Chapitre 1

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Mon fiancé me tenu la main. Je tournai ma tête pour lui sourire. Il fit de même. Soudain il se mit à la serrer très fort, presque à me tordre la main.
- Arrête, j'ai mal Charle.
- Tu ne m'aime pas ? Dit-il avec un regard perçant.
- Si mais j'ai très mal.
Le chauffeur de taxi se retourna pour me demandai si tout aller bien. Mon fiancé fit un bond sur son siège.
- Et pourquoi ça n'irai pas. Tournez-vous malheureux et regardais la route.
Le chauffeur obéit. Je tournai ma tête pour contemplait le paysage de la Suisse.
- Tu es contente de ton cadeau de mariage ?
- Bien sur, moi qui n'ai jamais visité les petits coins de ce merveilleux pays...
Le chauffeur ne se retourna pas mais me dit d'un ton sérieux :
- Madame, il ne fallait pas venir. Vous allez le regrettez.
Pendant que mon fiancé était en train de faire la moral, je restait perplexe. " il ne fallait pas venir. Vous allez le regrettez." Quelle étrange manière d'accueillir les gens.

Quelques heures plus tard, nous arrivâmes devant le château de Gruyère. Il est vrai que tout ces événements font un peu cliché mais je restai sur mes gardes. Pour que je descende de la voiture, un hôte m'ouvrit la porte et il me prit mes valises. J'attendais que mon fiancé descende pour rejoindre le reste des invités devant le château. Une dizaine de personnes attendaient comme moi. Au lieu d'écouter le major d'homme, j'analysais les personnes une par une. D'abord je pus observer un homme qui m'était familier. Je crois l'avoir vu dans Le Figaro. C'est bon ça me revient, j'avait lu l'article le concernent. Si je me rappelle bien c'est un allemand prénommé M.Lambert. Il avait opéré une grande danseuse. D'après ce que j'ai lu il sait parfaitement parler français. Ce jeune homme était grand et mince avec un sourire adorable. Sa peau blanche comme le linge fait ressortir ses lunette de vu et ses joues rose.
À côté de lui se dressai une jeune femme blonde appelait Marguerite Turner, la célèbre danseuse du Moulin Rouge. Elle paraît plus belle en vrai. Ces lèvres sont rouge et brillante. Elle portait des roses rouges dans ses cheveux. Marguerite avait une longue robe beige. Quelle belle femme comparait à moi...
Ensuite, je tournai ma tête pour observais un homme d'à peu près soixante ans.
Son visage lui donner un côté gentil. il était petit et portait un chapeau noir. Je me demande comment un homme aussi mal vêtu peu se payer des vacances au château. Bon après tout l'habit ne fait pas le moine.

Après de longue minutes dans ce vent glacial, on put enfin rentrer. D'après ce que m'avait expliqué Charle, M. Dupes, Le major-d'homme était en train d'expliquer les origines de ce château et les règles.
Arrivée à l'intérieur, je m'assieds en attendant que mon mari faisait connaissance des invités.
Que faire pendant ce temps-là...
L'ennuie est la pire des choses qu'il soit. Je décida alors de sortir mon rouge à lèvres et de m'en mettre. Après ça, je me leva et alla dans une salle non loin du hall. Une porte avec une fenêtre m'accueilli. Je l'ouvrais et compris que la salle était une salle des fêtes. Des tables et des chaises était disposé un peu partout. Une nappe blanche était sur chacune des tables.
Je restai debout contre un mur. Trois femmes se mit à parler entre elle. La plus charismatique avait des boucles doré. Ses yeux étaient entourés d'un crayons noirs. Son traits de sourcils était fin. Je lui donne vingt-et-un ans. À côté d'elle se dressait une femme amusante et pleine de gaité. Elle avait un regard d'enfant. Sa silhouette androgyne lui va à merveille. Des cheveux roux et ondulés allait jusqu'à ses épaules. Quelle est charmante...
La troisième l'était moins par contre. Des cheveux noirs et lisses descendaient le long de son dos. Des lèvres noirs et un regard glaçant lui donnait l'allure d'une femme solitaire et mélancolique. Elle ne portait que du noir. Cette femme ressemblait étrangement à un fantôme. Je riais bêtement.

Tout à coup je sentis la présence d'une personne derrière moi. Je me retournais et vis Le veille homme de tout à l'heure. Celui qui était vêtu d'habits de misérables.
- Bonjour mademoiselle, pouvez vous me rendre un service, vous m'en serai reconnaissant.
- Oui bien sur, le quelle ?
- Et bien je n'arrive pas à trouver ma chambre, dit-il en regardant autour de lui.
- On ne vous a pas donné les clés de votre chambre, le numéro est marqué dessus...
Il fronça les sourcils. Puis, son visage s'illumina. Il fouilla dans les poches de sa vestes et sortit des papiers froissé et des clés.
- Les voilà ! S'exclama-t-il d'un air triomphant.
Il me les donna. Je pus alors apercevoir un porte-clés en cuir. Le numéro était inscrit dessus.
- Votre chambre est le numéro 22. Cherchons ensemble où vous allez dormir se soir.
- Allons-y !
Cette homme était très enthousiaste à l'idée que je l'accompagne. Je ne savais pas qu'on pouvait être joyeux aussi facilement !
Nous nous sommes mis en route pour le couloir du rez-de-chaussée. Les numéros était compris entre un et dix. On est du coup monter au premier étage mais là, c'était compris entre onze et douze. Il rester donc le deuxième étage compris entre vingt-et-un et vingt-deux. Les deux dernier étage était juste les chambres des hôtes et leur salle de bain.
Au moment d'ouvrir la porte du veille homme, je lui demandai son nom.
- Je me présente : je m'appelle M. Tubal et je suis archéologues. Je vis actuellement en France plus précisément en Ardèche. Il y a beaucoup de grottes là-bas. Mais je suis anglais. Et vous ?
- Je m'appelle Anna Collin et je suis journaliste. Je vis à Lyon.
Il prit ma main et l'embrassa.
- Enchanté mademoiselle. J'aimerais dîner avec vous ce soir.
- Avec grand plaisir je pourrais vous présenter mon mari.
- Très bien à toute à l'heure.
Je lui souris. Décidément, cette homme est parfait même si il est un peu haut perché.

En allant au bout du couloir, je vis un hôte revenir de l'ascenseur. Il portait plusieurs valises. Il se précipita devant moi. Il sortit un vieux papier de sa poche.
- Je cherche un certain monsieur Tubal, dit-il en lisant sa feuille. Vous ne l'auriez pas vue ?
- Si justement je viens de le voir.
Avec un peu de pitié je rajouta :
- Je vais lui amener les valises, ne vous inquiétez pas.
L'hôte ne me posa pas de question et me remercia.
Je me dirigeais devant sa chambre. Au lieu de toquer à la porte, j'écoutais la conversation de l'homme au téléphone.
"Oui madame ... je le sais ... je ne suis pas venue pour me divertir... c'est sur... bien sûr, je ne suis venue ici que pour ça... c'est notre contrat... au revoir."
J'eus des grands yeux ! Un contrat ! Quelle contrat ? C'était qui cette femme au téléphone ? C'est un voyage professionnel ? Ce n'est pas ce qu'il a dit tout à l'heure !
En fessant demi tour j'essayais de comprendre ce coup de fil.
Charle venu vers moi en courant.
-Anna ? Cela fait (il regarda sa montre) une heure que je te cherches. Tu ne peut pas rester en place toi alors !
Il m'attrapa le bras.
- Je suis confuse Charle mais j'étais avec quelqu'un.
- Ferme-là et avances !
Je l'obéis. Je pus m'empêcher de regarder derrière moi. M. Tubal me regardait avec un regard glacial. Un frisson passa sur mon dos.
- Charle, dépêche-toi de me montrer notre chambre, je ne veux pas rester ici plus longtemps.

Merci d'avoir lu ce petit chapitre 😊. J'écrirai sûrement la suite vendredi si j'ai le temps. Donc si il y a des fautes d'orthographes veuillez m'excuser... l'orthographe et moi sa fait deux ! Merci encore et à vendredi !

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