L'or bleu (KiseKuro)

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Je t'aime mais toi m'aimes-tu ?
Si tu m'aimes jusqu'où serait tu prêt à aller par amour pour moi ?
Il fait froid dehors mais je ne veux pas rentrer, je n'ose pas. Car nous sommes colocataires et je sais que tu est à la maison aujourd'hui comme tous les mercredis.

J'étais paniqué je ne pouvais pas t'affronter, affronter les sentiments. Il y a 1 heure à peine tu m'as envoyé une photo de notre appartement entièrement décoré pour Noël et j'avais sourit mais maintenant ? Je ne savais même pas quoi t'offrir pour cette fête que tu attends tellement. Je sais que nous sommes faits pour être ensemble mais toi le sens-tu ? Probablement pas tu es bien trop occupé avec tes conquêtes d'un soir qui défil et donne de la voix entre le mur mal insonorisée qui sépare nos chambres.

Je suis détruis, j'ai mal, mal d'aimer. Je prend mon souffle, pénétre dans le bâtiment et grimpe jusqu'au quatrième étage et y entre sans cérémonie. Comme prévu tu étais là assis sur le canapé ton portable à la main et la chaîne hi-fi diffusant des chants de Noël. Tu me salut en souriant et mon cœur s'enflamme, tu est définitivement inaccessible et pourtant si près.

Tu me demandes comment c'est passé ma journée et je te réponds vaguement que c'était une bonne journée. En passant devant ta porte de chambre je mis arrête, une photo de toi en grand format y était attaché avec un Simple « Ryouta » écrit au-dessus de ta tête. J'avais  bot la voire tous les jours je ne me lasse pas de cette photo.

Puis je continua mon chemin et ouvris la porte juste à côté sur la quelle état simplement écrit sur un post-it skotché « Kuroko Tetsuya » et pénétra dans ma chambre. Et à ma grande surprise une enveloppe m'attendait sur mon lit. Je l'ouvrir et mon cœur loupa un battement, sur la lettre en forme de cœur été écrit un simple message « je t'aime aussi » pas de signature mais c'était inutile je reconnaîtrais ton écrit entre mille.

Je sortis de ma chambre et me blottis contre toi sans un bruit et tu passas ta main dans mes cheveux. Pas un mot ne fut échanger jusqu'à ce que tu me demandes ce que je pense de la décoration et que je ne te réponde qu'elle était parfaite. J'étais tellement heureux que j'étais persuadé de rêver mais tout était réel.

Poèmes/OS de Noël (Kuroko no basket)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant