PROLOGUE
*********Karim
Merde, merde merdeuuuuh…
Je ne peux pas rester une minute de plus dans ce bureau non ce n’est pas possible. Je regarde ma montre et voit 16h27 et cet homme qui viens tout simplement de pointer son nez. Comment je vais faire maintenant pour écourter ce rendez-vous et puis…
Karim ? je te dérange ???
- Oh non pas du tout. J’étais juste sur le point de rejoindre ma femme, je devais aller la chercher au salon de coiffure…
- Oh je suis vraiment désolé, mais comme je te l’ai dit tout à l’heure, c’est vraiment urgent que vous révisiez ce document pour moi, que dis je, c’est une question de vie ou de mort. Figurez-vous, j’ai même peur de rentrer chez moi, car je veux d’abord boucler cet investissement…
- Naturellement Georges…
- Je suis à Bricktown depuis seulement quelques mois, mais je sens l’arnaque à des kilomètres.
Je le laissais parler tout en prenant le soin de vérifier méticuleusement le document qu’il me tendait. Je ne comprendrai jamais ce Georges, il vient s’installer aux usa pour un projet qu’il a accepté avec un de nos investisseurs, et aujourd’hui, il veut que je lui prouve que ce dernier est de bonne foi. Pff…
Un an que je suis à Bricktown avec ma famille et c’est la première fois que je suis si agité, et anormalement excité. Cette femme va me rendre fou un jour et je sais que ça ne tardera pas à arriver…
Je repensais déjà aux photos qu’elle m’a envoyé il y a de cela quelques minutes, et j’ai l’impression que mon membre va sortir de mon pantalon …
« DAMN…SHIT »
- Karim tout vas bien ?
J’avais presque crié et Georges est soudain inquiet. Il faut que je me concentre, car plus vite je consulte ces documents et plus vite je la rejoins…
Je me demande bien comment un homme comme lui peut tout laisser en France pour venir dans ce pays, et après dire qu’il n’a pas confiance en son associé. En réalité, j’ai rencontré George il y a de cela quelque mois au congre qu’avais organisé le maire de la ville, en faveur des meilleurs entrepreneurs du moment. Bien évidemment, son associé faisait partie des nominés, mais apparemment, quelque chose le tracasse.
Après une bonne dose de concentration, j’arrivais quand même à lire le fameux document, et comme il le sentait, il y avait quelques incohérences. Oh je ne voulais pas l’induire en erreur, mais tout ce que je pouvais faire c’était retarder l’échéance de ce contrat et aller retrouver cette bombe ambulante qui m’attendait sagement….
Je levai les yeux vers lui et apparemment, il avait aussi peur que moi…
- Georges… je vous demanderez de rentrer chez vous tranquillement et vous direz à votre associé de vous donner un délai de 5 jours. Je pourrais discuter de ce document avec les avocats et vous revenir…
- Karim… ça n’augure rien de bon…
« Ay way ki kagne Lay Diouk abalma sama bureau » (quand est ce qu’il va enfin se décider à sortir de mon bureau ???)
- Ne t’en fais pas Georges, et tu n’as rien à craindre.
- J’ai juste peur Karim, peur d’avoir tout abandonné pour rien.
Je me levai précipitamment et lui tapotait l’épaule. Mais il faut qu’il parte, il le faut, j’ai besoin de partir moi aussi, j’ai besoin de régler ce petit problème qui me tuait l’entre jambe à petit feu…
- Bon Karim merci du fond du cœur. On se reparle lundi…
- D’accord, tu me salue ta femme….
Quand il sortit enfin de mon bureau, je fis un grand ouf de soulagement et me précipitait de nouveau à mon siège. Je pris mon telephone pour regarder de nouveau ces photos : oh mon Dieu, qu’est ce qu’elle me fait cette femme…. je vais mourir ça c’est sur… je suis sûr d’aller à ma perte…
Je les consultais une par une…. Son corps, ce décolleté et… cette robe. Sur la première photo, elle était en tailleur, rire, je ne sais pas comment elle a fait pour entrer dans ce pantalon, mais je sentais qu’il allait exploser d’une seconde à l’autre… et… rien sous la veste… ses seins rebondies comme jamais… je vais mourir …. Ça je le sais….
Je me lève brusquement et me dirigeai à la réception.
- Miss Smith ? do You have message for me ? (avez-vous un message pour moi ?)
- No M. Gueye
- Ok see You Monday….
Je ne lui laissai même pas le temps de me retenir, car la connaissant, elle trouvait un malin plaisir à me parler de tout et de rien, ce qui commençait sérieusement à m’énerver….
J’entrai directement dans ma voiture, et ayant la tête complètent chamboulée, je roulais à toute allure vers l’objet de mes désirs….
**********nana
Je ne sais même pas ce que je ferai sans cette bonne femme Mme Simpson. Et pourtant, il y a de cela quelques jours, je me plaignais auprès de mon mari car elle était bien trop présente dans notre vie et ne nous laissait même pas du temps pour nous. Aujourd’hui, elle s’est gentiment proposé de garder les enfants pendant que je me préparais à accueillir Ndeye fatou et Stéphane…
J’avais déjà prévenu Karim et il y plus de deux heure, il m’a dit qu’il était en route. Je ne le voyais toujours pas mais bref, je lui fais confiance… je pris mon temps pour ranger toute la maison, et comme je n’ai pas perdu mes habitudes sénégalaise, je mis de l’encens que m’avais envoyé ma mère, et qui sentais dans toute la maison. Une bonne odeur de thiouraye et une maison bien rangée, c’est ce que voulais mon mari…
Je souris encore en pensant à tout ce qu’on a traversé il y a de cela un an. Oui, nous avons passé un an à Oklahoma city et j’ai l’impression de vivre les premières années de mon mariage… un homme comme le mien existe-t-il toujours dans cette planète ??? Non je ne crois pas.
Je regarde encore ma montre et vit 19h. Je me dirige tranquillement dans ma chambre et devant mon armoire je décide de porter une petite robe en dentelle bleu, qui m’arrivait jusqu’aux chevilles. Un petit jupon à l’intérieur et le tour est joué.
J’avais pris le soin de tout mettre dans le four, mais en même temps, j’ai pris le temps de bien me préparer physiquement… j’avais envie de lui plus que jamais et je comptais le lui montrer, avant l’arrivée de nos invités…
Mais malheureusement, quelques secondes plus tard, j’entendis des sonneries à la porte de notre maison…. rire… merde !!! Criai-je…
C’était Ndeye fatou et Stéphane… ah ce couple….
Stéphane : nana nationale….
J’éclatai de rire avant m’approcher et de lui faire un gros bisou… je me tournai vers Ndeye fatou qui avec son gros ventre, souriait jusqu’aux dents… ah la vie…
Ndeye : dis-moi que tu as fait du yassa…
J’éclate de rire : du yassa à cette heure ?
Stéphane : Ey nana, tous les jours je prépare du yassa pour elle, c’est à croire qu’elle va en tomber malade…
Je lui caresse son ventre avant de la serrer dans mes bras. Je n’aurais jamais cru qu’un jour Ndeye fatou allait être si proche de nous. En effet, après notre voyage, ils avaient décidé de venir eux aussi aux états unis pour un marché que Stéphane avait gagné… Ndeye avait tout laissé pour le suivre mais apparemment la vie de femme au foyer ne lui réussissait pas bien…
Je leur demandais d’entrer et avant même de fermer la porte, je vois la voiture de mon mari se garder devant notre maison… un sourire me vint aux lèvres quand je le vis, un peu irrité en voyant la voiture de Steph…
Il marchait vers moi et j’eus le temps de le contempler un peu… il était toujours en pantalon super cent, chemise et gilet… il était beau, tellement beau que dès fois je me demande si cet homme était réellement à moi… et pour couronner le tout, mes yeux ne purent s’empêcher de descendre jusque vers la bosse de son pantalon… je souris et il fut mon niveau…
Je le regardais et n’arrivait pas à deceller ce qu’il y avait dans ses poubelles. Avais je reussis mon manège.… il m’attira à lui avant de me donner un chaste bécot sur la joue….
- Bonsoir mon amour….
Il me souffla : c’était quoi ces photos nana ?????
- J’avais envie de jouer mon ange….
Il se détacha doucement de moi avant de me regarder de haut en bas : j’ai envie de toi, et tu joues avec mes sens…
- Allez viens Karim, Ndeye et son mari son là ….
Quand je fermai la porte et le devançai, je sentais ses yeux sur mon derrière rebondi… rire il avait cette manie de me donner une tape, mais je savais qu’il se retenait. J’avais juste envie de rire, mais je me tu et me dirigeai dans notre chambre pour le laisser saluer sa cousine et son mari. Mais seulement quelques secondes plus tard, je l’entendis ouvrir la porte de la pièce : où sont les enfants ?
- Chez madame Simpson…
Je me retourne pour lui faire face mais je vis qu’il fermait la porte à clé….. ; Je reculai en souriant mais en quelques secondes, il était déjà devant moi et me dirigea rapidement dans la salle de bain
Je lui chuchotai : Karim…. Pas maintenant s’il te plait….
KAAAARIIIIIIMMMMMMMMM cria ndeye fatou a lautre bout de la maison.
Karim : MERDE !!!! Qu’est ce qu’elle veut…
Je fis un ouf de soulagement avant de me tirer de ses bras et de courir pour m’échapper de lui en éclatant de rire. Mon mari était toujours aussi amoureux, aussi excité et surtout, aussi chaud que jamais. J’adore cet aspect de lui et tous les jours, on explorait de nouveaux horizons au lit… rire
Pendant toute la soirée donc, monsieur se sentait en forme, mais dans sa discussion, on sentait l’impatience. Cependant, la goutte d’eau qui fit tomber le vase est quand Ndeye et Steph ont décidé de passer la nuit…. Karim était tellement choqué qu’il n’en revenait pas quelques minutes plus tard…
Bien sûr, il pouvait bien me demander d’aller nous coucher, mais quand Steph était dans les parages, c’était soirée match et jeu vidéo pendant toute la nuit… je souris intérieurement, mais pour dire vrai, j’avais tous mes sens en éveil…. Je me levai pour aller récupérer les enfants. Heureusement qu’ils dorment déjà et avec l’aide de ma voisine, je les couchais avant de retourner au salon ou la discussion allait bon train entre mon mari et Steph….
Karim me tendit la main et me demanda de venir m’installer sur le petit lit ou il était allongé…
Ndeye fatou dormait presque sur l’autre canapé et Steph était si concentré sur le match qu’il ne se rendait même pas compte que mon mari et moi étions allongés en cuillère dans ce lit canapé ….
Je lui chuchotai : si on allait se coucher ???
- Ça ne sera pas poli ma puce…
- Ndeye dort pourtant….
- Rire elle ne dort pas, tu la connais…
- Rire….
Il me mordilla l’oreille et je fermai automatiquement les yeux : j’ai envie de voir toutes ces tenues tu sais… et ce tailleur !!!! Mon Dieu… nana… me sussura t il.
- Karim….
- J’ai envie de toi ici…
- Non… bébé …
Je le sentis se bouger un peu derrière moi, provoquant une onde de désir dans mon entre jambe. Son contact me faisait toujours le même effet… il me caressait discrètement la hanche sous la couverture qu’il avait mis sur moi et sans hésiter il me souleve discrètement la robe….
MERDE…..
Je sentais son membre me titiller la peau de la fesse !!! Un homme aussi inconscient que Karim Gueye, il n’y en a pas deux….
- Je vais me lever arrête…
Il me susurra : je te le déconseille…. Tes regles ont duré ce mois ci… jai faillit devenir dingue darling…
Je n’avais pas le choix, il me tenait emprisonné par la hanche et j’en suis sûr, il avait les yeux fermés. J’avais honte j’étais gêné, mais j’étais aussi excitée que lui… quand il dirigea son membre sur mon intimité et sentant cette partie de mon corps toute humide, il gémit légèrement….
- Tu es toujours prete a m'accueillir darling..
- ….
- Tu m’as rendu fou toute la journée nana… me souffla-t-il en mordillant le lobe de mon oreille. Et soudain, alors que je ne m’y attendais même pas, il me pénétra doucement….
Je n’y croyais toujours pas et je me surpris à aimer ce qu’il fait…. il s’enfonça profondément en moi… tellement profondément que j’ouvris carrément mes yeux….. Non ce n’est pas possible… Karim me faisait l’amour devant tout le monde et personne s’en doutait….
Il faisait des vas et Viens rythmés mais souple … il était doux, entrait doucement puis sortais délicatement, faisant tout son possible pour faire le moins de bruit ….
Stéphane se Tourne soudain vers nous : vous dormez ????
Karim : ….. non mec
Il me caressa le bras mais j’étais juste bouche bée…
Ndeye fatou : bon je vais me coucher moi. Chéri tu viens ???
Steph : je continue le match vas-y je te rejoins…..
Ndeye fatou : Steph !!!!
Il soupira puis se leva, nous souhaita bonne nuit avant de partir. Mais Ndeye fatou, depuis la porte nous cria : vous avez une chambre vous savez….
Si la honte pouvait tuer, je serai déjà morte. Mai mon mari n’en fait pas cas, car il se leva soudain et me souleva
*
- Karim qu’est-ce que tu fais ???
- Tu as réveillé le lion qui dort ma belle… alors, assume en les conséquences jusqu’au bout….
J’éclatai de rire alors qu’il fermait la porte de notre chambre à clé. Et au lieu de continuer ce qu’il avait commencé, il alluma la lampe principale et commençait à se déshabiller sous mes yeux….
Mon Dieu !!!!!!
Il avait commencé par son t shirt qui faisait maintenant sortir ses biceps, mais ce qui me choquait encore plus c’est cette manie qu’il avait maintenant de me rendre folle avant de me faire l’amour…
- Viens, lui chuchotais je… mais il ne réagissait pas, et au lieu de me tuer de coup de reins, il s’approcha dangereusement de moi et souleva une de mes jambes qu’il mit sur ses épaules…. Il se pencha légèrement et promena sa langue sur ce bouton d’amour qu’il n’avait pas touché depuis la semaine passée….
Il le caressait avec sa langue, doucement… apparemment, il n’était pas tellement pressé…. Car oui, il y allait doucement lentement, mais surtout s’assurant d’insister sur mon clitoris avant de continuer son exploration…. J’évitais de gémir, car après chaque ébats, madame Simpson me taquinait sur mes cris….
Mais que pouvais-je faire…. mon corps commençait à perdre control, je ne savais plus ou je me trouvais et le premier cri que j’émis réussis à faire rire mon mari qui mis sa main sur ma bouche pour m’éviter une honte certaine….
- Hmmmmmmmmmmmmm
- Tu aimes ça hein ???
- Viens Karim s’il te plait…. ;
- Non trop top ma belle… tu sais j’ai été excité toute la journée à cause de tes photos, permet moi de te rendre la pareille…
Je me débattais dans ses bras et il continuait à me lécher la clémentine comme si de rien n’étais. Je regarder sa langue valser entre mon point focus et mon bouton et le juste fait de regarder faire me rendais folle chaque minute encore plus….
Je sentais que j’allais virer à la paranoïa… je sentais cet orgasme s’approcher de moi, mais soudain, brusquement, brutalement, il se retira et se mit debout en face de moi…
Enervé, je lui criai presque : mais à quoi tu joues ????
- Le même jeu que toi pendant toute la journée…
Je voulu m’énerver, mais je n’y arrivai pas… cette fente entre son ventre et son pantalon de pyjama ne me permettait plus d’avoir les idées clairs… il le faisait exprès et demain je lui demanderai des explications sur cette manie qu’il avait de faire ça….
Ses muscles répondaient à ses envies, et je le voyais me regarder avec appétit, comme ça, les jambes écartées,à sa merci…. Il se mordille les lèvres avant d’enlever doucement le nœud de son pantalon et de provoquer en moi une émotion sans pareille… ; j’étais pressé, j’étais lasse excitée, mais aussi, j’étais chaude….
- Karim viens s’il te plait….
Chaudasse !!! Me souffla t il avant descendre son pantalon et son membre, mon jouet favori se dressa vers moi… je voulu le prendre mais il se recula doucement le sourire aux lèvres…
- Dès que tu le mettras dans ta bouche, je perdrais la notion du temps. s’il te plait….
Je souris et voulu le prendre quand même mais il me plaqua sur le lit et se mit sur moi….
- Je voulais faire durer cette torture, mais je me rends compte que la seule personne qui souffre c’est moi. Remarque je suis aussi dur qu’un roc…
Je lui chuchote : fais-moi l’amour…
Il hocha la tête en signe de non : ce n’est pas ce que je veux entendre. Car je sais que tu n’en as pas besoin…
Je soupirai d’agacement : Karim….
- Dis-le…
- Rire fais-moi l’amour…. Baise-moi bébé…
Il ferma les yeux avant de se mordiller la lèvre. Merde cet homme veut me tuer… et ce membre qui est toujours en face de mon intimité. Aussi dur qu’une pierre.
Les bras emprisonnés par les tiens, je ne pouvais rien faire… mais alors que je voulais me rebeller il s’enfonça d’un coup sec, me faisant crier en même temps. Cette fois ci il ne m’empêcha pas de gémir, je savais qu’il adorait quand le plaisir me mettait dans cet état….
Il me donnait de violents coups de rein et je ne pouvais m’empêcher de ne pas crier, c’était plus fort que moi…
Il faisait un froid de canard sur Bricktown mais nous étions tous les deux en sueurs, et les yeux fermés, je l’entendais me chuchoter ces mots….
« My god !!!! YOU RE SO GOOD …. YA NEKH BABE (tu es si bonne babe) »
- Vas-y plus fort….
- Plus fort que ce que je fais ? (da nga beugu deh khana ? tu veux mourir ????
Je souris mais je sentis le plaisir me monter à la tête…. Karim lui y était déjà arrivé mais mon entre jambe était en feu. je n’avais jamais vécu une romance aussi brutale et aussi douce en même temps…. il criait lui aussi gémissait et soudain je sentis cette onde liquide chaude bruler dans mon intimité, me faisant crier comme une bête, ramenant et multipliant mon orgasme comme jamais….
Karim me serrait dans ses bras pendant qu’on jouissait ensemble dans le même rythme….
Oh mon Dieu, quel homme….
Voici a quoi ressemble ma vie depuis notre arrivée a oklahoma city… mon mari faisait de moi une femme accro a lui et qui n'avait pas le temps de s'ennuyer…
Karim : bébé…
- Hum
- Sais tu que je suis entrain de retomber amoureux de toi ??? Encore plus que je ne le suis ?
- Hahaha
- On recommence ?
- Karim non…
Papa….
La voix de soukeyna me sauve de justesse… karim me fit un clin d'œil avant de se lever pour ouvrir la porte a sa fille. J'adore cet homme… jadore ma vie…
A suivre.
