X-Men évolution : ROLO

saison 2 épisode 2 Changement de camp.

- Oui professeur nous avons compris dit Kurt en posant sa main à trois doigts sur l'épaule de Tabitha.

Wolverine qui avait entendu la punition suivit Charles hors du sous sol. Une chose le tourmentait.

- Où est Ororo. Elle devait m'aider à superviser l'exercice. Heureusement qu'on ne l'a pas attendu ou on y serait encore.

- Ah oui Ororo. En réalité Logan il serait préférable de la laisser seule aujourd'hui. Tu peux me remercier d'avoir mis une barrière entre ses pouvoirs et ses émotions sans quoi la situation se faisait sous une pluie torrentielle.

- Qu'est-ce qu'elle a demanda Logan qui connaissait le lien étroit entre les pouvoirs et les émotions de la déesse du temps.

Pour provoquer un déluge il n'y avait que deux possibilités. Soit elle était en colère soit elle pleurait.

- Ça doit être à toi de le découvrir. Ororo n'aime pas trop en parler répondit le professeur.

Logan fronça les sourcils et monta au deuxième étage et toqua à la porte de sa coéquipière.

- 'Ro? Tu es là ?

- Laisse moi Logan je ne suis pas descente.

Il entendit des sanglots dans sa voix. Il essaya de tourner la poignée et d'entrée mais la porte était verrouillé.

- 'Ro Charles m'as dit que ça n'allait pas et je ne te laisserai pas avant de savoir ce qui te tracasse. Maintenant ouvre cette porte avant que je ne m'en charge moi même !

Il attendit une minute et le verrou cliqueta. Ororo était allongé sur son lit les draps dans le désordre le plus complet et elle lui tournait le dos.
Il contourna le lit pour lui faire face et vis que ses yeux bleus habituellement fières ou pétillant de gaieté étaient rougis par les pleurs.

- 'Ro que ce passe t il ! S'écria Logan en s'agenouillant près d'elle.

Elle ne répondit pas. Ses yeux restaient fermés et sa main était crispée sur un cadre photo. Il le regarda et compris. L'image représentait un couple à la peau foncée et au cheveux bruns. Entre eux se trouvait une fille d'à peu près quatre ans aux yeux bleus et au cheveux blancs. Ororo. Bien des années après elle pleurait encore la mort de ses parents.

- Vous aviez l'air heureux dit il pensivement.

- Nous l'étions acquiesça Ororo en levant le cadre à la hauteur de ses yeux. Jusqu'à ce qu'un avion s'écrase sur le toit et tue mes deux parents.

Dès larmes se remirent à couler sur ses joues. Ne sachant comment réagir il lui caressa timidement les cheveux. Elle approcha sa tête de lui et ouvrit les yeux.

- Je suis désolé 'Ro.

- Tu n'y est pour rien. Tu dois trouver idiot le fait que je pleure pour des êtres que je n'ai que très peu connu.

- Au contraire je trouve admirable le fait que tu penses encore à eux actuellement. Je donnerai tout ce que j'ai pour avoir de tels souvenir. Chérie les car le jour où ils seront perdu tu ne pourras plus rien faire.

Il l'attira contre son torse et la câlina. Elle sanglota doucement contre lui.

- Logan reste avec moi s'il te plaît.

- Je croyais que tu n'étais pas descente la taquina t il

- Je t'en prie. À vrai dire ça commence à aller mieux depuis que tu est entré dans les pièce.

- C'est drôle habituellement c'est le moment où tout par en couille.

Elle tapota les draps dans une invitation silencieuse et il s'allongea près d'elle.

- Merci Logan.

- De rien ma belle. Au fait je sais que le moment est mal choisi mais sur la photo tu es seule avec tes parents. Où est ta sœur ? Désolée j'ai oublié son nom.

- Vivian. En réalité je n'ai appris son l'existence il y a seulement quelques années. Ses tuteurs ne lui ont jamais caché qu'elle était adoptée et elle a insisté pour apercevoir sa famille biologique. Je ne raconte pas le choc qu'elle a eu quand elle à vu la maison écroulé et qu'on lui a dit qu'on avait pas retrouvé mon corps.

- Comment vous êtes vous rencontré?

- Charles. Il a recherché si j'avais de la famille et nous à réuni.

Un silence s'installa.

- 'Ro je suis pas bien placé pour te dire ça vu que ne suis pas papa mais je suis sûr que tes parents n'aimerais pas te voir souffrir comme ça.

- Je... Merci beaucoup Logan. C'est bon de t'avoir à mes côtés.

- Tu es aux miens chaque jour chérie. Ça n'est rien par apport à ça que j'aimerais t'offrir quand je te voie comme ça.

- Quoi?

Il se redressa et l'embrassa doucement. Elle mit du temps à répondre et se blottit dans ses bras.

("Félicitations Logan. Tu as réussi là où j'échoue depuis longtemps") lui dit mentalement le professeur.

("À Quoi Chuck ?")

("Vous mettre en couple")