Si tu me donnais ton coeur.
J'en prendrai soin
Certainement mieux que le mien.
Qui a tant besoins de ta chaleur.
Si je parvenais a te haïr.
Es ce que tu pourra m'aimer
Toi qui m'a toujours détester.
Je t'aime à en mourir
Sa fait mal tu sais.
Tes mots me transperce.
Et me blesse
Car tu ne cesse de me haïr.
Si c'est si désespèré
Pour avoir une place
Dans ton existence
Pourquoi encore je l'espère ?
Tue moi.
Je t'en supplie.
Est un peu de pitié pour mon âme meurtrie.
Je ne t'ai jamais vu sourire.
Tu me jette toujours ses regards de dégoût et de haine.
Toute cette douleur est comme une lourde chaîne.
Mais c'est mon seul lien pour te voir.
Mais un jour un accident.
Je fus le premier à accourir.
Tu me lance ce regard.
si méprisant blessant.
Inconsciente dans ton lit d'hôpital.
Je ne cesse de hurler
Je suis désespéré.
Tu sais j'ai mal
Je ne suis pas insensible.
Je suis la devant toi
Mes larmes de desaroi.
Sont à présent visible.
Laisse moi mourir.
Alors effacé toute trace.
De mon existence
Et de mes douloureux souvenirs.
Détruis moi.
Libéré moi
Tué moi
Ou aime moi
Sa fait mal tu sais
Je suis perdu
Si confus
Je t'aimais
J etais prêt à tout
Pour juste un peu de ta chaleur.
Je t aurai donne mon coeur.
Même si tu t'en fou
Tu me hais
Ton regard me l'a dit
Même tes gestes me l'on dit.
Et pourtant je t'ai toujours aimée
Pourquoi tu ne te réveille pas.
Viens et tué moi
Je veux que ce soit toi
Alors pourquoi tu ne reviendrai pas.
Alors tu n'aura cesse de me haïr.
Et moi de t'aimer
Même après que tout sois terminé.
Tu m'aura haï jusqu'à ton dernier soupir.
Es ce que je vis encore?
Sa parait évident
Pour être franc
Je suis déjà mort
Alors que je meurs
Ne fais aucune différence.
Sa n'est d'aucune importance
C'est déjà un enfer
Je ne vis plus
Plus aucun avenir
Je n'ai cessé de souffrir.
Pour toi qui n'est plus
Maintenant mon coeur s'arrête.
Le temps s'est immobilisé.
Mon corp blessé
S'est raidit,s'est glacé
Et mon âme enchaînée.
Enfin libre
De disparaître
Je me suis envolé
Moi qui n'ai pas d'ailes
Tellement brisé
Qui a pourtant tant aimé.
Qui suis si fragile
Je meurs enfin
Dans les ténèbres
Car je suis tel une ombre.
Voilà où est ma fin
Adieu
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L'abîme d'une rose noire
Poésierecueil de poèmes sombre qui berceront votre pauvre âme tourmentée sombrer dans le désarroi des textes qui vous noieront dans vos propres larmes