Chapitre 16

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Attention,
Ce chapitre contient des scènes explicites, je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez (roooh la phrase bateau) TA GUEULE ! Bref, vous êtes prévenus.

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Il m'allonge sur son lit, se positionnant en califourchon sur moi. Ses lèvres embrassent d'abord ma bouche, puis se dirigent dans mon cou, l'embrassant et le suçotant. Je lâche de petits gémissement, n'ayant pas l'habitude de ce genre de choses.
D'un coup il se redresse, semblant réalisé quelque chose.

- Tu es sûre que tu es prête à le faire ?

Je lui adresse un sourire sincère et, après un court silence, je répond.

- Je n'ai jamais étais aussi prête.

Il me sourit à son tour et commence à enlever mon haut, en douceur, ayant sûrement peur de me brusquer.
Il est si mignon... J'ai vraiment de la chance qu'il s'intéresse à moi.
D'un coup, sans comprendre pourquoi, il se recule une deuxième fois immédiatement avant de lâcher un soupire. Ne comprenant pas sa réaction, je l'interroge du regard.

  - Qu'est-ce qu'il y a ?

  - Je... on peut pas...

  - Quoi ?

Je ne peux m'empêcher de lâcher un petit rire.

  - Et moi qui croyais que tu était sûr de toi... apparement je me suis bien trompée !

  - Je t'aime ! Ça ce n'est pas le problème. Le problème c'est... tu es mon élève, tu te rend compte des risques qu'on prend ?

  - Oui... Attend quoi ?

Je le regarde, ébahie. Il vient vraiment d'avouer qu'il m'aimait ?

  - Quoi ?

  - Tu... tu as dis a l'instant que tu.. m'aimais ?

Il écarquille les yeux lui aussi, il ne s'en ai sûrement pas rendu compte.

  - Je.. eh bien oui. Lorie Stewart, malgré notre différence d'âge et nos statue, je l'avoue, je vous aime.

Je lui souris tendrement. C'est dingue, il a tout de suite su m'apaiser.

- Je t'aime aussi...

Il me sourit et m'embrasse à nouveau, un baiser plus ardent cette fois.
Tout ce passe très vite, doucement, il retire mon haut ainsi que le siens, et m'enlève aussi le pantalon. Je suis maintenant en simple sous-vêtements devant lui, la honte me prend d'un coup, je dois sûrement être rouge pivoine vu son expression amusée.

- Ne sois pas gêné avec moi.

- Et pourquoi pas ?

Je lui souris malicieusement.

- Je vais être triste après, tu veux quand même pas me rendre triste, pas moi...

En vu de son sourire, il s'amuse clairement à joué avec moi.

- Bien sûr que non, Monsieur le professeur...

Je lui souris à mon tour et, sans qu'il s'y attende, je le plaque sur le lit en me positionnant à califourchon sur lui et l'embrasse fougueusement. J'adore le prendre par surprise comme ça.
Je le sens encore sourire contre mes lèvres et il positionne ses mains sur mes hanches, me faisant basculer en même temps en dessous de lui. C'est désormais lui qui est à califourchon sur moi. Il aime dominer on dirait... tant mieux, je préfère faire ma première fois, du moins, ma vrai première fois, avec un homme que j'aime et qui en plus a de l'expérience.
Prise d'une poussée d'adrénaline, je défais le bouton de son jean et le lui enlève. Il pouffe légèrement mais semble quand même heureux que je ne sois plus si gênée que ça. Et c'est normal ! J'ai une totale confiance en lui, est-ce une bonne chose ? Clairement, j'en sais rien. Bref, c'est vraiment pas le moment de penser à ça.
Il parsème mon corps de baisers plus doux les uns que les autres. Je sursaute légèrement quand je le sens dégrafé mon soutien-gorge et le balancer avec le reste de nos vêtements en mordillant mon lobe et descendre ses lèvres le long de ma mâchoire. Ses mains agrippe maintenant les ficelles de mon seul sous-vêtements, et le descend lentement, me faisant patienter sadiquement. Une fois en tenue d'Eve, une de ses mains vient caresser mes cheveux pendant que l'autre prend un chemin vers mon intimité. Arrivée là, il me regarda, attendant mon accord. Je hocha alors doucement la tête, prête à enfin franchir cette barrière.
Il insère alors d'abord un doigt dans mon intimité, faisant des vas-et-viens en caressant avec son pouce mon clitoris, puis il ajouta un deuxième doigts, accélérant en même temps ses vas-et-viens. Je ne peux m'empêcher de pousser un gémissement, ce qui le fis sourire. J'étais à présent toute mouillée, jamais un homme ne m'avait fait ressentir ce genre d'émotions, de sensations... C'est si bon !
Et pourquoi ce serait seulement lui qui me ferait plaisir hein ?
Maladroitement, je saisi son caleçon et le glissait le long de ses longues jambes, fermant les yeux comme une gamine.
En entendant son rire, je les ouvris et je ne pouvais m'empêcher d'être impressionnée par la taille de son sexe en érection. Alors moi aussi je lui fais de l'effet ?
Arrêtant mon petit jeu et voulant reprendre le dessus, Adrien me plaque contre le matelas et enfouit sa tête dans mon cou qu'il parsème encore et encore de doux et brûlants baisers.
Essoufflés tout les deux par nos échanges, il se redresse sur ses avant bras en plongeant son regard dans le miens.

- Tu es prête ?

- Oui.

Je lui souris tendrement, sourire qu'il me rendit. Je souffle, me préparant à ce qu'il va se passer. Il se lève et vas chercher quelque chose, un préservatif je suppose. Mes doutes s'éteignirent quand je le vis mettre la protection sur son sexe, m'arrachant un soupir de soulagement.
Il m'écarte les jambes, se positionne correctement et commence doucement à pénétrer mon intimité, me faisant languir. Il accélère de plus en plus, et envoyant le dernier coup, on cris nos nom, en même temps. Il se laisse tomber ensuite à mes côtés, essoufflés, et ferme les yeux en passant ses mains sur son visage. Je le regarde, moi aussi essoufflés. Il a l'air de s'en vouloir...

- Tu... tu t'en veux..?

- Quoi ? Non ! Bien sûr que non ! J'aurais pas rêvé mieux Lorie ! C'est juste que... je m'en veux... je me dis que je suis un gros pédophile... Je suis désolé, j'aurais peut-être pas d..

- Tais toi.

Il me regarde, surpris. Comment peut-il pensé ça ? Je l'aime, et ce qu'on a fait là, je l'ai voulu. Il n'a absolument pas à s'en vouloir.

- Je t'aime Adrien. Et ça, qu'importe l'âge, qu'importe les statues, je t'aime et ça, rien ne pourra le changer.

Il me sourit, je vois aussi qu'il a les larmes aux yeux.

- Je t'aime tellement... Je te promet de toujours te protéger.

Je me colle à lui, mettant ma tête contre son torse et mes bras autour de lui. Il fait de même, et nous restons dans cette position, pour tout le reste de la nuit.

Ce soir là, nous avons franchis LA barrière, et nous ne pouvons désormais plus revenir en arrière...

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HEY !
Désolée, j'ai mis dix ans à écrire ce chapitre hehe :) Mais j'essaie de bosser cette année sinon je peux dire adieu au métier que je veux faire ;-; J'espère que vous avez apprécié ce chapitre, parce que j'ai un peu eu du mal à trouver l'inspiration hehe.
Xoxo 😘

L'amour interdit Où les histoires vivent. Découvrez maintenant