Je te retrouverais où que tu sois

Chapitre 22

Bonjour a tous.

 je vous souhaite une bonne lecture 

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Pdv : Prisonnier

Se froid qui me parcourt le dos, le bruit du vent qui passe a travers les fissures des murs, le bruit des rats qui court sur le sol. Les cris d'agonie de tous ses autres détenu. Tous se qui m'entours me fait perdre l'esprits. Je ne peut bouger mes membres, ses chaines qui me retienne suspendus au dessus du sols, qui marque ma peau et font coller mon sang. 

Cela fait des années que je suis enchaînée de cette façon. personne ne viendra me sauvez, j'ai essayer de garder espoir malgré les dires de cet garce, je sais très bien que jamais MON Salazar n'aurait avoir une quelconque relation avec elle. Pourtant plus le temps passe et plus je désespère de le revoir un jour. 

Son si beau visage, tout en finesse , un nez en trompette, une peau tellement claire que l'on pourrais penser que les anges eu même on crée cet hêtre. De magnifique yeux gris tacheter de vert qui se marie parfaitement avec la couleurs corbeau de ses cheveux. Son corps si fin qu'il pourrait se briser si on le serrais trop fort et pourtant toute ses fois ou je l'ai étreint avec force et sauvagerie. Les souvenirs de nos nuit d'ébats me permet de garder pieds avec la réalité. 

Je me sens seuls sans mon précieux compagnon.  Malgré tant d'année je suis toujours fou amoureux de lui et rien ne pourra le changer.

Le bruit de talon qui claque sur le sols est pour moi le signe de torture qui ne vas pas tarder a arriver. Elle ne descend que pour accomplir deux choses. La première me torture physiquement et psychologiquement. la seconde observer tout le pouvoir qu'elle avait sur ces jeunes femmes qui se sont enfui il y a peu. 

Je sais très bien que cette garce est sur les nerfs de savoir que son larbin a laissez s'enfuir deux de ses précieux prisonnières. En toute franchise, j'aurais aimez qu'elles est le temps de me sortir de cet enfers pourtant je sais très bien que si elle avait fait cela elle n'aurait jamais eu le temps de se sauvez. Je prie pour qu'elle soit toute les deux saine et sauve. Et qu'elle puisse envoyer quelqu'un me sauver. Je ne vais pas me mentir, je veut être sauvez et je suis peut-être égoïste de pensez de cet manière mais après tant d'année a être torturer je ne pense qu'à deux et unique chose. La liberté et SALAZAR. 

J'observe la porte s'ouvrir de plus en plus et de voir cet femme entrée dans cet pièce me donne envie de vomir, si possible sur elle. 

- Bonjour Godric, comment te sens tu ? Son expression est mauvaise, son visage n'exprime que cruauté et haine. Elle se fiche particulièrement de comment je me sens, elle veut juste me faire comprendre qu'elle est en position de force et que moi je ne suis qu'un cafard sur son chemin. 

- Je ne te retourne pas la question. Je souffle. J'en ai presque perdu ma voix a force de crier sous les coups de cet femme et surtout sous ses sorts de torture. Je vois parfaitement son regard se faire noir et ses yeux rétrécir.

- Je voit que tu est en bonne santé si tu as la force de me répondre. Je perçoit un mouvement de main et un sort percuter mon corps déjà meurtrie et lacérer. Avec le temps j'ai appris a retenir mes cris et a ne pousser que de faible gémissement de douleurs. Pour ne pas lui donner le plaisir de me voir souffrir  je prend sur moi et endure cette séance qui comme je le pré-sentait n'est qu'un moyen pour elle de décharger sa colère et sa frustration. Celle de ne pas avoir retrouver les évadées. 

La séance a durée se qui me semblait des heures. A la fin mes faible gémissement commençait a augmenter de volume. au finale elle ne c'est arrêter que lorsque quelque coup on retenti sur la porte. Signe que son petit chien chien était présent.