Le lendemain 7:00 le réveil sonna alors que Fred tendait la main pour l'arrêter Alice elle enfuit sa tête dans l'oreiller, une longue journée attendait le couple. Marquand commença à embrasser sa juge dans le cou pour l'aider à se réveiller. Alice ne bougea pas pour profiter de cet instant, Fred continua à l'embrasser dans le cou, puis descendit plus bas quand on frappa à la porte.
Paul: Maman, Pipou, vous faites encore dodo ?
Marquand: Non mon Paulo tu peux entrer
Ni une ni deux le petit garçon ouvrit la porte et entra dans la chambre avant de se jeter sur le lit. Alice s'était retournée, elle ouvrit les bras pour que Paul s'y réfugie, ce qu'il fit, la Juge le serra contre elle. Fred embrassa son Paulo sur la joue, se leva pour préparer le petit déjeuner et laissa Alice profiter de son fils. Il arriva dans la cuisine, Ada était déjà levée et habillée prête pour une nouvelle journée de collège. Fred embrassa la jeune fille sur la joue puis prépara le petit déjeuner de sa belle et de son fils.
Alice arriva avec Paul dans les bras, elle le déposa sur un tabouret puis embrassa Ada sur la joue, elle s'installa au bar, Fred lui servit son petit déjeuner ainsi qu'à Paul, ils déjeunèrent tous les 4. Une fois terminé, Alice partit se préparer pendant que Fred vérifiait les sacs des enfants pour savoir s'ils avaient tout ce qu'il faut. Alice arriva 10 minutes après, ils partirent tous les 4, d'abord à l'école de Paul, ils y arrivèrent 20 minutes après.
Alice l'embrassant sur la joue: à ce soir mon P'tit Paulo !
Paul : A ce soir maman je t'aime
Alice: Moi aussi
Après avoir embrassé tout le monde le petit garçon partit vers la cour de l'école, le reste de la famille se dirigea vers le collège d'Ada. La jeune fille embrassa ses parents sur la joue et partit en cours pour une nouvelle journée. Le couple prit la direction du Palais de Justice, une fois arrivée, Alice embrassa Marquand avant de quitter la voiture. Elle monta les marches qui menaient à son bureau, salua Victor et s'installa pour faire de la paperasse. Quelques minutes après son installation, la Juge Larrieu qui remplaçait Alice, arriva à son tour et fut surprise de la trouver là.
Larrieu : Bonjour Victor, vous auriez pu me dire que la Juge Nevers avait repris son poste !
Victor : Bonjour Madame le Juge, désolé mais je pensais que le Commandant Marquand s'en était chargé
Larrieu (en rigolant) : Non mais c'est une blague, vous croyez vraiment que le Commandant m'aurait prévenue, vous avez vu nos rapports depuis que je suis arrivée.
Victor : Bah excusez-moi je ne suis pas voyant non plus !!!! Et puis vous savez le Commandant est un homme têtu et borné surtout quand il ne travaille pas avec sa femme.
Larrieu : Mouais ... Mais bon quand même il aurait pu faire un effort.
Alice (se raclant la gorge) : Hum... Hum. Ça va, je ne vous dérange pas tous les deux !
Victor : Désolé Alice. Je vous présente la Juge Larrieu, celle qui vous a remplacée pendant votre absence.
Alice : J'avais cru comprendre Victor. Enchantée, je suis Alice Nevers et bientôt Madame Marquand comme le Commandant Marquand celui que vous critiquez depuis tout à l'heure.
Larrieu (cherchant ses mots) : Heu. Vous ...êtes ...
Alice : Oui nous sommes en couple depuis maintenant quelques années, nous avons deux enfants et nous nous marions bientôt, vous ne le saviez pas ?
Larrieu : Non, personne ne m'avait rien dit.
Alice : Vous savez confrère il faut se renseigner avant de critiquer, surtout quand on parle de mon mari.
Larrieu (regardant Victor) : Et vous ne m'avez rien dit !!! Vous êtes vraiment pareils, vous et le Commandant. Heureusement que j'arrête le remplacement aujourd'hui car j'ai l'impression d'être la dernière roue du carrosse.
Victor n'eut même pas le temps de s'excuser auprès de Florence, que celle-ci avait déjà quitté le bureau. Une fois la Juge partie, ils retournèrent à leur occupation tout en discutant de cette remplaçante. Alice ne supportait pas que l'on parle ainsi de Fred, surtout quand les personnes ne le connaissaient pas. La matinée passa à une vitesse incroyable, l'heure de la pause déjeuner arriva, Fred en profita pour envoyer un petit SMS à sa Juge pour lui proposer de se retrouver sur leur banc habituel pour manger. En recevant le message, elle afficha un énorme sourire sur son visage puis partit rejoindre Fred sans hésitation. Mais en franchissant le portail du Palais, Alice eut comme une sensation d'être suivie. Elle se retourna mais il n'y avait personne alors elle continua son chemin jusqu'au Commandant. Fred l'attendait sur leur banc avec des sushis, le plat préféré d'Alice, quand il la vit arriver il se rendit compte que quelque chose n'allait pas.
Fred : Alice ? Tout va bien ?
Alice: Hum, je comprends pourquoi tu ne t'entendais pas avec la Juge Larrieu !
Fred: Qu'est-ce qu'il s'est passé mon amour ?
Alice: Bah... Elle n'était pas très ravie de savoir que j'avais repris mon poste et que tu ne lui avais rien dit. Et elle a aussi dit que tu étais une tête de mule
Fred l'embrassant: Ne t'inquiètes pas, je m'en fiche de ce qu'elle pense. Car pour moi c'est la Reine des emmerdeuses !
Alice lui lança un de ses plus beaux sourires, celui qui le faisait craquer, Fred l'embrassa de plus en plus passionnément, c'est Alice qui mit fin au baiser pour pouvoir manger. Après avoir pris leur repas, il était temps pour les deux amoureux de retourner au boulot, puis après avoir raccompagné sa Juge, Fred retourna à la brigade.
Il y arriva 10 minutes après et alla vers son bureau, la juge Larrieu était là en train de l'attendre. Marquand lui lança un regard noir pour lui faire comprendre qu'elle n'était pas la bienvenue. Mais elle s'en fichait complètement, elle avait un travail à terminer, détruire la Juge et elle était prête à faire n'importe quoi pour arriver à ses fins.
Ecrit en collaboration avec Julia
Corriger par Dominique
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quand le passer refait surface
FanfictionMa nouvelle fiction sur Alice Nevers qui arrive prochainement. Je l'écris en collaboration avec Julia une fan d'Alice Nevers également. On espère que cette fiction vous plaira. Résumer: Alice viens de se faire enlever mais part qui ? Fred venait de...