Atlas // L entourage

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C'est le grand jour, le jour du départ, ...le grand stress tant que je ne serais pas devant ma maison et devant son visage je serais en stress j'en suis convaincue. Les valises sont prêtes et Mika devrait venir nous chercher d'ici peu. L'homme qui partage mon lit en ce moment, et déjà plus que prêt,  il se refait la liste de ce qu'il doit encore amener à haute voix entre deux œillades et un bisous toujours ce sourire scotché au visage il est surexcité, un vrai gosse. Et moi ? Je traîne, je redoute pour deux apparemment. 

" Ma conscience est clairement en train de se taper la tête contre le mur, Aïe !"  

On frappe. Mo et Élisa passent leurs frimousses de la porte avec Mika à l'arrière, la parfaite équipe, j'aurais pas rêver mieux pour nous accompagner à l'aéroport. 

Mika : Alors prête ? -me faisant un bisous sur le front.

Lilie : Oui il va falloir, regarde le - le désignant du menton. Elle va le trouvé génial hein ? 

Mika : Elle va le trouvé beau et génial car tu l'aimes et que tu es heureuse ! Arrêtes de t'en faire, ok ? 

Lilie : Comment tu fais pour toujours être positif comme çà ! T'es énervant ! Mais merci...- lui mettant un coup de coude dans ses côtes. 

Mo': Bon les enfants, allez on se grouille sinon vous allez rater votre vol !!

Nous voila partit en route, les filles à l'avant avec Élisa au volant, le trajet n'est pas de tout repos, les mecs enchaînent les fous rires et les chamailleries, pas un pour rattraper l'autre ; cette ambiance ne se calme pas avant d'arriver sur le quai d'embarquement.  

Élisa :  Je veux faire une photos avant que vous montiez à bord! Souriez ! Mo' sourit s'il te plait, ça va il n'y a qu'une heure et demie de vol de Biarritz et ils ne partent que quelques jours ! 

Mo' : Vas y, enfonce le couteau dans la plaie, toi ! -  c'est à ce moment là que mon amie décide d'appuyé sur le bouton de son reflex pour capturer le moment, ce qui nous a valu un énième fou rire avant le départ. 

L'annonce de notre vol se fait entendre signal des en-revoir. 

Lilie : Ne fait pas la misère à Elisa pendant mon absence, promis ? T'inquiète pas, tu n'es pas ridicule Mo', j'avoue toi aussi tu vas me manquer! Viens par là ! - nous nous prirent dans les bras sans plus rien dire. 

Mo': Frérot, fais attention à toi, on se capte par téléphone si besoin. -se faisant une accolade  amicale. 

Ken : T'inquiète frère, les mamans m' adores - lui adressant un clin d'œil complice hilare. 

Élisa : Mika attends !-elle  accoure vers lui et  le prend dans ses bras simplement, le rouge jusqu'aux oreilles et balançant ses pieds de droites à gauche timidement. Le malaise de l'un et de l'autre lorsqu'ils se détachent est juste trop mignon.

C'est blottit contre lui que je passe le trajet, il a les écouteurs, les yeux fermés et ses lèvres bougent rapidement, je le déconcentre de temps en temps avec des petits baisers volés ce qui me vaut à chaque fois un sourire enjôleur.  Ben quoi ? Y a pas de petites victoires :) ! 

*****

Ma ville, les rues, la mer, le soleil qui me caresse la peau, rien avait bougé. C'est dingue, cela fait  à peine 15 jours que nous sommes partit et j'ai  l'impression que sa fait des années. Ma vie a changer en tellement peu de temps et pourtant je me suis jamais senti aussi bien que maintenant main dans la main de l'homme que j'aime. 

Mika : Bon moi les tourtereaux, j'ai promis à mes parents que je passerai pour déjeuner avec eux ce midi, donc je vous laisse. Choue, fais un bisous à Victoria pour moi, je passerai plus tard ! Oublie pas les déménageurs arrivent vers 15 h! Je compte sur toi pour être à l'appart . Salut Ken et courage !! - en se moquant de lui. 

Y avait de quoi car plus on approche du but, plus il était tendu, mais très bon comédien pour me dire que tout aller bien. Quand à moi, de mieux en mieux je crois que ce matin je flippais juste de revenir et de me dire que j'avais fais une grosse connerie. Je me suis voilée la face...Nous y voilà devant le porche de ma deuxième mère, notre sac de voyage au pied, le beau brun que j'ai à mes côtés cherche un peu de courage. 

Lilie : Tu me fais rire, - le prenant par la taille, regarde moi s'il te plait. Je t'aime et on va affronter ce moment gênant tout les deux. Prêt ? 

Ken : Maintenant oui ! - me retenant par le poignet alors que je m'apprêtais à prendre notre sac. Laisse je vais le prendre, après vous Mademoiselle. 

Lilie : Charmeur ! 

Ken : Ah non non, je veux juste profitez de la vue ! 

Lilie : Ah là je te retrouve!  

Je frappe à la porte...


  



Follement Lui // NekfeuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant