* When you feel like giving up, remember why you held on for so long in the first place*Je lève ma tête lentement vers elle alors qu'elle est toujours dans la même position. Je monte une des marches de l'échelle qui amène jusqu'à son lit et la prend violemment par les cheveux.
Un cri de douleur essaye de s'échapper mais je place ma main sur sa bouche pour la faire taire.
Je m'approche de son oreille et chuchote :Moi : C'est la dernière fois que tu appelle mon mari comme ça, est-ce clair ?
Elle hoche la tête.
Moi : D'ailleurs n'en parle plus du tout tu sera mignonne.
Je lâche ses cheveux aussi violemment que je les aient pris et elle recule précipitamment pour rejoindre le bout de son lit, recroquevillé comme tout à l'heure.
Des larmes coulent le long de ses joues et elle est toute pâle.Je me couche sur mon lit alors que je l'entends sangloté. Je ne voulais pas la faire pleuré ou même lui faire peur mais quand il s'agit de Jace toute ma gentillesse et mon sang froid s'envole.
Je déteste qu'on l'appelle comme ça. Même si il était un peux dérangé ce n'était pas un fou, je le sais. Il... il était juste sous l'effet de la drogue c'est tout.
... *pleures* : Je suis désolé.
Moi : Ferme ta gueule et dort.
... : Je fais toujours tout de travers *pleures*
Je pousse un long soupire. Quand ça commence comme ça je sais comment ça se termine. Pourquoi ça m'arrive à moi sérieux ?
Moi : Descend !
Elle : Qu...Quoi ? Non pardon je ne parlerais plus c'est promis.
Moi *en chuchotant* : Dans quelle merde j'me suis fourré putain.
Je passe ma main sur mon visage pendant que je descends de mon lit. Je monte sur le sien sous son regard apeuré. Je m'assois juste en face d'elle en croisant les jambes.
Je la regarde pendant un p'tit moment.
Moi : C'est quoi ton prénom ?
Elle : Ma...Madilyn.
Moi : Tu a quel âge ?
Elle : 18.
Moi : Pourquoi tu a fais ce braquage ?
Elle me regarde avec de grands yeux.
Moi : Les choses vont vite ici chérie. Alors ?
Elle : Parce que mes amis me l'ont demander. Ils...Ils avaient besoin d'une quatrième personne.
Moi : Ils sont où en ce moment ?
Elle : Je ne sais pas.
Moi : Ne me dis pas que tu es la seule à t'être fait prendre ?
Elle :
Moi : Alors ?
Elle : Mais tu m'a dit de pas te le dire.
J'ai secoué la tête. Elle me désespère cette fille. Elle est beaucoup trop naïve.
Moi : Et tu appelle ça des potes encore ? Mais tu ne les a pas balancé au flic ?
Elle : Non...on...on avait un accord avant le braquage. Si un se faisait prendre ils ne devaient rien dire.
Moi *soupire* : T'a au moins le mérite d'être loyale mais entre nous t'es quand même idiote.
Elle : Merci c'est sympas.
Moi : Oh de rien.
On est resté silencieuse pendant un p'tit moment. Elle m'intrigue quand même cette p'tite.
Moi : À part le fait que ce soit eux qui t'ai entraîner la dedans, qu'est-ce qui t'a poussé à aller jusqu'au bout ?
Elle m'a regardé un moment puis à baissé la tête. En général ça veut dire "je n'ai pas envie d'en parlé".
Moi : T'inquiète je ne te force à rien.
Je suis aller me mettre à côté d'elle en m'adossant au mur. J'ai grave mal au dos ces jours ci. En même temps avec leur matelas plus fin que mon corps ça m'aurait étonné de ne pas avoir mal.
Elle : Je... Je me suis dis que je n'avais rien a perdre de toute façon *baisse la tête*
Moi : Et ta famille ?
Elle *rire triste* : Si seulement j'en avais une.
Une larme à coulé le long de sa joue à la fin de sa phrase. Ça m'a brisé le coeur.
Elle : Mes parents sont mort quand j'avais 6 ans. Des braqueurs sont entré chez nous pendant qu'on dormait mais maman à entendu du bruit alors elle a réveillé mon papa. Il a voulu les arrêtés alors ils lui ont tiré dessus. Je me suis réveillé à ce moment là et ma mère est entré dans ma chambre en pleures. Elle m'a serré, embrassé, m'a dit je t'aime je ne sais combien de fois puis elle m'a dit de m'enfuir par la fenêtre. Je pleurais et je ne voulais pas la laissé seule mais elle m'a dit qu'elle me rejoindrai après alors j'ai descendu l'échelle et j'ai couru jusqu'à chez les voisins. Et quelque heures après j'apprenai que j'étais orpheline.
Son visage était inondé de larmes et sa voix était à peine audible. Je la regardais et j'essayais de contenir mes larmes. Elle est déjà assez mal pour que je me mette à pleuré moi aussi.
Alors à la place je l'ai prise dans mes bras.
Moi : Pleures, ça fait du bien.
Elle a pleuré toute la nuit et j'étais la pour elle. Moi qui pensais être devenu insensible après 3 ans ici, je me suis trompé.
J'ai de la peine pour elle et en même temps j'ai cette envie de la protéger. Elle est tellement fragile et meurtrie.
Malheureusement ici y'a pas de place pour la fragilité alors il faudra que je la forme un peu avant vendredi. En gros j'ai 3 jours pour la rendre un peu plus tonique parce que ça va pas la. Si elle reste comme ça elle va se faire marcher dessus par les autres filles.
La il faut que j'oublie Jenna pendant ces 3 jours pour faire place à Hurricane ; La version sauvage de Jenna.
Fin du chapitre 😊
J'espère que celui-ci vous à plu. Bientôt la sortie de Jenna, elle sera enfin libre.
Mais comment va se passer sa réintégration dans le monde extérieur après plusieurs années d'enfermement ?
Et quel secret se cache derrière cette jeune fille ?
Stay tune guys 😉 Besos 😙😙😙
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Chronique de Jenna : L'amour des miens me rend sauvage 🖤🥀
RomanceJenna est une italienne/américaine qui vient d'une famille pauvre et sans père. A 16 ans elle fait la rencontre de Jace, un drogué et voleur dont elle tombe amoureuse. Aveuglé par l'amour, elle se marie quand elle atteint la majorité et ensemble il...