Chapitre 5

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POINT DE VUE D'HERMIONE

Sachant que c'était la plus jeune, c'était ironique. On entra chez moi, un petit mot était posé sur la table de la cuisine.
« La chambre d'ami est pour les garçons, les filles dorment avec toi. Les matelas sont déjà en place. On s'organisera mieux demain.
Bisous Papa ».
Je le lus aux autres qui acquièscèrent. Je montrais la chambre aux garçons et montait dans ma chambre en face de celle de Stiles. Quand je vis de la lumière passer sous la porte de mon frère, je poussais doucement la porte, après avoir écouté pour être sûre qu'ils ne me fassent pas une petite nièce. Mais ce que je voyais était trop chou. Lydia était collé à mon frère et il avait un livre sur la poitrine. Il semblerait qu'il ait essayé de m'attendre, et qu'il se soit endormi. Je sortis mon téléphone et pris la scène en photos, parce que cette photo sera dans le diaporama de leur mariage, foi de Stilinsky ! Puis sans demander mon reste, je sortis pour aller me coucher.

En voyant les filles en pyjamas, je me suis rendu compte que j'avais oublier d'en prendre un quand on était à Poudlard. J'eus donc une idée. Je descendis rapidement les escaliers et toquai à la porte des garçons. Drago m'ouvrit la porte quelques secondes plus tard, sa chemise à la main. Il me la tendit avec un grand sourire.

- Je savais que tu allais oublier de prendre ton pyjama.

Je la pris, l'embrassais rapidement en guise de remerciement avant de retourner dans ma chambre. Je me changeais et me couchais entre Ginny et Pansy.

Le lendemain, je me reveillais à 9h. Aucun sorcier n'était levé, je me levais donc sans faire de bruit. J'appelais un short de Stiles et le transformais pour qu'il soit à ma taille. Je le mis en dessous de ma chemise. Je descendis dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Alors que je préparais des pancakes, je sentis deux bras enserrés ma taille.

- Qu'est-ce que j'aime te voir comme ça, dans ma chemise entrain de cuisiner. me chuchota Drago à l'oreille.

Je riais à sa remarque. Je finis de les faire et les posais sur la table. Je demandais à Drago d'aller réveiller les garçons, pendant que j'allais réveiller les filles. Il m'embrassa rapidement et on se sépara. Je galérais un peu pour faire se lever Ginny mais on se retrouva dans la cuisine tous les sept.

- Le programme d'aujourd'hui, shopping. Il faut qu'on fasse de vous de vrai moldu. Je vais appeler des renforts.

Il me regardait en haussant un sourcil.

- Qui ? demanda Pansy.

- Lydia et Jackson ! répondis-je en souriant.

Je sortis mon téléphone et leur envoyait un message. Ils me répondirent qu'ils seraient là à 10h15 maximum. On mangea tranquillement avant de passer les uns après les autres à la salle de bain. On remit nos vêtements de la veille après un petit nettoyage magique. Lydia et Jackson arrivèrent en même temps de Ron, sortait de la salle de bain.

Je leur exposais le programme : Achat de vêtements Moldu, de téléphone, de chaussures.

- Ça va être chaud Mione, tu veux transformer six sorciers en moldu. soupira Jackson.

- Cinq, Harry a été élevé par des Moldu. dis-je.

- Ca va le faire, toute la meute va s'y mettre. nous rassurait Lydia.

On se répartit en deux voitures et partit s'acheter des vêtements : le rayon de Lydia. Elle nous fait passer les uns après les autres. Je ne sais pas comment elle a fait mais le style qu'elle nous avait choisi, correspondait exactement à ce qu'on était. Drago se retrouvait avec t-shirts, jeans slim et veste en cuir, Harry plus ou moins pareil mais avec des chemises à la place des t-shirts et Ron lui, avait des sweats à capuche, des jeans, des jeans slim aussi. Alors que Blaise se contentait de chemises, de jeans et de blaser. Tous leur allaient bien. Pour les filles, Pansy n'avait quasiment que des jupes, plus ou moins longues selon les jupes, elle avait aussi quelques jeans. Ginny avait pris des shorts, des jeans et quelque crop top. Quand à moi, j'avais pris un peu de tout, mais ma tenue préférée restait une robe bordeau qui serrait jusqu'à la taille et qui s'évaser à partir de la taille, elle s'arrêtait aux genoux, avant de sortir de la cabine, je mis une simple veste en cuir. Lorsque je sortis, les garçons avaient des yeux ronds, bouche-bée.

Les filles riaient à la réaction des garçons. On ressortait des magasins avec assez de vêtements pour s'habiller deux mois sans mettre deux fois le même vêtement. Bon, j'exagère...Mais quand même. Vint ensuite le tour des chaussures, je ressortais de là avec dix paires de chaussure, sans parler du reste. Jackson pris les commandes, et nous conseilla des téléphones.

On rentra ensuite chez moi. Je fis a manger, on se changeait et l'après midi, on leur apprit à se servir de leur téléphone. D'un coup, je regardais l'heure, et demandais à Jackson, à quelle heure les autres terminaient.

- Il y a entrainement de lacrosse aujourd'hui. Ils ne vont pas rentrer tout de suite. D'ailleurs, il faut que j'y aille.

- Qui ils ? demandais-je.

- Scott, Isaac, Theo, Liam, moi.

- Attends, tu veux dire que sur dix joueurs, la moitié est des métamorphes ?

- On a Stiles aussi... lâcha t-il en haussant les épaules.

- Quoi ? Stiles est titulaire ? m'exclamai-je.

- Tu ne savais pas ? me demanda Lydia.

- Non ! criai je. Je peux venir s'il te plait ?

- Mais et tes amis ? souffla Jackson.

- On n'est pas en sucres, on peut bien se passer d'elle quelques heures ! intervint Pansy.

- Vous êtes des anges ! Harry, il y a des DVDs si vous voulez ! les informais-je.

- Allez, files ! continua Ginny.

Je regardais rapidement ma tenue, un jeans slim, un debardeur rouge. Je pris ma veste en cuir. Je les embrassais sur les joues, et partis avec Jackson. On alla directement au lycée. Lorsqu'on arrivait là-bas, je me dirigeais vers les gradins après que Jackson m'ait fait un bisou sur la joue, et qu'il soit parti dans les vestiaires. Quand ils sortient tous des vestiaires, je chuchotais pour les lycanthropes :

- Ne dites pas à Stiles que je suis là, je veux voir combien de temps il met à se rendre compte.

Tous rirent à ma déclaration. Stiles les regardait sans comprendre. Ils s'échauffèrent et commencèrent à vouloir jouer. Sauf qu''ils n'étaient que dix-neuf joueurs, il manquait donc quelqu'un. Le coach regardait dans les gradins. Son regard s'arrêta sur moi.

- Toi ! cria t-il en me montrant du doigt.

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