Dream

Chapitre 5

Du point de vu de Lambert

Une connaissance ? c'est comme ça qu'elle me voit ... Je ne suis qu'une connaissance pour elle, je ne suis rien d'autre ... je l'aimais moi !
- C'est pas du tout ce que je voulais dire ! Je vous considère comme un coéquipier !
Elle devrait arrêter de dire des mensonges. Je partis dans l'autre sens. À quoi bon rester avec elle ?
Je n'arrivais pas à me retourner. Je voulais tellement admirer sa beauté. Je ne pensais plus qu'à elle. A côté, Marguerite Turner n'était rien ! Je ne suis pas amoureux mais son charme naturel me comble de plaisir. De
Toutes façons il ne fallait pas que je m'attende à devenir son ami, on ne se connaît depuis que quelques jours seulement.

Avant de dormir, je remémora la beauté délicate de cette femme.
Je commençais à fermer les yeux lentement mais je sentis quelqu'un qui me tenait la main. J'ouvrais mes yeux et mon regard se posa sur Anna.
- Suivez-moi Hermann ...
- Mais ...
Sans que je dises un mot, elle me tira Le bras pour que je la suives. En mettant son index devant sa bouche, elle m'emmena dans le couloir. Je ne savais pas quoi dire. Je restai planté comme un piquet. En s'apercevant que je ne venait pas, elle me rejoignit. Anna avait toujours le sourire aux lèvres. Un sourire malicieux mais aussi bienveillant.
Elle me tenu les deux mains et se tena sur la pointe des pieds. Sans hésiter elle m'embrassa sur la joue gauche.
- Et maintenant, vous me suivez ?
- Et bien ... je ... je ...
Je devenus tout rouge et mon frond était très chaud.
Après une courte réflexion, je l'a suivi.
On descendaient les escaliers pour aller dans le parc.
- J'ai peur docteur, me dit-elle en me prenant dans ses bras.
Ses toutes petites mains et son visage réussirent à me faire fondre. On aurait dit un lapin apeuré.
- Vous avez peur de quoi ?
Elle pointa du doigt la marre.
- Tout ce cinéma pour une marre ?
Elle leva sa tête de mon torse et fronça les sourcils.
Je m'approchais prudemment de la marre. Je me penchai un peu. À travers la glace, je pus voir un œil m'observer.
Je me retournai et vit Anna tremblante. Je ne savais pas si elle avait froid ou peur...
Je me remit à observais l'œil.
Je me retournai une deuxième fois et vis Anna me donner un coup de poêle en disant : "Désolé !".

Le lendemain matin, je me réveillais avec difficulté. Ce n'était qu'un rêve.
Pourtant, j'avais senti ses lèvres sur ma joue et la douceur de ses mains dans les miennes. Concentres-toi Hermann ...
Au moment où je m'apprêtais à m'habiller, quelqu'un toqua à la porte de ma chambre.
- Oui ?
- Désolé de vous déranger monsieur mais votre amie vous attend à la table trois de la terrasse.
Je m'empressai de m'habiller et me coiffer pour rejoindre mon amie.
En arrivant à la terrasse, je m'attendais à voir Anna mais Marguerite m'invita à s'asseoir avec elle.
- Bonjour Hermann !
- Bonjour Marguerite. Vous n'auriez pas vu Anna Collin par hasard ?
- me parler pas de cette peste s'il vous plaît, je l'a hais !
En regardant les invités pendant que Marguerite parlait dans le vent, je vis Anna.
Je fonçai à tout allure vers elle.
- Bonjour monsieur ...
- Bonjour madame ...
Elle mit une mèche derrière son oreille. Je me sentais mal à l'aise aussi.
- Je m'excuse pour la dernière fois docteur.
Son beau visage n'osait pas me regarder.
- Je vous pardonnes.
Elle souffla et tourna sa tête pour me regarder dans les yeux.
- Vous n'êtes pas qu'une connaissance pour moi docteur...
- C'est vrai ? Je suis quoi pour vous ?
Elle me sourit légèrement. Elle était magnifique.
- Vous êtes le seul homme que j'apprécie.
Je devins tous rouge. Elle arrivait à me redonner le sourire.
Un peu gêné du silence, elle regarda son bol de lait. Elle commença à manger son croissant.
- C'est la première fois que je vois un français manger un croissant...
- Vous en voulez ?
Je ne pouvais pas dire non.
- Oui s'il vous plaît.
Elle me tendit son croissant et j'enlevai un bout. Je laissa fondre dans ma bouche, le beurre.
- C'est délicieux, moi qui croyait que c'était sucré alors que non, pas du tout !
- vous aimé les spécialités françaises?
Je bougea la tête des deux côtés ...
- Cela dépend ! Par exemple, j'aime les croissants mais pas les choux de Bruxelles...
Anna se mit à rire.
- Ce n'est pas français les choux de Bruxelles !
Elle continua de rire. Elle était de plus en plus jolie. En voulant mettre mes mains sur le visage pour l'admirer, je fit un mauvais geste et le verre d'eau coula sur la robe de Mme. Collin.
Ho non ! Elle s'arrêta de rire et se mit à s'inquiéter. Qu'est-ce que je peux être maladroit des fois !
- Je m'excuse Anna, j'ai juste voulu...
Elle me coupa la parole.
- Je crois que j'ai plus faim...
Elle se leva de table. Je me donnai des coups sur le front. J'en ai marre de moi ! Pauvre Anna, elle pense que je suis venu à sa table juste pour l'embêter. Pourquoi je suis aussi bête qu'un âne ? Je voulait juste admirer sa beauté mais j'ai tout gâché.
Je voulais me faire tout petit autour des invités qui se moquer de moi. J'enlevai mes lunettes rondes et me frottais les yeux en espérant que c'était juste un rêve !
Malheureusement, ce n'est pas un rêve comme cette nuit mais un cauchemar dans la vie réel.
Je ne restai pas longtemps sur la terrasse et partit la rejoindre dans les couloirs.

Mille merci de me suivre ! J'espère que ce chapitre vous plaît parce que je me suis amusé à l'écrire... bon je crois que je n'est rien d'intéressant à vous dire donc à la prochaine !