Leave me alone

Chapitre 1

Salut c'est la première fois que j'écris une fiction sur wattpad donc je ne sais pas si ça va être bon. J'espère que vous allez apprécier mais n'hésitez pas à me dire si j'ai des choses à améliorer. Juste pour vous prévenir la plupart des choses dites dans ma fiction ne sont pas réelle!

Ps: désolé s'il y a des fautes je fais mon possible.

**

- Tu es sûre que tu as tout? Demanda la française pour la millième fois au moins.

Aujourd'hui, Megan allait rejoindre son père au Brésil. Âgée de 16 ans, sa mère lui laissait prendre l'avion seule, mais ça ne l'empêchait pas d'être inquiète. Quelques fois si, Megan était tannée d'entendre toutes les questions et commentaires de sa mère, mais elle savait qu'elle faisait ça pour son bien. Megan aimait bien aller au Brésil, car en effet, ses deux meilleurs amis se trouvaient là-bas. Ses deux meilleurs amis étaient nul autre que David Luiz et Thiago Silva. C'est sûr qu'avec son père, coach de l'équipe national du Brésil, c'était plus évident de se faire de tels amis. La Portugaise, car oui elle est née au Portugal, adorait aller au Brésil puisqu'elle l'avait toujours habitée jusqu'à la séparation de ses parents. Elle avait tous ses amis là-bas qui lui manquaient énormément. Après milles bisous et au revoir de sa mère, l'adolescente se dirigea, en taxi, vers l'aéroport. Arrivée en ces lieux, elle ne faisait qu'attendre cette fameuse avion qui l'amènerait vers un autre continent.

Elle embarqua finalement dans l'avion, puis sombra dans un sommeil profond. Excitée de retrouver ses amis, la Portugaise n'avait presque pas dormit cette nuit. Le sommeil l'avait cherché toute la journée et cette fois-ci il l'avait trouvé.

- Chers passagers, l'avion touchera terre dans un instant je vous demande donc de mettre votre ceinture en principe de sécurité, je répète...

Le message du commandant réveilla la jeune fille en sursaut. Il passait le message fort dans cette avion. Sûrement pour réveiller les genre qui dormaient justement comme elle. Déjà attachée, elle ne faisait qu'observer le sol qui petit à petit se rapprochait. La vue qu'elle avait était splendide. Une grande ville qui grouillait probablement à cause de cette fabuleuse coupe du monde qui approchait, des palmiers qui dansaient avec le vent et cette mer bleue qui vous donnait le goût de plonger tête première de dans.

Arrivée sur terre, elle pouvait enfin bouger ses jambes qui commençaient à devenir engourdies. Elle prit ses deux valises, puis sortit directement pour intercepter un taxi. Elle n'avait qu'une seule envie: aller au stade de Fortazella où son père et tous ses amis l'attendaient. Assise dans la voiture, elle indiqua l'adresse au chauffeur qui démarra en moins de deux. Elle regardait les maisons défiler sous ses yeux et pensait à la réaction des gens qui l'avaient tant manqué.

- Nous sommes arrivés, indiqua le moustachu assit à l'avant de la voiture.

Megan le paya, puis sortit de la voiture se dirigeant tranquillement,mais hâtivement vers les portes qui la séparaient de tous ses amis ainsi que son père. Elle laissa ses deux valises sur le bord des vestiaires, puis se dirigea vers le terrain. Sur celui-ci, les entraîneurs parlaient de stratégies et les joueurs faisaient quelques exercices. Personne ne semblait remarquer sa présence et Megan ne voulait pas les déranger. Elle se laissa donc tomber dans la fausse herbe regardant les garçons s'entraîner. Au bout de quelques minutes, son ami David s'arrêta brusquement la dévisageant. C'est vrai qu'elle n'était supposée arriver que ce soir, mais elle avait préféré prendre l'avion plus tôt et leur réserver une petite surprise. Un blond derrière lui, le percuta et se plaignit:

- David merde qu'est-ce que tu fais?

Le numéro quatre ne pris même pas la peine de lui répondre il préférait largement voir sa meilleure amie. Pendant un instant, David croyait rêver puisque personne d'autre ne réagissait même pas Laurie sa meilleure amie qui était infirmière pour l'équipe. Il resta là un instant sans bouger ni parler. Le numéro 10, lui qui l'avait percuté, le regardait toujours cherchant une réponse de son arrêt inattendu. Le bouclé décida de finalement courir vers sa meilleure amie. Il ne pu s'empêcher de crier:

- MEGAN!!!!!!

Tous les joueurs s'arrêtèrent et fixèrent Megan qui s'était fait bousculer par son ami. Elle était présentement étalée sur le sol lui par-dessus elle.

- Argh.... David tu m'écrases, se plaignit la jeune fille qui avait du mal à respirer sous le poids du jeune homme.

Le numéro 4 se leva, puis lui tendit la main qu'elle prit sans se plaindre. Elle était finalement debout et les regards étaient toujours posés sur eux. Laurie approcha et serra son amie dans ses bras. Elle lui avait tellement manqué. Laurie avait du mal à supporter de la voir si peu souvent. Elles restèrent dans leur étreinte au moins 2 bonnes minutes. C'est finalement Monsieur Luiz Felippe Scolari qui ramena les joueurs à l'ordre:

- Allez les gars ont continu!

Les garçons retournèrent sur le terrain vaguer à leur entraînement. Mr. Scolari s'approcha de sa fille la serrant fort dans ses bras. Après quelques instants, le coach retourna à ses occupations. Megan, pendant le reste de la pratique, discuta avec Laurie de tout et de rien. Finalement, son père siffla la fin de la pratique. Ce n'était pas trop tôt, pensa la portugaise fatiguée dû au décalage horaire. Elle se dirigeait vers la voiture ses valises traînant derrière elle. Elle les mis dans la valise de la voiture de son père et attendit son père. Il arriva quelques minutes plus tard accompagné d'un joueur au cheveux blond. Megan ne l'avait jamais vu avant et pourtant elle connaissait la plupart des garçons. Après tout, elle voyait chaque année la plupart des joueurs s'entraîner sur le terrain.

- Megan je te présente Neymar, Neymar ma fille Megan, présenta le père de la portugaise.

Le blond sourit à Megan qui lui rendit. De proche, elle s'aperçut que c'était en fait de la teinture, mais peu importe ça lui allait plutôt bien. Les trois rentrèrent dans la voiture, les hommes en avant et Megan à l'arrière. Ils arrivèrent dans l'entrée de la luxueuse maison de Mr. Scolari. Ils débarquèrent et à son étonnement, Neymar rentra directement dans la maison comme si c'était la sienne.

- J'avais oublié de te dire que je l'hébergeais, car il est toujours mineur, mais important pour l'équipe il a vraiment du talent, dit le paternel des étoiles dans les yeux.

Quand il parlait de Neymar de petites étoiles scintillaient toujours dans ses yeux. Certes, Neymar n'avait que 17 ans, mais il était vraiment doué. Cette année, Felippe avait repêché 3 nouveaux joueurs. De jeunes joueurs et tous les spectateurs étaient contre leur choix. Ils croyaient que ce n'était pas un bon choix et que ceci allait nuire à l'équipe. Felippe lui croyait le contraire. Il pensait même que Neymar pourrait être un super capitaine il avait seulement peur de la réaction de Silva. Megan entra dans la maison et se dirigea vers la chambre où elle couchait toujours lorsqu'elle venait voir son père. Elle se laissa tomber sur son lit et ferma tranquillement les yeux. Elle cherchait le sommeil, mais ne le trouva pas pourtant elle était fatiguée. Elle descendit au rez-déchaussé où son père et Neymar discutait.

- Bon je vais faire quelques courses, dit Luiz Scolari prenant les clés de la voiture.

Le faux blond hocha la tête en guise de réponse. L'aîné se dirigeait vers la porte, mais il s'arrêta, puis se retourna vers le mineur qui pitonnait sur son téléphone:

- Attend... Il faut que tu me promettes un truc.

Neymar leva cette fois les yeux de son téléphone regardant le plus vieux dans les yeux.

- Quoi? Demanda le Brésilien légèrement inquiet.

- Il faut que tu me promettes que tu ne feras rien avec ma fille, dit Scolari cette fois-ci plus sérieusement.

Le jeune homme eu un soupir de soulagement. Il n'aurait rien fait avec sa fille de toute façon. Le faux blond retourna sur son téléphone. Il était tellement concentré qu'il n'avait même pas remarqué la présence de la portugaise. Elle se fît un verre d'eau sans n'adresser qu'un seul mot au Brésilien qui cette fois la regarda. Pourquoi? Se dit-il... Pourquoi avoir fait une promesse intenable?