l'immortalité

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la vie est éphemère

mais moi c'est un enfer

car je suis immortel

je suis condamné a une souffrance eternelle

je vois tout

et sa me rend fou

je vous vois tous vous eteindre

les uns aprés les autres

mes lourdes chaînes

sont ma seule compagnie qui me comprenne

mais elles ne peuvent se brisers

elle m'empêche d'aimer

depuis que je t'ai rencontré

tout c'est amplifié

je ne peut rien faire

c'est pire qu'un enfer

la peur de ta perte

notre déstinée déja toute faite

je suis condamné a vivre

et toi a perir

un jour en larme dû a notre desaroi

tu me supplia "détruis-moi"

pour la première fois mes larmes coulérent

car ta maladie rends ta vie éphemère

cette peur constante

que pour de bon tu parte

dés que tu ferme les yeux

car tu te raproche des cieux

ton existence est si fragile

et mon coeur ne tiens qu'a un fil

nous aimers est plus qu'interdit

on l'avais bien compris

mais comment arrêter de tels sentiments

nous qui sommes pourtant si differents

et ce malheureux jour est bien trop vite arrivé

ton heure a sonné

je t'ai fermer les yeux

mon ventre s'est remplit de feux

mon coeur a jamis brisé

je n'ai plus qu'un souhait

cette profonde tristesse

il faut que ma vie cesse

aprés tout elle est ilogique

mon existence même est ilogique

dû mon si sombre desespoir

comme je n'avais aucun espoir

la mort m'accorda ce beau sommeil

celui sans reveil

je vous quitte avec le sourire

adieu j'ai toujours voulu le dire

je quitte ce desaroi

attends-moi

je l'ai tant prié

je l'ai tant souhaité

aprés tout une tel existence

est de base denoué de sens

même dans cette route sans retour

je t'aimerai toujours

même dans les plus profonds des abîmes

L'abîme d'une rose noireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant