Clarée se sentait mal à l'aise, depuis qu'elles avaient dû abandonner Lalo, seul sans ses parents. Sa famille lui manquait cela devait faire presque une semaine qu'elles étaient partit.
Cela devait faire une heure que les filles marchaient sans s'arrêter. Lily-Rose avait renoncé à marcher et son protecteur devait désormais la porter. Ils finirent par faire un pause au haut-soleil et pique-niquèrent sous l'ombre d'un vieil automnier, en fleur. La soupe de poisson qu'avait préparé Flicktovk était délicieuse. Ils s'en servir plusieurs fois et reprirent leur marche sous la chaleur suffocante de cet été étouffant une vrai canicule ôter peau brûlait, littéralement, une fournaise. Le sable chaud réchauffait nos orteils, et nous obligé presque de sauter pour supporter ce torrent de lave. Quelque heure après ils pénétrèrent dans la base forêt arbre asséché et donc l'état ourse toute dureset fripées. Lily-Rose marchait, en tremblotant. Olyvier poursuivit Nykolash celui-ci bouscula Lily-Rose, est là c'est la catastrophe, elle trébucha sur une racine d'un arbre noueux. Ktavio, son protecteur, la repris sur ses larges épaules. Mais avec la cheville foulé c'est impossible de marcher, surtout pour une princesse. Flicktovk que l'on surnommé désormais Flick, partit étant le plus courageux, dégourdie et endurant de nous tous. La nuit allait bientôt tombé. On établie le camp à la va vite, et on attendit Flick. Il arriva à camp un peu avant l'aube, il avait marcher toute la nuit sans manger, boire ni dormir et sans halte. Ils partirent la fin de l'après-midi, se mettant progressivement en marche.
Ils pénétrèrent rapidement dans la haute partit de la vaste forêt. Les branches les plus basses devait être à deux ou trois mètre du sol. Après s'être longuement endormis et reposés la troupe commença leur première randonné de nuit, depuis le début du voyage. Krakgnël, le gnome, menait le groupe comme à la banquette, ils lui obéissaient des pieds jusqu'aux multiples épis qui coiffaient la touffe de cheveux emmêlé par plusieurs herbes presque toutes différentes, de Nykolash, qu'il prénommé sa douce chevelure, que de l'ironie.
Les gnomes ont la particularité de voir et se repéré dans le noir. Talent qu'ils exploitent à la mine. Selon Krak, c'est comme ça qu'il se laissait surnommé, ils sont des milieu à travailler nuit et jours. Tellement nombreux qu'ils ont dût ouvrir de nouvelles mines, mais ça ne suffit pas alors une partie de leur espèce travaille la nuit et dors le jours et l'autre travaille le jour et dors la nuit. Il était l'un des seuls à s'être caché à l'arrivé du grand et redoutable sorcier. Il se doutait que le cruel homme les avait ensorcelés grâce à sa vielle et puissante magie. Même s'il dispose, maintenant, aux dernières nouvelles d'une terrible machine capable de puiser la magie noire à volonté.
Le gnome fut le seul à percevoir le seuil de la vallée marqué par des pierres rondes et polies par le temps, le vent et l'érosion de la pluie qui le martelait sans arrêt. Il ne l'a voyait pas que seulement il sentait son odeur de pourriture lui chatouillait les narines, il avait envie de vomir rien que de pensait là où il se trouvait. Mais il devait se dépêchait d'atteindre l'autre rive, avec hâte il attendait se moment le moment où il serrait libéré set horrible lieux, maudit, qui peuplait ses cauchemars de jeunesse. En plus de quitter cet endroit qui le répugnait tant, il devait se dépêchait tant que l'obscurité couvrait cette contré sauvage des yeux de ces camarades. Il savait qu'il n'aurait jamais dû prendre ce raccourci c'était à leur risque et péril. Et il avait pris la décision seul sans l'accord du chef, comme un vrai gnome. Toutes sortes de choses pouvait se produire ici. Ce passage, leur ferait pourtant rattrapé leur retard de la veille et du matin, ils auraient même selon ses calculs une demi-journée d'avance de quoi se préparait au pire.
Ils continuèrent ainsi jusqu'à ce que leur corps ne puise plus faire aucun mouvement. Là ils s'endormirent soit par terre, soit adosser contre un arbre. Krak ne savait pas si c'était une bonne idée mais c'était désormais trop tard. Les autres allaient devoir s'y habituer ou partir. Mais pour ne pas prendre de risque, il partit quelque temps avant leur réveil, aller pécher. La bande se réveilla dans un endroit hostile et inconnu, mais surtout sans leur précieux guide. Ils étaient perdues, pour de bon. Ils étaient en ce moment même entouré de grand arbre à l'écorce sombre et élancé, ils semblaient atteindre le firmament de la voûté céleste qui couvrait leur tête.
Ils partirent à sa recherche sans le moindre succès. C'est Tomy qui avait réussi à flairer sa trace grâce à toute d'épi d'herbe allongé pour formé un passage dans le champs. La prairie se vouait net à l'arriver du fleuve pour recommencer quelque mètre plus loin et amont à la rivière turbulente. Mais là-bas aucune trace de lui c'est comme s'il c'était volatilisé. Ils gravirent une pente raide de là haut, ils purent contempler le magnifique panorama qui s'offrait à eux, C'est seulement Elween qui se remarqua que quelque chose clochait dans ce beau et verdoyant territoire. Ils étaient venu de où déjà? Ah oui de l'autre côté. Elle pivota lentement vers leur départ. Et se frustra d'horreur ce qu'elle découvrit lui glaça le sang. La forêt était morte aucune feuille ni bourgeon ne poussait dans cette région depuis certainement des années. À ce jour une seule zone de ce cas était connue.
La vallée des bois fantôme portait bien son nom. Un jour le fleuve Kakau, qui a abreuvait la plaine verdoyante et la forêt fertile, non loin de là. Mais le fleuve changea vite car sa source était empoisonné. Il détruisait tout sur son passage les plantes, les animaux... Mais un jour de forte pluie, le fleuve entra brusquement en crue et sortit de son lit. Après avoir dévorait la plaine verdoyante il s'attaqua à la forêt fertile qui périt, hélas à son tour, rapidement.
Elle distingua une petite tache rouge et héla les autres qui vénèrent à leur tour. Sachant directement la possible réaction de ses camarades, elle leur voilà cette partie de la forêt. Elle décida d'en parler avec leur guide déchu. Ils contournèrent donc la forêt maudite et arrivèrent devant celui qui les avaient menait en bateau depuis le début de la randonnée nocturne.
Vers le haut-soleil, le reste de la troupe l'apprit et O'Ktavio décida même de fair demi-tour. Mais au bout de quatre cinq mètre il à hurlé nos prénoms perdu.
Nous arrivâmes, après je heure de marche dans une jolie clairière où il ne restait qu'une vielle souche. O'Ktavio s'assit dessus pour reprendre son souffle. Soudain quelque chose de magique, de féerique se produisit. De la vielle souche miteuse et en piteuse état, un esprit y sortit. O'Ktavio sursauta et tomba par terre dans un boum sonore.
-Ohhhhh un dryade s'exclama Elween fascinée.
-C'est quoi une dry... bidule truc ? Demanda Tomy en cherchant bien ses mots pour ne pas la vexer.
-Tu ne sais pas ce que c'est ! s'emporta l'elfe dont le visage passait de la colère à la honte et puis par la pitié pour ce homme ignorant qu'elle avait sermonné sans véritable raison.
-Clarée explique lui. S'il te plaît.
-Et bien c'est que... je ne sais... pas trop moi. Répondit elle en bégayant et gênée.
-Quoi! Et vous vous le savez ? Réclama-t-elle.
Les autres hochèrent légèrement la tête vers la gauche puis vers la droite avant de regarder à leur tour par terre de plus en gênés. Seul Olyvier la regardait avec un mélange de fascination, de respect et d'égalité. Il cligna des yeux et pris sa voix grave d'homme civilisé et rajouta: Un dryade est une créature magique attaché à un arbre en particulier. Elles sont les esprits de ces arbres aux qu'elles elles sont liée par un lien sacré et unique. Si l'arbre meurs elles le suivent. Annonçât il d'un drôle de manière et fièrement.
-Bien merci Olyvier. Annonçât elle mi-soulager mi-enragé.
-Es-tu une dryade ? Demanda Elween.
-Oui mais non.
-Commença « oui mais non » ?
-Pour le savoir il faut que tu sache ma triste histoire.
-Oui
-J'étais la dryade d'un automnier majestueux qui par son imposance fessait de l'ombre à presque toute la forêt. Une graine fût pousser par le vent et heurta l'écorce de mon arbre. Avant de tomber par terre dans la terre riche et aride, à cette saison. Je la recueillit délicatement dans mes douces mains fragiles. Elle était magnifique une beauté sauvage et primordiale née à la nuit des temps. Mais au bout de quelques secondes un léger picotement assaillait mes paumes. Avant de me brûler soudainement en laissant une horrible cicatrice sur ma main. Une marque rouge comme le sang. La graine tomba au sol et s'enfonça dans les entrailles de la terre-mère et nourricière qui nous porte en son giron et nous nourris en son sein. De la graine naquit une jeune pousse un semis, plus elle grandissait plus ma cicatrice disparaissait. J'étais tombée amoureuse d'un elfe et pour l'avoir à mes côtés jusqu'au restant de mes jours je l'ai mis dans la nectarine. Ainsi je protégeais celui que j'aimais. Mais un jour de forte pluie le fleuve est sortit de son lit brûlant tout sur son passage. Olf, tel était son nom, voyait le fleuve s'approcher peu à peu. Se sentant en danger, il activa sa bulle de protection II hélas ne pu couvrir qu'une partie de mon arbre totem j'endurais ce qu'il endurait c'était comme si je perdais un membre une sensation horrible. La bulle commençait à se fissurer peut à peu et une goute entailla ma souche, ce qui me fit encore plus souffrir seulement face à aux forces de la nature une petite plante n'était pas de taille. La protection faiblissait et commença à ce fissurer l'énergie que lui demandait cet effort était colossal et il brûla son essence à petit feu pour pouvoir supporter cette tâche presque impossible. Mais ces forces faiblissaient et le fleuve redoublait d'efforts. Nous tennèrent bon jusqu'à la fin de la nuit, à ce moment précis le fleuve s'assécha pour retrouver une forme à peu près normale. Olf resta un moment inconscient puis se réveilla contempla le désastre me regarda droit dans les yeux avec son regard triste et attentionné des larmes ruisselaient sur ces joues avant roses. Soudain je compris je le savais déjà mais une part de moi refusait de l'admettre comme si il restait un mince espoir qu'il survive. Il haleta sa respiration devenait de plus en plus difficile pour lui. Je pleurais à mon tours en sanglotant il me pris dans ces bras et je jeta ma tête contre son torse encore chaud et mouillé de sueur. Cet instant dura une seconde mais aussi une éternité c'est comme si le temps c'était arrêté. Les béatement de son cœur ralentissement peu à peu sa respiration aussi.
-Ne m'abandonne pas. Lui suppliais-je tendrement à l'oreille je n'avais plus la force de parler j'étais anéantie c'était plus un murmure.
-Dé..désolé finit par dire dans un dernier souffle.
Sa poitrine se souleva une dernière fois avant de s'arrêter pour toujours. J'embrassa, une dernière fois, ces lèvres roses mais elle restèrent aussi froide que du marbre. Mon monde c'est écroulé avec sa mort je voulais si vite le rejoindre ce n'est que quelques jours après que j'ai commencé à voir à quel point le temps était long sans lui, je sentais sa présence à côté de moi et son ombre planait au-dessus de ma tête. Un jour n'y pouvant plus j'ai décidé de partir, le rejoindre, ma vie n'avait plus de sens sans lui. Avant de passer à l'acte j'ai réfléchit à mon action qu'en penserait-il ? Et c'est à ce moment que j'ai compris que si je mourrais son sacrifice n'aurait servit à rien. Il était mort pour me laisser en vie. Je me souvient de son dernier acte il serra on point pour s'accrocher à la vie et le rouvrit à l'intérieur se trouvait une fleur, avec sa main il me caressa les cheveux et y disposa la fleur. Après je me suis donné un but dans la vie vivre pour lui. Et j'ai juré de ne plus tombée amoureuse. Car l'amour détruit.
-Nous ferrons tout pour t'aider.
-Rien de peux m'aider. Déclara fortement la fantôme.
-Mais si justement. Déclara Olyvier en prenant sa voix grave d'homme civilisé.
-Et quoi demanda, Lyra détruit et repensant à tous ces souvenirs qu'elle avait enfouit au fond elle. Sa force de caractère cachait un être sensible, un être des bois et sa fermeté c'était enfuit au contacte du mot « SI » dans c'est oreille ce mot résonnait désormais dans ses tympans et vibrait dans sa tête. Elle avait peut être perdu l'amour mais pas l'amitié. Et elle devait maintenant aidait ses nouveaux amis coûtes que coûtes. De toute façon elle n'avait rien à perdre dans tous les cas elle retrouverait l'elfe qu'elle aime sur la terre comme au ciel.
-Alors ça te va ? Demanda Olyvier après son long récit.
-Euh oui mais j'ai pas trop comprit.
-T'en fais pas c'est normal t'es sous le choc, mais bon je te résume on va planter une graine de nectarine et terre saine pour qu'il vive là-bas.
-Et pourquoi pas ici?
-C'est une très bonne question même si j'y ai déjà répondu je veux bien faire une exception pour toi, mais surtout pour ton état, et alors : cette terre a imbibé, pendant la crue, de l'eau empoisonnée qui brulent vaut racine. Et puis vous serez mieux en sécurité dans un endroit plus calme, plus serins et surtout à l'abri de ce danger fleuve qui a ôté la vie à ton compagnon.
– très bien j'ai juste une petite question très importante à te poser avant le départ.
–Et quelle est cette question que tu veux me poser ?
–Comment vous allez faire pour me déplacer moi et mon arbre ?
–Mince c'est vrai que j'y avais pas pensé...
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Le monde secret d'Elfina [Terminé] L'invasion des Peluches
FantastikLe terrible, méchant et cruel Groin-Groin, s'est échappé de prison avec son fidèle acolyte Doudou (un gros et bel ourson en peluche avec une oreille déchiquetée). Leur plan : voler toute les peluches du monde pour en faire une terrible et destructri...