Je te retrouverais où que tu sois

Chapitre 11

Pdv: Harry

Quoi ?   C'est une blague !

Même si j'aurais du m'en douter, je n'arrive pas comprendre comment il peut toujours être en " vie ".

- Vous avez bien dit, Salazar Serpentard? Je pense que l'incompréhension s'entend dans le timbre de ma voix.

- Oui jeune sssorcier, mon maître à été dépouiller de ssson âme et, par malchance, enfermer dans sssse vase. siffle Felipha 

- Je ne comprend pas comment le " Grand " Salazar Serpentard à pu être dépouiller de son âmes. Après tout n'est-il pas l'un des meilleurs sorciers qui existe depuis Merlin! 

Je pense que Felipha prend mal mon ironie, quand je la voit se tourner vers "Salazar", j'hausse un sourcils, à la Snape.

- Mon maître ne sssait pas pourquoi, n'y comment, mais nous sss'avons qui.

- Mais bien sur. Si je vous ais suivi toi et cette chose que tu prétend être Serpentard, c'est pour une seul et unique raison, j'avais besoins de penser à d'autres choses. Mais il est hors de question que je crois a toute cette histoire sans preuves.

Je ne laisse pas le temps au serpent de répondre,  que j'enchaîne directement avec un ton que j'espère plus dur.

- Nous avons étudier en cours d'Histoire de la magie, quand le professeur ne parlais pas de la guerre Gobeline, que le " grand " Salazar Serpentard avait fuit Poudlard, quand tous ses amis, Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle, lui ont tourner le dos. Donc je ne voit pas pourquoi je devrais croire que son âme est en ce moment même devant moi.

J'allais me retourner et à partir loin d'eux, quand Felipha s'enroule autour de ma taille et bloque mes jambes. Je ne peux plus bouger. 

- Petit sorcier, ne bouger plus, écoutez-nous, nous ne vous mentons pas. Siffle Felipha.

J'essaie de me dégager autant que possible de cette étreinte, mais rien à faire, elle ressert son corps froid contre le mien. Je cesse de bouger et de me débattre par la même occasion.

Je fini donc par observer la masse sombre qui se déplace pour se mettre devant moi. Si ce qu'il prétend être est vrai je ne saurais plus quoi faire. J'ai beau essayer de ne pas les croires mais après toutes les trahisons que je vit en se moment, je pourrait bien m'y faire.

Quand je pense que Ronald n'a été ami avec moi, juste pour pouvoir me tuez et offrir mon cadavre à Dumbledore, et que celui-ci puisse avoir tout le pouvoir qu'il veut, m'a profondément blesser. Ceux que je considérais comme des personnes de ma famille ne sont que des arrivistes, ça me désole.

Je me suis fait avoir en beauté, se servir des mes sentiments et de mon manque d'affection envers ma famille, pour oser me faire croire qu'il était les gentils, c'est vraiment dégueulasse .

Je fini par reprendre connexion avec ce qui m'entours.

- Petit sorcier, vous nous entendez ?

Je fait un signe de tête pour leurs faire comprendre que je suis tout ouïe.

- Allez vous nous écoutez ? Nous aidez ?

- Je veux bien écouter , mais je verrais par la suite si je crois à votre histoire. Donc si je n'ai aucune preuve qui me permet d'y croire je ne vous aiderais pas.

L'ombre s'approche de ma tête, elle s'arrêt devant mes yeux.

Merci Jeune Harry Potter.

Je regard surpris l'ombre car cette phrase je l'ai entendu dans ma tête.