1 ans plus tard.
8 juin 2018.
Cela fait 1 ans que tu m'a trahis. Et c'est seulement maintenant que j'ai la force d'affronter ma peine.
1 ans que je ne vie plus et je crois que je me déteste plus pour ça que je te déteste toi.
À vrai dire ça fait des mois et des mois que j'attend ton retours. En fin de compte j'ai jamais cessé de t'attendre depuis le jour où tu as franchis ma porte.
Je suis complètement folle. Mon amour pour toi est complètement fou.
Tu aurais put commettre les pires crime, m'assener les pire coups, disparaître pendant des années, je n'aurais jamais gardé de rancune envers toi.
Quand tu était encore présent dans ma vie, je ne me rendais pas compte du bonheur que ta présence m'apportait. Tu as étais ma plus belle relation.
Enfin peut être pas. Mais tu es l'homme, le seul, qui m'a fait gouté à l'amour. Tu es le seule que je n'ai jamais aimé.
Je t'ai toujours beaucoup trop idéalisé, aujourd'hui encore à mon plus grand malheur, mais tu n'es pas l'homme idéal qui s'est inscrit dans mes souvenirs.
Tu m'a fait énormément de mal et malgré le manque constant j'ai appris à vivre sans toi.
Je ne suis plus celle de nos débuts. Je suis tout autre.
Ma vie me paraît plutôt belle. Elle manque de saveur étant donné que tu n'es plus là, mais elle est belle.
Aujourd'hui tu as sonné chez moi.
Je n'ai pas répondu, pas assez de force ou peut être trop de haine.
Tu es revenu mais je ne crains plus ton départ.
J'ai grandis, je n'ai plus besoin de ta présence.
Ça me déchire le coeur de mettre un point final à cette histoire qui à marqué ma vie, mais il le faut.
Je ne veux plus reculer.
Garde moi dans ton coeur, dans ta tête et soit fière de moi car je n'ai plus le besoin vitale de toi.
Rappel toi de mon amour inconditionnel pour ta personne et ne laisse pas l'image de ton départ être notre dernier souvenir.
Rappel toi de nos beau jour et pas de nos jours de crise.
Je suis une femme maintenant et c'est grâce à toi, mais tu n'as plus ta place dans la vie de cette femme.
Merci mon amour, je t'aimerais toujours et je ne garde que le bon mais je me dois de me sauver maintenant.
Léna.
