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« Les souvenirs s'interprètent comme les rêves »___

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« Les souvenirs s'interprètent comme les rêves »
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Moi : Retire tes mains Malick !

Il les enlèves et je m'écroule au sol en reprenant ma respiration. En se mettant à croupi devant moi il dit ces derniers mots.

Malick : Je sais que t'y pour quelques chose avec la disparition de Sarah... Si j'apprends que tu l'a aidé ça ira très mal pour toi princesse tu es prévenue

Il me fais un clin d'œil et s'en va.
Je me lève avec encore la main autour du cou pour soulager la douleur qu'il m'a fais, ma respiration est saccadée à mort, j'en ai même mal à la poitrine. Je sors de l'appartement en courant pour rejoindre ma voiture

Quel enfoiré celui là, je le hais à a un point inimaginable. Le fait qu'il m'ai touché ça me ronge de l'intérieur j'ai vraiment envie de tout niquer, il me répugne tellement j'oserais plus jamais m'approcher de lui après ça c'est sur.

Il a alimenté encore plus cette haine que je renferme en moi pour les hommes, il suffisait qu'il fasse déborder le vase avec cette « chose » qu'on appelle un baiser pour me mettre encore plus froide qu'avant, vraiment je suis hors de moi mais je ne le montre pas.

Noah : Alors c'était comment là-haut ? Malick il prend un peu trop la confiance lui ça y es il vend 2-3 barrette de shit il s'prend pour Zepek'

S'il savais.

Moi : Pas maintenant Noah... s'il te plaît je suis déjà assez à fleur de peau comme ça, le trajet du retour ne sera pas comme l'allé donc je sais pas appelle tes ex... écoute de la musique mais ne me parle pas
Noah : Azi (en mettant ses écouteurs)

Je met les clés dans le contact et c'est parti pour Paris.















(...)














7 ans plus tôt...

J'étais en vacances d'été chez Sarah pendant les 2 mois consécutifs, son père c'était arrangé avec le miens pour que je puisse aller chez elle ; ça été un vrai combat ma mère était d'accord tant dis que lui son accord il était mitigé il a pris 1 mois pour accepter. Ça été dur de négocier mais on a réussi.

14:14

Nous étions dans la chambre de Sarah à faire nos petits débriefing de nos mois scolaire, on se racontait tout plein de potin etc...
La relation que j'ai avec Sarah c'est un peu comme celle que j'ai avec Adah ; on n'est si proche malgré la distance qui nous sépare c'est pas si évident. Mais on réussi tout de même à se comprendre parce qu'on a les mêmes délires et comme ils disent « qui se rassemble, s'assemble ».

[2] « Laisse moi soigner tes blessures »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant