L'abîme d'une rose noire

psychopates

Quand j'etais petit
J'etais different
J'etais pas comme les autres enfant
Plutot solitaire
Pour mon âge un peu sombre
Je restais a l'ecart
Sans reellement en patîr
Sa inquietait mes parents
Car je ne parlais vraiment
J'aime bien me faire mal
A ce qu'il paraît cest pas normal
Mais n'es ce pas le seul instant
Ou on se sent le plus vivant ?
Le moment ou on est juste au porte de la mort
Ou tout se joue dans notre regard
Moi je voulais aller plus loin
Je sais juste que c'est pas bien
Mais je culpabilise pas
Les emotion ne viennent pas
Juste la frustraction
Puis l'excitation
Dabord sa ete les animaux
Ensuite les couteaux
Les voir mourir dans la douleur
Revele leurs veritable nature
Mais leurs insignifiante vie perdue
ne me suffit plus
Je veux voir le regard de ma mere
Dans sa veritable nature
Je veux voir le desespoir
Dans le regard de mon pere
Qui assiste impuissant
En me Suppliant
Pendant que je torture ma mère
J'assume que je sois un monstre
Determine couteaux a la main
J'attend dans la salle de bain
Je dois assouvir mon fantasme
Qui vient du trefond de mon âme
Je me souviens sa ne s'est pas deroulé comme je l'imaginais
C'etait bien plus excitant
Le fait qu'il voient leurs tendre enfant
Devenir leurs bourreaux
C'etait presque trop beau
Depuis c'est comme une adrenaline
une obsession qui jamais ne se termine
Meutre aprés meutres
Sa deviens mes chefs d'oeuvres
Poursuivre, torturer, jouer
Et enfin tel une faucheuse achever
La justice se rapproche
Mais n'est pas encore assez proche
Je suis bien plus intelligent
Je vaux mieux que ses gens
Mais un jour le monstre
Comme ses cauchemar
Sans qu'il ne le vois
Deviend la proie
Dans son dernier soupir
Dans sa mort
Il ne s'etais jamais sentit aussi vivant....