la séparation

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Une semaine plus tard
j'étais rentrer sur Abidjan pour un contrat en laboratoire qu'un amis de ma communauté ecclésiastique m'avait donner .
J'étais avec mon amis et colocataire de longue date Aziz il était si heureux de me voir. Aziz est quelqu'un de vraiment aimable .il ne voulait pas que je loue une maisons pour le moment il voulais me gardé avec lui de sorte que je fasse des économies jusqu'à ce que je prenne mon propre studio a mon retour de Yamoussoukro pour entamé le doctorat lui aussi avait préféré commencé a travailler dans un laboratoire pendant quelques temps avant d'entamer le doctorat nous étions tous deux des orphelins on s'entendait si Bien malgré qu'on était différents lui c'était monsieur la fête et les copines(rire)
Moi j'en avais eu une dans une période de folie de la jeunesse a ma troisième années d'université j'avais 19ans mais je me suis fait larguer et sa ma fait prendre conscience je me suis donc repenti ,me suis rapproche de Dieu et suis devenu plus sérieux.
Durant mon séjour je n'arrêterai pas de pensée a ode j'en est parler a Aziz qui en a bien rit en disant le "le prof amoureux...attend et tu l'a laisser partir comme sa sans rien faire ?"
Arthur : Aziz!?? ..c'est encore une enfant
Aziz:quoi? 17ans il a des filles qui sont déjà marié (rire)
Arthur : mais sa n'est pas approprié
Aziz: Ouii bien-sûr monsieur le sentimentale (rire)
Mais tu a son contact ?
Arthur: les téléphones était interdit dans l'enceinte de l'établissement ...donc je n'ai jamais pensée a prendre son contact...mais je prendrais de ses nouvelles chez sa mère a mon retour et même un contact si possible
Aziz : oui oui...t'inquiète pas seul les montagnes ne se croise pas mon amis mais les hommes si
Arthur : (sourire)je l'espère
Aziz: aller parle moi encore un peu de cette ode
Et je me mettait a lui parler d'elle ,il riait bien de la passion que je mettais a parler de cette jeune fille c'était trop marrant.

Des mois plus tard
c'était déjà a nouveau la rentrer scolaire et il était temps de rentrer a Yamoussoukro j'avais hâte de retourner la bas pour prendre des nouvelles d'Ode.

Septembre 2007
J'étais enfin a Yamoussoukro .lorsque j'étais arrivée chez moi il m'a été dit qu'une jeunes fille du nom d'Ode était passé me voir  quelque jour après que je soit partie a Abidjan alors je me suis rendu chez elle pour prendre de ses nouvelles mais la maison était fermé et gardien était la
Arthur : bonjour frère
Gardien : eh bonjour monsieur ...sa fait longtemps hien
Arthur : Oui j'étais en voyage. Dit moi madame deva est t-elle la?
Gardien : ah monsieur la petite dame ne vous a pas dit? Mais il on annoncé a madame que sa demande pour être affecté a Abidjan avait marché donc elle est partie avec demoiselle ode chez monsieur Deva .moi je suis rester pour surveiller leurs maison.
Arthur: tu n'a pas leurs contact?
Gardien :aah monsieur y'a pas portable oh moi connaît même pas comment sa marche .c'est leurs frère Claude qui passe voir souvent et puis rend compte au patron
Arthur : ô(tristement) ok merci gardien(en m'en allant)
Gardien : merci monsieur. Au-revoir hien.
J'étais abattue c'est certainement ce que ode venait me dire puf c'est  dommage .c'était donc fini comment j'allais fait pour retrouver ode (soupir)
J'ai déprimé un peu pendant quelques temps surtout quand j'ai commencé a enseigné tout me rappelais ode .quand je rentrait chez moi je prenais le ruban qu'elle m'avait donné et je commençait a pensée a elle. Cette années avait été cool mais je sentais que quelques chose avait changer c'est comme si ode était partie avec une partie de moi aah ode ma ode j'espérais toujours la retrouver un jour le soir je priais de Dieu me la ramener j'étais si triste mais je devais prendre mon courage car en plus de cette année il me restais encore une année pour que je soit prêt a entamer mon doctorat sa n'était pas facile mais j'ai du m'adapter.

celle qui est devenue mon épouse : mon élèveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant