Il sirotait son jus en ne me quittant pas des yeux.
- une intuition ? Tu en ai sûre Emma?
- oui.
Son regard s'emplissait d'une étrange lumière. Il dépose la boîte et comble rapidement l'espace qui nous separais.
- une simple intuition Emma ? , murmure t il sensuellement
Il repoussa mes cheveux et me fis un baiser dans le cou. Mon souffle se hacha net. Des frissons parcoururent mon corps. Il frôla mes lèvres et je me sentais déjà envahir d'une chaleur nouvelle pendant que je plongeais dans ces yeux.
- Rappelle toi Emma.
Et il scella nos lèvres.
Pendant un instant, je crû encore être dans l'un de mes rêve fantasmagorique, mais non! C'était bien ces lèvres d'une douceur infini, d'un goût exquis et d'une tendresse comparable à aucune autre.
Il posa sa main sur ma hanche et me rapprocha de lui. En profitant de mon moment d'incompréhension, il avait glissé sa langue à l'intérieur de ma bouche. Et dès que je posa mes mains sur son torse une étrange chaleur s'était émané et s'était répondu dans tout mon corps en se logeant dans mes reins.
Il laisse ma bouche mais continue ces baisers sur ma mâchoire et dans mon cou. Je murmurai son nom tant ces sensations m'étaient à la fois inconnu et tellement enivrante.
Délicatement, il m'avait allongé sur son lit et ce n'était qu'en entendant les grincements du meuble que je revins à la réalité. Je le repousse légèrement en reprenant ma respiration et essaye de faire disparaître le rouge de mes joues.
Je n'allais quand même pas dépasser ce cap avec lui. Je ne le connaissais presque pas, c'était un inconnu.
- Emma ?, me demande t il doucement en me foudroyant du regard lui aussi en reprenant sa respiration.
- Dylan...je..peux pas. Tu ...enfin je...
- Emma...
Il se redresse, assit à califourchon sur moi et retire son t-shirt. Je voulais faire partir le rouge de mes joues et bhein là c'est mal partie... Dylan avait un corps taillé dans la pierre. Je dû me mordre la lèvre pour ne pas baver devant tant de virilité.
- alors tu as tout oublier Emma?, murmure t il en faisant glisser sa main sous ma robe.
J'allais craquer. C'était insoutenable. Sa main était d'une douceur.
- et pourtant cela ne date pas de si longtemps. Il y a 5 ans à peine.
Je venais de me faire dépouiller de ma robe. Dylan avait repris ces baisers langoureux sur toutes les parcelles de ma peau. Mais il fallait que je l'empêche d'aller plus loin. J'allais passer pour quoi ? Une dépravé ? Non il fallait que je résiste.
Dès qu'il revint à mon visage pour essayer de m'embrasser à nouveau, j'essaiya de le repousser mais mes lèvres n'étaient pas de cet avis, elles ne voulaient que rencontrer les siennes. Alors je tente avec mes mains mais il s'en saisit en murmurant à mon oreille de me laisser faire. Il les empêcha de bouger d'une main et avait continué ces caresse cette fois à mon intimité encore cacher par mon sous vêtement. Mais je me sentais flancher, m'abandonner. Je voulais plonger dans l'ivresse de ces sensations, être sienne, lui appartenir.
- Rappel toi Emma, à quelle point je t'aimais et que je t'aime encore.
Dès qu'il finit sa phrase, je crûs fondre. Il m'aime.... Et dès qu'il scella nos lèvres, je sentais que moi aussi je l'aimais et depuis longtemps. Dès que mon bout de tissus s'évapora, l'envie pris le dessus sur ma raison et je m'étais agrippé à lui tel un enfant à une boué de sauvetage en savant d'Ors et déjà que j'allais vaciller, et dès que le premier coup de rein eut lieu, je regretta presque aussitôt de l'avoir empêcher de nous unir à jamais...
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Je m'assis lentement sur mon lit, en faisant en sorte de ne pas me faire entendre. J'étais rentré à la maison, comme un voleur, sans même dire bonsoir à mon père ou à ma mère, de peur qu'il ne remarque un truc différent sur moi et que je me sentes tellement gêné parce que la chose qui avait disparu était ma virginité.
Je poussa un long soupire en caressant la marque violacé faite à la naissance de mes seins. Un suçon. Par tous les saints de Dieu, un suçon visible à dix kilomètres !
En repensant à la personne qui avait commis cette acte , des frissons parcoururent mon corps et je m'empourprais aussitôt. Je me leva du lit en secouant la tête histoire de chasser ces pensées et vit ma tête. J'avais des nœuds dans les cheveux. Très peu visible, mais ils étaient là. Mais mon peigne lui était cassé. Va pour celui de Théa.
Je m'introduisi dans la chambre de ma soeur et alla récupérer son peigne près de son miroir en face de son lit.
Elle a à peine quelques bijoux. Un scintillement dans le miroir attire mon attention ou plutôt sous le lit de ma soeur. Peut être elle a fait tomber quelque chose? Je m'avance près du lit et fit glisser ma main en dessous. J'en ressorti une boite en métal magnifiquement décoré, mais fermé à clé. À qui appartient cette boîte ? La clé ne doit pas être loin.
Je fouilla sa chambre et retrouve la clé sous l'oreiller. Mais au moment où j'allais ouvrir la boîte j'entends la voix de Théa au salon. Je cours me réfugier dans ma chambre et cache à mon tour la boîte sous le lit quand Théa fit son apparition.
- bonsoir sœurette, dis je en affichant un sourire faussement joyeux.
- bonsoir Emma, comment c'est passé ta journée ?, me répondit elle en s'asseyant près de moi les sourcils froncés.
OK, on respire Emma.
- c'était... C'était cool.
- cool? Alors que t'as pût... Enfin... Le revoir.
- bhein euh, wai c'était cool, répondis je en fermant mon blouson pour cacher suçon.
Théa se leva en fronçant les sourcils et sortis sans un mot. Je m'emparra de la boîte. Ce n'est vraiment pas le style de Théa cette boîte, est ce vraiment à elle? Je mis la clé dans le trou de la serrure et deverrouille la boîte.
- Mon Dieu...
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un coeur de psychopathe { Tome 1 ]✅✔
Teen FictionSon regard perturbait tellement. Même son sourire sadique le rendait craquant. Le lycée Willsaer avait organisé une séance de bénévolat à l'hôpital psychiatrique où y travaillait ma soeur. Pendant tout un mois,nous nous sommes occupé des personnes a...