Chapitre V: l'enfer de Khardiatta

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..chéri tu me manques beaucoup et j'ai hâte de te revoir. Tu dois régler cette situation au plus vite possible ta écervelée de femme n'arrête pas de m'appeler et je ne suis pas sa nounou. Rentre vite tu nous manques.

Samira le numéro de Samira.

Non impossible je ne pouvais y croire.

Je beugue un instant puis mes larmes commencent à couler. Je lisais et relisais le message pour le faire entrer   dans mon cerveau qui le rejetait.
Mon visage était baigné de larmes je ne pouvais me lever. Mon cerveau n'arrivait pas à enregistrer encore toutes ces informations.
J'entendus les bruits de pas de mon mari qui sortait de la douche. Je cours me réfugier dans la cuisine.  Comment a t'il pu me faire ça surtout avec mon meilleure amie, celle que je considère comme une sœur que j'ai pas eu.

Depuis quand sont-ils ensemble ?
Pourquoi elle a dis nous?

Je pleurais toutes les larmes de mon corps. J'avais l'impression que le ciel tombait sur ma tête.

Il entra dans la cuisine, alla directement au frigo et prit de l'eau en fixant mon visage pleins de larmes. Sans dire un mot, il sortit.
C'était affreux son indifférence envers moi.Je souffre de son indifférence de sa trahison avec ma soit disant meilleure amie.

Je ne pouvais supporter cette douleur. Mes larmes redoublèrent, je courus dans ma chambre.

Mes mains tremblaient enfaite tout mon corps tremblait.
Je ne sais pas pourquoi j'ai levé la tête mais son portable était là. Alors je m'approcha comme il n'y avait pas de code, je suis allée direct dans leur discussions et sa réponse m'acheva

"cherie je te comprends bien et tu me manques plus même. Je vais tout de suite chez mon avocat pour les papiers de divorce. Je ne la supporte plus, je ne peux plus respirer le même air qu'elle. Prend soins de vous deux je t'aime beaucoup"

Chaque lettre lis était comme un poignard au coeur, comme me découper en petits morceaux comme me tailladé les nerfs. Et pourtant je voulais savoir plus.
Les informations tardaient à arriver à mon cerveau. Je lisais les sms mais les mots amour, je t'aime, à nous le bonheur, c'est l'heure de divorcer revenaient sans cesse. J'avais mal mais je m'entêtais, je continuais à lire jusqu'à leur première discussion qui remonte...
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......à son retour du premier voyage c'est à dire depuis des mois..
Là, ils m'avaient achevé, mes larmes redoublèrent triplerent quadruplèrent.

J'avais mal je souffrais, je tirais sur mes cheveux. Mon cœur voulais laisser. Tout était que mensonges toute une vie de mensonges. J'avais envie de tout brisé de me suicider.
Je pleurais je criais.
Ma souffrance était indescriptible et je n'avais personne pour en parler mes amis sont les amis de mon mari. J'avais mal, je ne pouvais vivre. Je pleurais toutes les larmes de mon corps comment a t'il pu me faire ça. Ils me mentent depuis des mois sans honte sans vergogne. Je voulais mourir.
Le soir j'avais une tête à faire peur je ne voulais voir personne, je ne mangeais pas dormais pas pendant une semaine.
L'homme qui me servait de mari et auteur de ma souffrance ne me parlait plus disant que je suis repoussante.
Je souffrais de sa trahison, de son indifférence, de sa cruauté tout en me regardant dans les yeux.
La servante Daba entra dans ma chambre.

Daba: madame...queeesss qu'il yaa..Madame.......

Moi: je veux mourir... ap...ap..pelle ma merrrre

Mission Pour Ma SoeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant