The Angel off Devil tome deux LOGAN

Logan

Merde !

Je suis à terre mon oreille gauche siffle fortement mais qu'elle conne ! J'ai eu de la chance la balle a effleuré mon cuir chevelu mais la détonation si près de l'oreille a pulvérisé mon tympan.

Mais ce n'est pas ça le pire, c'est que je vois trois mecs arrivés vers nous et elle se précipite vers eux lorsqu'elle reconnaît des routiers.

Je fais celui qui est KO car je sais ce qui va arriver et là je ne me trompe pas. Après quelques coups de pieds dans les côtes dont ils m'en cassent une au passage avec leurs chaussures de sécurités, ils reportent leur attention sur Perle.

Aller, on va régler cela puis on ira se coucher car là, je n'en peux plus.

Je me lève discrètement et sort ma lame de ma botte et avant que le con pose sa bouche sur elle, je l'égorge sans aucun état d'âme. Puis, je passe aux deux autres, en quelques secondes tout est terminé.

Je ramasse mon arme et attrape la nana qui n'a toujours pas bougé après le premier mort pour la projeter sur le siège conducteur. Je lui explique gentiment ce qu'elle encourt si elle tente quoi que se soit et me souffle pendant un petit moment.

Il faut que je soigne mon cuir chevelu car cela saigne beaucoup et bander ma côte. Même si cela ne sert pas à grand chose mais bon avec la route que l'on doit faire cela évitera toujours de la bouger.

Elle conduit bien pour une nana, vite et prudemment mais bon je me méfie des idées qui peuvent lui passer par la tête. On a été mis au parfum avec Marie qui nous sort toujours de ces trucs quand on en attend le moins. La preuve, elle vient de mettre le feu au MC avant de se barrer.

Enfin un hôtel ou je peux pirater les caméras et ou personne ne fait office de concierge.

Une fois dans la chambre pourrie, je l'envoi se laver, elle a du sang sur elle.

Est-ce que c'est le fait que l'adrénaline coure encore dans mes veines mais je la trouve bandante dans son pyjama moche. Vivement que l'on rentre pour me taper une brebis, cela fait longtemps que je n'ai pas baisé.

Avec tous ces trucs a cherché sur le Diablios et organiser ce voyage avec tous ses problèmes que cela auraient pu engendrer. Car notre JB a décidé de faire le con, donc on a été obligé de faire son taf. Alors du coup je n'ai pas eu le temps et l'occasion de me taper une fille.

Je m'installe sur le lit pour essayer de voir si notre fugueuse a utilisé sa carte bancaire quand j'entends un " monsieur" sortir de la salle de bain.

Putain ! " Monsieur" je ris malgré ma blessure, on ne m'a jamais appelé ainsi depuis que je suis dans le MC. Mes frères seraient là, je m'en prendrais plein la gueule.

Je me lève difficilement, raflant au passage un caleçon et un tee-shirt à manches longues pour lui passer et tout en riant encore je pénètre dans l'antre de la belle.

Elle est droite me tournant le dos, elle tremble et me montre du doigt une énorme araignée dans le fond crasseux de la cabine de douche.

Je la regarde un peu surpris, qu'est-ce qu'elle attend de moi là . Car elle me fait face courageusement, ne crie pas et préfère se battre contre trois cons et elle est paralysée par un insecte.

Je ne peux m'empêcher de rire de nouveau, bon c'est pas agréable pour mon corps mais pour mon cerveau cela décompresse.

Oh ! Je l'ai vexé, elle se retourne vers moi, ses yeux verts brillent de milles feux follets plus brillant les uns que les autres. Je la fixe émerveillé, merde ! !

- Monsieur, je ne vous permets pas de rire des phobies de certaines personnes. Cela ne peux se contrôler. Et au lieu de s'esclaffer sur mon entomophobie ( phobie des insectes ), vous feriez mieux de résoudre ce petit différent, merci.

Alors là, je suis sur le cul, elle parle comme une princesse des riches quartiers. Je n'ai plus envie de me bidonner, elle a gâché mon humeur joyeuse. Merde ! Cela me rappelle une certaine personne que je hais le plus au monde.

Mais malgré les apparences, je suis quelqu'un de bien élevé même si je ne le voulais pas alors je me saisis d'un morceau de papier cul et me saisit de la pauvre bête.

Lorsque je passe près d'elle, la princesse gémit de trouille, je la bouscule pour aller jeter l'araignée dehors. Je ne vais pas tuer cette bête parce que madame à la phobie des insectes. Si elle croyait m'impressionner par ces mots tout droit sortis du lexique du savoir-vivre en bourgeoisie, c'est qu'elle ne sait pas d'où je viens.

Ce n'est pas parce que l'on est des bikers que l'on ne sait pas lire ou être érudit.

Voilà je suis en colère après elle, après moi.

Je rouvre brutalement la porte pour lui dire :

- Logan, chaton, plus jamais de monsieur.

Elle me regarde apeurée, mais redresse la tête fièrement lorsqu'elle voit que je ne fait pas un geste vers elle .

- Merci Logan. Fermez la porte derrière vous, cela serait aimable de votre part.

Je me venge sur la porte en la claquant si fort que je l'arrache presque de ses gonds. Un petit cri plaintif s'entend et cela en est jouissif.

Je me replonge dans mon PC pour effacer toutes les vidéos du lieu du carnage d'un peu plus tôt et celles de l'hôtel et continue mes recherches sur Marie.

En cinq minutes chrono, je la vois ressortir. Elle n'a pas finit de me surprendre, je n'ai jamais vu une nana faire aussi vite dans une salle de bain.

Elle est là au pied du lit à me regarder dans mon tee-shirt et je la trouve belle ainsi. Les joues rosies par la douche, les cheveux qui frisent encore humides et elle tire sur mon vêtement cherchant à cacher ses magnifiques jambes malgré sa petite taille.

Merde ! Je bande et c'est moi qui tire sur mon sweat maintenant.

Bon ! Il faut que je prenne une douche froide mais avant il faut que je la neutralise car elle est bien capable de s'enfuir dans cette tenue et cela me contrarie fortement pas par ce qu'elle partirait mais parce quelqu'un pourrait la voir.

Je sors un truc de mon sac, ferme mon portable et me dirige vers elle.

- Allez viens petit chaton.

Elle gémit de peur.