la peur constante
dés que j'ouvre la porte
que j'y entre
la boule au ventre
rien qu'a l'idée d'y aller
mon corp ne cesse de trembler
car je sais parfaitement
ce qui m'y attend
la peur, la douleur
hante mon cœur
je prie de toute mes force qui se lassent
afin qu'ils cessent
de tordre mon corps
qui n'est pas assez fort
enfin désormais je ne ressens plus rien
car je n'ai plus rien d'humain
je ne fais que survivre
j'ignore ce qu'est "etre libre"
c'est mon destin
on ne me tendra jamais la main
je souffrirai probablement une eternité
tel est ma lourde destinée
sinon il y aura une autre victime...
je me demande a quoi sa rime ?
ils ne cessent de s'amuser
a me briser
mais je me dis tant que c'est moi
et pas toi
je crois que sa me suffit ?
même si vivre m'est interdit
tous les jours
ne dure pas toujours ?
je tenterai de proteger ce qui m'entoure
et le peu qui m'est cher
c'est ce qu'il reste de mon existence
qui n'est d'aucune importance
que je sois blessé
ou même brisé
je ferai de mon mieux
c'est bon je suis heureux
au moin je sers a quelque chose
au moin je peux faire quelque chose
comme je n'ai rien
tout ira bien
même si je ne dis que des mensonges
que j'abandonne mes songe
ce n'est rien
tout va bien....
aujourd'hui ils ont ete plus loin
mon corp ne va pas tres bien
je baigne dans mon sang
ils trouvent sa marrant
pourquoi il n'en finissent pas ?
pourquoi ils m'acheve pas ?
ha ouais je ne peux pas
car sa ne ne vous protegera plus si ils font sa
c'est important
oui vraiment ...
non c'est faux
tout est faux
j'essaie juste de me trouver une raison de vivre
car je souffre
je veux juste me detruire
afin de mourir
oui déchiqueter ce corp
qui n'est pas assez fort
le poignard du mensonge
realise mon veritable songe
et m'as transpercé
les veines coupée
endroit vital
j'ai trop mal
mon corp si detestable
si fragile trop faible
si facile a briser
et dechirer
aussi a tuer
enfin liberé
allez tous vous faire voir
vous qui m'avez enlever tout espoir !
adieu bande de connard !
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L'abîme d'une rose noire
Poetryrecueil de poèmes sombre qui berceront votre pauvre âme tourmentée sombrer dans le désarroi des textes qui vous noieront dans vos propres larmes