Le grand jour était arrivé, cela faisait maintenant une semaine que je n'avais pas vu ni parler à Hoseok. Il ignorer tout mes appels et messages et je savais pourquoi, j'avais vu les News, on nous avez suivi le soir ou nous étions au lac et la personne avait tout mit sur le net.
Mon dieu... c'était horrible, on ne voyait pas mon visage mais on reconnaissait très bien Hoseok et c'était tout sauf bon pour lui. J'avais décidé de me rendre à leurs dortoir mais c'était impossible de passé avec tout les journalistes qui était devant l'immeuble. En essayant de me faire un passage quelqu'un me tira vers l'arrière du bâtiment et je vis Jungkook face à moi me demandant de me taire.
Je le suivi jusqu'à une porte qui mener à l'intérieur et nous prîmes l'ascenseur.« Tu es venu voir Hyung n'est-ce pas ?
- Oui... je sais plus quoi faire et il refuse de me parler. J'aimerai qu'il me dise simplement que c'est terminer entre nous ça serai plus simple.
- Evy a beaucoup souffert mais Tae était anéanti. Evy lui avait dit de privilégier sa carrière et que lorsque ça sera le moment il pourra se mettre avec quelqu'un.
- Quoi ? C'est elle qui la quitté ?
- Oui, Taehyung voulait garder ça secret malgré tout.
- Elle m'a dit le contraire que c'était lui... elle a dû être énormément courageuse pour faire ça.
- Oui. »
Nous étions arrivé à leurs appartements, je me dirigeai directement vers sa chambre. Il était là à regarder les journalistes en bas.
« Je voulais pas que ça se passe comme ça. Avait il commence toujours de dos.
- C'est pas de ta faute, tôt ou tard ça allait se savoir.
- Je suis vraiment désolé. Tout ça, ça sera beaucoup trop de pression pour toi... je veux pas t'imposer tout ça.
- Tu ne m'a rien imposer. Je l'ai choisi toute seule. J'imagine que ça va doit être dur. Mais je pense que c'est possible de...
- Tu sais bien que non. Il se tourna enfin vers moi. Je veux pas qu'on te harcèle, qu'on t'insulte qu'on te suive. Tu n'as que 18 ans, tu as toute ta vie devant toi et tu dois trouver ta place et quelqu'un avec qui tu pourra faire de grande chose.
- Mais... Tu sais bien que, il n'y a que toi.
- Je sais mais je ne veux pas que ta vie soit ruiner à cause de moi. Il pleuré, je pleuré aussi ça me briser le cœur. »
Je m'approchai doucement de lui et le prit dans mes bras, je le serrais fort, au bout de quelque seconde il me rendu mon étreinte. Et j'étais là à pleuré, je savais que c'était un adieu. Un horrible adieu.