Je suis la dans cette chaleur
A attendre
En plein été
Alors que c'est désespéré
Je regarde les rare passant
Je les observe de notre vieux banc
Ces beau couple trop parfait
Alors qu'au fond
Je sais que tu ne viendra pas...
Je déteste les beaux été
Je les haï
Il rappelle de mauvais souvenirs
Remplis de douleur
La vie est si courte
Tu avais pourtant l'air si forte
On aurait dit que rien ne pouvais t'atteindre
Tant tu étais gâtée par la nature
Il a suffit de peu
Juste un glissement de pneu
Un feu rouge
Un camion avec une grosse charge
Et moi juste derrière
Qui tente avec la peur au ventre
De te sauver te rattraper
Mais de mes main tu as glisser
Le bruit qui fait encore mal
Les corneilles
Et puis cette couleur pourpre
Qui s'étend par terre
Et ton corps si beau si fort inerte
Tout s'arrête
Oui mon coeur
Tout même la douleur
De mes muscle tendu
Je suis perdu
Dans cette odeur saturée par le sang
Et l'essence qui découle lentement
Je tente de te réveiller
Encore et encore sans succès
Je te demande d'arrêter tes blagues idiote
Car j'ai besoin que tu reste
Tu pouvais pas être morte
Mais tu mas quand même abandonné
Et me voilà avec des souvenir empoisonné
A attendre a notre endroit
Dans le désarroi
J'attends toujours jusque la nuit
Ou sans bruit
Je m'enferme corps et âmes
Et verse mes larmes
Et pourtant le lendemain J'oublierai
Et recommencerait
Encore et encore
A replonger dans le souvenir
Une boucle sans fin
Et ainsi jusqu'à ma propre mort
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L'abîme d'une rose noire
Poetryrecueil de poèmes sombre qui berceront votre pauvre âme tourmentée sombrer dans le désarroi des textes qui vous noieront dans vos propres larmes