Quand les sorciers rencontrent les demi-dieux (En pause)

Troisième chapitre

PDV Hermione

- Percy et moi sommes nés d'une mère aimante et d'un père absent. Il est parti avant que nous soyons nés. Ma mère s'est alors mis avec un alcoolo joueur de poker, qui s'appelle Gaby. Percy et moi le surnommons Gaby-pue-grave à cause de son odeur corporelle tous sauf agréable aux narines. Gaby nous as toujours détesté, Percy et moi. Il n'arrêtais pas de nous insulter, moi il me frappait. Des claques par ci, des coups de pieds par là. Chaque occasion était bonne pour me mettre une raclée. J'ai passé donc toute ma vie dehors, d'où l'éclaircissement de mes cheveux. Percy, lui, ne se faisait pas frapper. C'est un garçon, donc Gaby ne le tapait pas. Mon frère était au courant de tout ce que me faisait subir Gaby, alors un jour, il l'a dit à ma mère. On l'a supplié de le quitter mais elle nous as répondu qu'elle ne pouvait pas, et elle a explosé en sanglot. Notre mère a toujours tout fait pour notre bonheur, alors on n'a plus insisté. Jusqu'à ce qu'on reçoive cette lettre pour rentrer à Poudlard, tous les deux. Je voulais absolument y aller, mais je ne pouvais pas laisser ma mère toute seule. Alors Percy m'a dit qu'il resterait ici pour veiller sur elle. Mais je n'étais toujours pas convaincue. Jusqu'à ce jour fatal. Je sortais de la douche et Gaby était sorti pour la journée. J'avais oublié mon pyjama, et vu que je pensais qu'on était que tous les trois, je suis sortie de la salle de bain, vêtue de rien. Sauf qu'il était là, dans le salon. Il s'est rincé l'œil avant d'ajouter qu'il attendait avec impatience le jour où mes formes apparaitront pour pouvoir y avoir accès. Je n'avais rien compris, mais j'avais réussi à comprendre que ce n'était pas bien. Pour la première fois de ma vie, j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai répété mot pour mot ce qu'il m'avait dit à ma mère et à mon frère. Il a compris, elle aussi. Alors ils m'ont convaincus de me rendre à Poudlard. Maman a appelé des amis qui habitaient en Angleterre et elle leur a demandé de m'héberger. On habitait aux Etats-Unis mais avant, on était en Angleterre. J'ai donc changé de nom pour prendre celui de mes "parents" en Angleterre, Granger. Percy et moi avons communiqué durant ces sept années. On s'appelait, on s'envoyait des messages avec un objet moldu, un téléphone. Ma mère s'est débarrassé de Gaby avant ma deuxième année à Poudlard, mais j'aimais tellement cette école que je ne voulais pas partir. Je ne voulais pas vous quitter les gars. J'ai essayé de dire à Percy de venir me rejoindre mais il ne voulait pas. Sans connaitre la raison exact, parce que tu as été très vague dans tes messages, je n'ai plus insisté. Tu ne m'as d'ailleurs jamais dit comment maman avait quitter Gaby, finis-je en tournant mon regard vers mon jumeau.

- Je te raconterais tout un jour, Mione. Je te promets. Harry, c'est pour ça que j'ai grimacé tout à l'heure. Mione est le surnom que je donne à ma soeur depuis qu'on est petits, et l'entendre de la bouche d'une autre personne, ça m'a fait bizarre. Même si je sais que t'es comme un frère pour elle, dit Percy à mon frère de cœur.

- Je suis désolée pour tout ce qui t'es arrivé, ma douce. Et dire que je n'ai fait que t'insulté durant toutes ces années. Je m'excuse, Hermione, me dit Drago en me prenant sur ses genoux.

- Tu ne savais pas, personne ne savait. Même Harry, Ron et Ginny n'étaient pas au courant. Ne te blâme pas pour les erreurs que tu as fait enfant, Drago. Apprends de tes erreurs, lui répondis-je en le regardant dans les yeux.

- Il t'as fait quand même beaucoup de mal, marmonna Ron pas si doucement que ça.

Tout le monde l'avait entendu et je vis sa soeur le fusiller du regard. Il haussa les épaules et lança son regard le plus noir à moi et Drago.

PDV Percy

Je n'aime pas du tout ce petit roux qui se croit tout permis. Non mais je rêve, il se prend pour qui celui-là. Hermione à l'air heureuse avec ce Drago, alors pourquoi il n'arrêtes pas de le dénigrer. Je sais qu'il est amoureux d'elle, ça se vois, en plus Hermione m'as avoué qu'il s'était embrassé, mais qu'elle ne l'aimait pas.