The Angel off Devil tome deux LOGAN

Logan

Merde !!

Enfin au MC, chez moi. Je retrouve ma vrai famille, mes frères. L'accueil est le même, des accolades, des étreintes viriles. Je renfile enfin mes couleurs, j'avais été obligé de donner mon blouson au Prez par parce que je l'avais menacé de le faire mais par obligation pour être discret. Je me sens de nouveau un biker, moi quoi !

Sauf que le regard des autres sur Perle me dérange. Leur bienvenue m'emmerde, personne ne doit la toucher puis leurs paroles graveleuses ne me font pas le même effet. Avant j en aurais rit même dit des conneries plus grosses que les leurs. Mais là non ! Elle est à moi !

Je l'embarque sur mon épaule pour la soustraire à ce bordel mais d'une façon à ne pas éveiller mon attirance pour elle. Car Perle irait directe en bas dans la salle de torture car notre VP me scrute, il remplace Nicolas et Luc malgré son statut de médecin n'a rien d'un tendre. Il tuerait Perle si elle représentait un danger pour le club et surtout pour Lucie sa régulière.

Mon corps réagit automatiquement au sien, son odeur enivre mon cerveau et mes sens. Je bande et fuis littéralement la salle pour que personne ne remarque mon sexe droit comme un i.

Non ! C'est intolérable, elle est l'ennemi, je l'avais presque oublié pendant le voyage puis ses fuites m'ont amusé, ont réveillé mon instinct de chasseur. Mais là chez moi, il faut que je sache qui elle est. Avec son numéro de sécurité social, je vais pouvoir accéder à son dossier médical, et à toute sa vie. On n'avait pas vraiment toutes les données pour que je puisse fouiner. Je m'y mettrais demain et ferais aussi une recherche à San Diego pour rechercher la fée de notre Prez.

Je suis en colère contre elle, contre moi et mon corps. Je ne peux pas m'attacher à elle, elle a un rapport avec les Diablios, il ne faut pas que je l'oublie. Je n'ai pas le droit d'éprouver une attirance pour cette nana. S'ils la surveillent c'est qu'elle a un lien avec eux Je dois penser à qui je suis aussi, un être violent et un tueur. Je n'ai pas de cœur.

Je la largue sans un mot et me dépêche d'aller retrouver mes frères. Boire pour l'oublier, pour récupérer de ses journées riches en événements, du plaisir que j'y ai prit.

L'ambiance bonne enfant m'avait manqué, je m'allume une clope sans craindre une parole néfaste, porte ma bière à ma bouche et la descend d'une traite. Bordel ! Que cela fait du bien !

Quelques heures après je suis toujours au bar avec des cadavres de canettes devant mes yeux. En plus une brebis est dans mes bras que demander de plus. Je suis un homme heureux.

Ses gestes deviennent de plus en plus osés et je décide de l'emmener dans ma chambre. Je titube jusqu'à ma porte puis réalise que celle-ci est occupée par Perle. Je dessoûle illico.

Merde, je bande encore plus en l'imaginant nue, allongée dans mon lit et y dormant. Jamais une fille y dort, je les baise et elles dégagent. Je revoie ses courbes gracieuses, son odeur féminine, la douceur de sa peau. Ses gémissements sous mes mains et ses traits sous la jouissance que je lui ai donnée.

Merde tant pis, je pousse la nana contre ma porte, lui enlève son short, elle n'a rien en dessous, tant mieux. Je sors un préservatif de ma poche, l'enfile et en un rien de temps je m'enfonce en elle.

Elle n'est pas discrète et hurle. Je m'en délecte, j'intensifie mes coups. Je ne sais pas si j'agis comme un connard pour punir Perle d'être ce qu'elle est ou pour me prouver que je ne la mérite pas. Que je suis un biker sans cœur !

Je jouis en pensant à elle et je ne me sens pas mieux. Je dégage la brebis qui part en râlant mais je m'en fous royalement.

Quand j'ouvre la porte, je la vois rougissante et ne sachant pas ou se mettre. Mais dans son regard je vois de la peine et une lueur de douleur. Je balance la capote, elle tique.

Cela me met en colère, elle n'a aucuns droits sur moi et je ne lui est rien promis. Elle m'a fait vivre un enfer et je ne l'ai pas même baiser en compensation. Je ne veux pas de femme, pas d'attaches pour après qu'elle devienne une mégère aigrie qui se réfugie dans l'alcool ou la drogue comme ma mère ou ses copines. Non !!

Alors j'agis comme un con et lui crache des paroles blessantes, laissant ainsi sortir ma frustration. C'est elle qui en fait les frais. Tu me vois sous mon vrai jour et tu n'as pas finit d'être surprise.

La voyant obéir et se coucher, je ne veux qu'une chose me blottir contre elle, au chaud, laissant de côté toutes mes pensées négatives.

A la place je file sous la douche m'enlever l'odeur de la brebis.

Je referme ma porte de chambre, sachant qu'elle ne s'ouvrira qu'avec mes empreintes. Chaque chambres de mes frères en sont munies, notre intimité ainsi est secrète. Quelques autres pièces n'ont que les empreintes des membres hauts gradés.

Je descends au sous-sol, dans mon sanctuaire, il n'y a que moi qui peux y accéder. Elle est truffée d'ordinateurs pourvus de logiciels pour la plus part créer par mes soins. Rien ne m'échappe et je suis sur que même le Pentagone n'a rien de semblable et qu'il payerait cher pour avoir tout ça.

Avant de démarrer les recherches sur mon chaton je lance un logiciel de reconnaissance facial pour Marie.

J'appel Nicolas, il est de très mauvaise humeur, m'engueule de ma lenteur, si je faisais du tourisme, bref je laisse couler. Il se fait du souci et je le comprends après ce que Marie à subit.

Enfin je vais tout savoir sur toi petit chat. J'espère comme ça je ne saurais pas obliger de la torturer.

Mais bordel de merde ce que je découvre me scotche et je jure encore plus vivement.

Mon petit chat, tu es mal barré !!