la directrice de loin. Elle marchait très vite avec ses escarpins. Arriver à nous elle regarde tout les deux soucieux, j'étais pas mal gêner de se qu'elle vas penser de nous.

Aucun de nous n'avait répondu à sa question. On se regardait mais il y rien qui sortait notre bouche. Je m'attendais qu'il dise quelque chose vu qu'il avait l'habitude de se faire choper par la direction. Mais cette fois-ci sa manière de répondre c'est de ignorer la madame.

- hé bien je pourrais avoir une explication jeune gens?. Les bras croiser sur sa poitrine elle attendait nos réponses a sa question. Mais on disait toujours rien on fait que la regarder. On pourrait croire qu'on était muette.

Après deux minutes toujours rien que du vent.

- bons je vois alors venez dans mon bureau tout de suite, allez suivez moi.

- Ok.
dis je sans savoirs pourquoi. La journée pourrait pas empirer de plus. Je n'avais jamais problème avec les professeurs non jamais je me faisais toujours discret. J'espère que je vais pas avoir des très gros problème parce que mon père vas Peter un câble si il l'apprend.

Arriver dans son bureau on s'assoies toute les deux. Lui s'en foutais qu'il était là,c'était pas comme si c'était pas la première fois qu'il était la non plus j'imagine. Il arrêtait pas de passer ses mains sur ses lèvres. Je regarde la fenêtre pour ne pas rencontrer le regard glacial de la directrice. Je prenais compte qu'il faisait un temps merveilleux dehors génial.

- Est-ce que un de vous deux pourrais m'expliquer qu'est que vous faisiez dans le couloirs, au lieu d'être en cours. J'attend des raiponce sinon je vous colle des retenues qui diras une semaine.

- Le prof nous a sortie du cours parce qu' on soit disant parlais. dis t'il comme s'il avais rien fait de mal. Le con c'était carrément de sa faute tout cela arrive, mais monsieur est genre ( j'ai rien fait de mal) mon cul ouais.

- C'était vraiment pas une raison de faire...ce que vous faisiez dans le couloirs. Dit-elle, elle voulait pas rentré dans les détails je la comprend.

- Madame, donnez moi ma punition pour que je puisse m'en aller. Dis je parce que je commence à ressentir un peux de malaise dans l'air.

- Je vois que mademoiselle fait à sa tête vous avez se soir une retenu avec Carter à 4h30 soyez y.

Avec lui il y a pas mieux. La chance quoi je serais enfermer pendant une heure avec ce con il y a pas pire punition.

- Carter vous venez juste de commencer alors vos bêtises de gosse de quatre ans arrêtez moi ça vous savez pourquoi votre mère vous a envoyé ici toi et ton frère. Dit elle regardant jack dans les yeux.

Elle nous regarde un moment puis nous dis. Donc se deux dans la famille.

- Vous pouvez sortir. Dit elle suite à un soupire.

On sort moi je marche le plus rapidement possible pour éviter tout contacte avec Jack. Il me causait trop d'ennuis comme ça. Il fallait que je l'évite.

- On se révéra bientôt jolie coeur. Cris- il au bout du couloir.

Je roule les yeux puis continue a marcher. Mon père allait me tuer je le sens. Ma journée était horrible vraiment horrible. C'était pas ordinaire je vous l'assure.
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