Chapitre 19: De mariage à enteremment

869 44 32
                                    

Encore une fois, quand un peu de lumière arrivait dans notre vie, l'ombre venait l'a recouvrir aussitôt...

S: Dégage d'ici vipère !
M: Pourquoi dégager quand je suis chez moi ?!
J: Je crois que tu t'es trompé de territoire Malachaï !
M: Ho crois moi Jones je ne me trompe jamais ! Il est temps que les Ghoulies mettent un therme au « règne » des Serpents !
J: Écoute Malachaï je vais te laisser une chance de déguerpir de notre bar avant que mes Serpents se charge de ton cas !
M: Mais je t'en pris...Ça laissera juste le temps à mes Ghoulies d'égorger quelqu'un ! Pourquoi pas cette merveilleuse Toni ?! Après tout depuis le temps qu'elle échappe à la mort il serait temps qu'elle y passe !
S: Cette fois je vais me le faire !

Tout les Ghoulies rentrèrent à leur tour dans le bar et Fangs du retenir Sweet pour éviter une catastrophe...

J: Je veux pas d'une effusion de sang Malachaï alors toi et tes Ghoulies rentraient chez vous et j'oublierais tout !
M: Si tu étais un bon leader Jones, tu saurait qu'il n'y a que par le sang qu'on se fait respecter par ses ennemis !
C: Et à quoi ça vous sert tout ça ? C'est vrai vous avez chacun votre territoire alors où est le soucis ?! Vous persistez à vous faire la guerre mais savais vous au moins quel en es l'intérêt ? Parce que personnellement je n'en vois aucun !

Cheryl n'avait pas complètement tort ! Les Serpents et Ghoulies s'haissaient tellement que aucuns n'avait jamais vraiment réfléchi à la raison même de leurs querelles. Mais autant dire que faire entendre raison à Malachaï était peine perdue...

M: Moi j'en vois un...La satisfaction de voir le cadavre de ta copine ! D'ailleurs il me semble qu'on a une bataille à finir...
T: Comme tu l'a si bien dit je m'en sors toujours !
M: Ho crois moi cette fois tu ne t'en sortira pas Topaz...

Malachaï sonna l'ordre d'attaque et Serpents et Ghoulies commencèrent une bataille sans merci. Vu l'intensité et la violence de la baston cette fois il m'était impensable que aucune mort ne serait à déplorer. Il fallait donc que je m'assure que Cheryl ne ferait pas parti des victimes quitte à ce que j'en fasse moi même partie. Par chance, nous avions réussi à nous faufiler derrière le bar sans nous faire remarquer...

T: Tu bouge pas d'ici tant que je suis pas revenu te chercher d'accord ?
C: Et tu crois vraiment que je vais rester là sans rien faire alors que ma petite amie risque sa vie pour moi ?!
T: Cheryl je peux pas être 100 % concentré sur le combat si je m'inquiète pour toi !
C: T'es pas obligé d'y retourner ! Les Serpents repousseront les Ghoulies encore une fois et...
T: Et après ? Malachaï reviendra encore et encore ?! J'en ai marre de fuir, me cacher, me battre pour survivre ! Je dois mettre un therme à tout ça...
C: Qu'est-ce que tu entends par « mettre un therme à tout ça » ?
T: Je vais tuer Malachaï !

J'embrassais Cheryl en espérant que se ne serait pas la dernière fois et surtout en espérant qu'elle resterait cacher comme prévue. Je repéra assez vite Malachaï et me fraya un chemin jusqu'à lui, mettant quelques Ghoulies ko au passage...

T: Je me charge de son cas Sweet...

Sweet compris à mon ton qu'il serait inutile de négocier et parti prêter main fortes aux Serpents...

M: Alors comme ça on veut son duel Topaz ?
T: C'est entre toi et moi maintenant Malachaï ! Se sera toi ou moi...

Les coups fusaient et l'un comme l'autre, nous ne tardions pas à avoir le nez et les lèvres en sang. La douleur des nombreux hématomes et la fatigue commençaient aussi à se faire ressentir mais ni lui ni moi ne voulions déclarer forfait sachant pertinemment que nous signerons notre arrêt de mort. Alors que je m'apprêtais à lui donner un autre coup, il contra mon attaque et me tordit le bras droit. Je m'écroulas à terre, tenant mon bras souffrant mais me retenant de crier pour ne pas « alerter » Cheryl et l'a faire sortir de sa « cachette ». Et comme le lâche qu'il était, voyant que j'étais à terre et sans défense, il s'empressa de me planter son couteau en plein dans le bras gauche. Encore une fois malgré la douleur atroce que me procurait cette blessure, je me retint de crier pensant avant tout à la sécurité de ma fiancée...

She is the one Où les histoires vivent. Découvrez maintenant