Commande de Alienville j'espère que cela te plaira !
Shuu n'était vraiment pas un bon exemple d'élève studieux, pourtant nombre de gens connaissaient ses capacités intellectuelles. Mais pour le pousser à montrer un travail sérieux et continu, les professeurs s'étaient concertés à te mettre en binôme avec lui. Tu n'avais rien demandé, pourtant il fallait avouer que tu étais aux anges: le beau et mystérieux Shuu Sakamaki allait être plus proche de toi que des autres filles du lycée. Un sentiment de fierté t'envahissait. C'est ainsi que tu arrivais en cours, prête à commencer ton duo avec lui.
Il dormait déjà sur sa table, les écouteurs dans les oreilles. Tu tentas une approche.« Salut Shuu ! Je serai ta partenaire à partir d'aujourd'hui j'espère qu'on s'entendra bien !
- Urusai.... je n'entends plus ma musique... »Tu soupiras, décidément c'était mal parti.
« Tu sais j'ai besoin de ton aide plus que tu n'as besoin de la mienne. J'aimerai progresser j'en ai marre de me faire punir pour mes résultats... »
Étrangement cette phrase eut plus d'effet que tu ne l'espérais. Il se redressa et chercha ses affaires. Après ça vous avez commencé à travailler normalement.
Après une semaine tu te rendais compte que l'on ne t'avait pas menti en te disant que Shuu était intelligent. Tu lui poseras donc la question.
« Shuu pourquoi n'as tu réagi que quand j'ai parlé de punition ?
- Parce que te battre contre un ours polaire c'est l'une des pires choses, alors il faut bien travailler si tu ne veux pas être punie.
- Je vois....
- Enfin bon concentre toi miss planche à pain. »Il ricana. Depuis que son frère Ayato t'appelait comme ça , il s'amusait à te nommer ainsi.
Tu croisas les bras sur ta poitrine.« C'est pas vrai je suis pas une chichinashi....
- Tu n'as qu'à me laisser vérifier. »Ses yeux bleus transpercèrent les tiens verts, alors que son sourire s'étirait et te faisait craquer. Tu rougis d'un coup.
« Pervers !!! »
Il partit dans un éclat de rire, et tu te rendis compte que c'était la première fois que tu le voyais ainsi. Lui qui était si renfermé et calme d'habitude, le voilà joyeux.
Il aimait te taquiner depuis que vous aviez commencé votre duo, mais même si l'ambiance était bonne, Shuu était assez stricte comme professeur. Certes pas autant que Reiji, mais il avait ses exigences personnelles.
Tu avais vite compris qu'il était un vampire d'ailleurs, c'est comme si tu pouvais percevoir leur aura surnaturelle. Shuu avait donc décidé suite à ta découverte qu'à chaque erreur que tu ferais, il te mordrait.Il faut reconnaître que la technique était efficace car tu ne faisais plus d'erreurs, et tes résultats grimpaient en flèche.
C'est ainsi que les mois s'écoulèrent, paisible, jusqu'à la fin de l'année.
Le dernier jour tu cherchais Shuu sans le trouver. Après avoir demandé à des élèves où il pouvais être on te répondit dans la salle de musique. Tu y allas donc, et le trouva assis, comme s'il attendait quelqu'un.
« Te voilà enfin.
- C'est le dernier jour aujourd'hui Louise....
- Es-tu triste ? J'ai l'impression de faire un bond en arrière jusqu'au début de l'année.
- Non je suis seulement pensif. Que vas tu devenir sans moi ?
- Bah je vais continuer ma vie c'est simple !
- Je ne vais même pas te manquer ?
- Hein ? »Tu rougis à sa remarque, et cela lui arracha un sourire. Il se leva et vint devant toi.
« Je m'étais promis de ne plus être attaché à un humain pourtant ... mais c'est trop tard. »
Il joua avec tes cheveux blonds, tu étais devenu pivoine.
« Que veux tu dire ?
- Tu me le demandes ? Je te pensais plus intelligente que cela, miss planche à pain. C'est simple non ? Je me suis attaché à toi. »Tu étais tellement choquée par ce qu'il avait dit, que sur un coup de tête , tu te mis sur la pointe des pieds et l'embrassa.
Ce fut à son tour d'être surpris,Lui qui ne voulait pas être attaché à un humain, le voilà aujourd'hui acceptant de sortir avec toi.
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Short Stories Diabolik Lovers
FanfictionUn livre dédié à toutes ces histoires qui n'ont trouvées le chemin du roman, à toutes ces idées fugaces et pourtant si intéressantes, à ces personnages sur lesquels on veut se centrer, à ces contextes parfois trop spéciaux : et si maintenant, c'étai...