Bérénilde : J'ai perdu l'homme de ma vie.
Archibald : Mais non me voilà !
Thorn : Chacun son tour.
Renard : C'est vrai que c'est de famille.
Bérénilde : Quand j'aurais besoin de votre avis, je vous le ferais savoir.
Gaëlle : Parce qu'on est des pas des princes et princesses hein ?
Ophélie : Pas du tout.
Bénénilde : Oui.
Ophélie : Ah, autant pour moi.
Gaëlle : Je vais faire comme votre seigneur et vous oublier.
Archibald : Ah je l'adore ! Féroce et piquante !
Gaëlle : Il me lache le richou ?
Thorn : Non. Une fois qu'il est décidé à vous pourrir la vie, c'est irrévocable.
Archibald : Tout à fait moi !
Bérénilde : Je vous disais que j'ai perdu notre seigneur Farouk.
Archibald : Votre besoin d'attention est un problème qu'il faudra régler, très chère. Tôt ou tard.
Gaëlle : Tôt de préférence.
Bérénilde : Vous voulez finir dans les geôles gueuse ?
Ophélie : Personne ne met personne dans les geôles.
Thorn : Notez tous que cette remarques ne vaux pas pour Archibald. J'aurais tendance à payer celui qui l'y jette.
Archibald : C'est dans vos bras que je le jette ardemment.
Thorn : Bref.
Archibald : Mais intense.
Ophélie : Vous poussez sa patience.
Bérénilde : J'ai perdu mon seigneur t ce que quelqu'un compte un jour y faire quelques chose !
Gaëlle : C'est bon, il fait trois mètre de haut, ça doit pas être sorcier de louis mettre la main dessus.
Archibald : C'est sur vous ma chère que j'aimerais mettre la main.
Ophélie : C'est tout de même prodigieux à observer.
Thorn : Le nombre de refus qu'il peut encaisser sans abandonner ? Je confirme.
Ophélie : Et votre patience.
Thorn : Oh c'est facile. Je lève la tête. Et je ne le vois plus.
Renard : Le privilège des grandes tailles...
Archibald : Justement Intendant, vous qui êtes un lampadaire humain - quoi que sexy -, Vous n'apercevez pas notre cher Farouk ?
Ophélie : Trop long pour être efficace.
Archibald : Cette phrase est si croustillante de votre bouche chère fiancée de Thorn...
Thorn : Ma patience se fissure.
Bérénilde : La mienne aussi.
Gaëlle : La mienne ça va. Vous êtes marrant à regarder.
Roseline : Farouk était simplement partie se promener dans la neige.
Archibald : Habile camouflage.
Ophélie : En parlant de camouflage, ou étiez vous ! Je m'inquiétais...
Archibald : Elle était occupée.
Ophélie : Qu'en savez-vous ?
Thorn : Mauvaise question.
Roseline : L'ambassadeur m'a montré les promenades du Claire de lune.
Bérénilde : Et ?
Roseline : Et c'est tout. Enfin ! Pour qui me prenez-vous !
Thorn : Encore une fois. Mauvaise question.
Farouk à rejoint la conversation.
Bérénilde : Mon ami ! Comment allez vous !? J'étais folle d'inquiétude ! Vous étiez disparu ! Vous n'avez pas eu trop froid !? Votre santé ! Ne me faites plus de coup pareil ! Voulez vous que je vienne ?
Farouk est en train d'écrire.
Archibald : Beaucoup d'informations en même temps ma chère.
Farouk est en train d'écrire.
Ophélie : Il a l'air d'aller bien.
Farouk est en train d'écrire.
Thorn : Il n'a rien dit. Comment en déduisez vous qu'il va bien ?
Ophélie : Parce que dans le cas contraire, il l'aurait dit.
Farouk est en train d'écrire.
Bérénilde : Notre seigneur a sans doutes eu une révélation. Taisez vous un peu !
[ Quatre heures et vingt-sept minutes plus tard. ]
Farouk : Ça va.
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La Passe-Miroir sur Facebook
Hayran KurguMême format que la casa de papel sur Facebook : les personnages de la passe-miroir ( de Christelle Dabos ) sur Facebook. C'est imparfait, parfois un peu n'importe quoi. Mais j'espère que ça vous plaira. ( Et qu'elle ne tombera jamais dessus. ) Bonn...