The Angel off Devil tome deux LOGAN

Logan

Merde !

Je suis vraiment en colère après elle, elle se drogue. Je hais ses gens là. Ceux qui ne peuvent se passer d'une dépendance quelque conque. Moi le premier je fume et ne pourrais pas m'arrêter.

Mais ceux qui se cachent et qui crient tout haut, qu'ils ne se piquent pas ou ne boivent pas. Connerie tout ça, il faut assumer ce que tu fais bordel !

J'en connais une de ce genre là, qui des fois ne tient plus debout, titubant pour se vautrer dans son pieu. Puis devant les autres se targue d'œuvrer pour les associations de la lutte contre l'alcoolisme. Elle cache ses litrons aux yeux des domestiques mais eux savent et rigolent quand elle ronfle à même le sol pour cuver son vin. Mais l'argent a un pouvoir parfait sur le silence.

Il agit sur tout le fric, comme ne pas faire d'autopsie sur le corps d'un petit garçon qui est mort par la faute de sa mère. Elle était trop imbibée pour surveiller deux enfants dont l'un trop jeune pour sauver son petit frère.

Il se reprochera toute sa vie de ne pouvoir avoir tenté un truc ou de dire ce qui c'était vraiment passé. Mais il aimait trop sa mère à ce moment là puis cela c'est transformé en haine. Surtout quand celle-ci soit disant inconsolable a rejeté la faute sur lui. L'accusant de ne pas avoir surveiller son frère et de ne l'avoir pas prévenu. Que dire devant cette femme qu'il l'avait fait mais que trop cuite, elle l'avait giflé en lui gueulant dessus de se barrer !

Que son père par amour ferme les yeux et le console en lui expliquant que maman est malade qu'il lui faut de temps ! A pour ça, ce jeune garçon attend toujours mais une fois adulte vie avec la culpabilité de ne rien avoir fait. Elle se serait soignée, essayée, il aurait pu tenter de nouveau de lui ouvrir son cœur qui n'attend que l'amour de sa mère. Mais aux dernières nouvelles madame trop prise par sa vie d'aristocrate continue de biberonner.

Bref, je sens que je vais lui faire du mal, je n'ai jamais taper une femme mais là cela me démange. Je suis tellement déçu de son comportement de ce que Perle nie. Elle me l'aurait avouer qu'elle avait une dépendance, j'aurais fait quelque chose, trouvé une solution. Alors pour me calmer, j'attrape son sac et cherche le reste de drogue sous toutes ses formes, seringues, sachets et cachets.

Je me crie trop vite victoire quand je tombe sur une boite mais non des trucs féminins en sortent. Mais je jubile quand même quand je vois sa gène. Petite chose pudique et droguée. Reste concentré sur ce fait.

Je décide de la fouiller mais elle panique.

Merde ! Je n'ai jamais vu une femme se débattre autant a moins que quelqu'un la viole. Mais ce n'est pas mon truc, je n'en ai pas besoin, elles le veulent toujours.

Je suis tellement vénère que je ne fait pas du tout attention à sa détresse et me met à balader mes mains sur son corps.

Je lui maintient ses poignets dans une de mes mains et remonte l'autre de ses mollets à ses fesses. Au passage je remarque qu'elle a de très jolies jambes.

Elle continue à gesticuler contre moi et je sens une érection pointée. Même si je suis en colère contre elle je ne peux m'empêcher de la désirer. J'ai l'impression que mon corps la connaît et se manifeste à chaque contacts.

Je la colle contre mon désir, frottent mon bassin au sien. Elle se tend puis elle s'alanguit entre mes bras.

Mes yeux la fixent, ses joues rosissent, sa bouche s'ouvre sur un gémissement.

Mais voilà ma belle même si je voulais te coucher à même le sol et m'enfouir en toi, il faut que je trouve d'abord ta came. Ma haine pour ses gens là surpasse mon désir.

Quand j'arrive à sa poitrine, elle perd les pédales et se met à hurler en se tordant de plus belle.

Je serre fort ses poignets et sans aucun état d'âme pose ma main sur un de ses seins. Je ne rencontre que du rembourrage.

Yes !! J'avais raison, elle dort avec un soutif rempli de drogue. Oui ! Car pourquoi se pieuter avec ? Je ne lui ai prit que son sac quand on l'a enlevé.

Je lui déchire mon tee-shirt et lui arrache le soutif.

Nous sommes devant les phares de la camionnette et elle éclaire la scène.

Putain de bordel de non de dieu !!

Je comprends maintenant pourquoi elle ne voulait pas que mes mains se posent sur elle.

Perle est devant moi tétanisée et des larmes silencieuses coulent sur ses joues.

Mais quel con !

Elle a une cicatrise qui part de son sternum pour aller se réfugier sous son aisselle. Elle est encore un peu boursouflée et rose. Mais le plus dur c'est qu'il lui manque un sein.

Je suis là comme un con à regarder son petit corps amputer d'une partie de sa féminité.

Je me bafferais, je lui rends son sous-vêtement et me retourne. Pas par pitié mais par décence car je m'imagine sa détresse.

Mon dieu ! mais elle est jeune pour avoir eu un cancer et cela doit être récent vu l'état de sa cicatrice

Saloperie de maladie qui décime les êtres de tout âge même les innocents, ses petits anges qui meurt avant de connaître la vie.

Pensant que je lui ai laissé assez de temps pour cacher son buste je me retourne pour m'excuser. Je sais que là je suis un gros con, que j'ai tout de suite eu des préjuges mais je sais reconnaître mes torts.

Mais elle n'a pas bougé, pleurant en silence, son corps qui tremble. Moi mon cœur se serre en la voyant ainsi. Ma haine m'a aveuglé, je ne me reconnais plus. Là j'ai envie de la nicher entre mes bras et de la défendre contre des connards de mon espèce en lui promettant qu'elle est à moi.

Que je suis avec elle pour combattre cette saloperie, que nous ferons face à deux, que je m'en fous de son sein en moins, qu'elle est belle, que je suis à elle.

Mais bon ces choses là ne sont pas d'actualités car avant que je n'ouvre ma grande gueule je me ramasse la plus grande baffe de ma vie. Perle se retourne et court dans la forêt.

Je n'ai pas riposter car je le méritais et la laisse partir car elle doit avoir envie d'être seule.

Je m'assois et attends, ne répondant pas à mon portable qui ne cesse de sonner. Comment ai-je pu passer à côté de ça, pas de dossier sur une hospitalisation rien. Merde ! !

Je l'attends !!