quand le passer refait surface

Chapitre 6

Le chemin jusqu'au bureau du commandant semblé être long pour Alice. Toutes les personnes présentent dans le commissariat avait stoppé net leur travail pour venir saluer la juge mais elle les repousse tous un par un tellement qu'elle était stressée et qu'elle avait peur. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent enfin dans le bureau du commandant où il fut accueilli par Djibril.

Djibril : Madame le juge je suis contente de vous revoir

Alice : Moi aussi Kadiri le divisionnaire n'est pas encore arrivé ?

Djibril : Non, il vient seulement de partir du Palais car il a eu un petit imprévu de dernières minutes mais il ne devrait pas tarder.

Alice s'asseyant sur la chaise de son mari : D'accord.

Marquand : Je vais nous chercher de quoi patienter.

Marquand partie chercher deux cafés et prit un chocolat pour lui. En retournant dan son bureau il croisa le divisionnaire qui venait tout juste d'arriver. Marquand lui fit un débriefe vite fait sur l'état de santé de sa femme et lui demande de ne pas trop être agressif et lui en demander trop car elle était encore fragile. Le divisionnaire lui fit un signe de la tête pour le rassurer et déposa ses affaires dans le bureau de Marquand puis parla quelques minutes avec Alice avant de commencer l'interrogatoire. Djibril était resté derrière la vitre tintée tandis que Marquand lui était présent dans la salle pour soutenir sa femme et surveillé le divisionnaire.

Divisionnaire : Je sais que ce ne sera pas évident pour vous de répondre à mes questions mes cela est important pour l'avancer de l'enquête pour retrouver le complice de Madame Delcourt et surtout les mettre en prison.

Alice : Je sais ... mais apparemment je n'ai pas le choix donc allons-y je ne veux pas y passer trois heures et j'aimerai me reposer.

Divisionnaire : Très bien. Tout d'abord pouvez me décrire l'homme qui vous a séquestré ?

Alice essayant de se souvenir : Je ne peux pas vous dire grand-chose il porter une cagoule sur la tête, un blouson gris en cuir, un pantalon vert foncer et des mocassins noirs. Je ne suis pas sur car j'étais à moitié dans les vapes.

Divisionnaire : C'est déjà un bon début. Vous a-t-il dit quelque chose en particulier ?

Alice : Non pas que je sache.

Divisionnaire : D'après votre rapport médical le médecin indique que vous avez subi des sévices sexuels est ce vraie ?

Alice ne répondit pas et commença à trembler et à avoir les larmes aux yeux. Marquand en voyant que sa femme n'était pas en état de continuer l'interrogatoire demanda au divisionnaire de faire une pause et de continuer plus tard mais celui -ci si opposa ceux qui mot Marquand dans une rage pas possible.

Marquand: Non !!!! Mais attendez-vous rigolez là j'espère vous voyez bien qu'elle n'est pas en état de continuer et pourquoi vous lui poser cette question vous avez la réponse juste sous vos nez !!!

Divisionnaire : Je veux juste savoir si Madame le juge confirme Commandant.

Marquand : vous pensez que les médecins auront rédigé un rapport bidon sur l'état de santé de ma femme !!

Divisionnaire : Je n'ai pas dit sa commandant.

Marquand en colère : Vous le penser tellement fort !!!! Vous voulez quoi que ma femme vous montre c'est bleu et ses blessures ses ça les photos ne vous suffisent pas !!!!!

Alice sentit le ton monté entre son mari et le divisionnaire elle déposa sa main sur le bras de Marquand et le regarda dans les yeux. Elle voulait qu'il se calme car la situation était assez pénible comme ça sans en rajouter. Une fois le calme revenu Alice demanda à continuer l'interrogatoire espérant que sa ne durerait plus très longtemps. Après avoir expliqué les lésions qu'elle avait entre les jambes et les bleues qu'elle avait un peu partout sur son corps. Le divisionnaire relâcha la juge. Le commandant et la juge décidèrent de rentrés chez eux retrouver leurs enfants. Ils prirent donc la direction de la sortie de la brigade quand un brigadier les arrêta. Il venait d'apprendre qu'un meurtre venait de tomber et bien sûr Marquand était le seul commandant disponible.