Les animaux fantastiques.
S'asseoir sur se siège, s'habituer du son et se préparer à rentrer à nouveau dans cet univers. La musique donnait le top départ du film et les images de synthèses se succédèrent. L'excitation des retrouvailles avec les personnages, retrouver leur essence qui les rendait vivant, réel. La posture voûtée, la sensation d'être de trop caractérisait Norbert. Il était lui-même, incroyablement rêveur. Il inspirera bon nombre de garçons, qui ne se voyaient pas en l'image de l'homme parfait. Non lui, il ne parlait pas la langue des humains mais celles des animaux. Sa langue s'écrasait dans son palais quand il devait parler. Le toucher avec ces êtres résonnait plus. Son charisme ne se situait pas dans ses muscles mais dans sa capacité à être lui-même. Eddy Redmayne était dans les standards de beauté mais dans ce rôle, il incarnait la simplicité. Comme disait Dumbledore il était à la recherche de ce qui était juste et pas du pouvoir. Dans son monde, qu'il transportait dans sa valise, il était d'abord l'ami avant le maître, l'amoureux de ces bêtes. Cette fascination pour lui venait de l'envie d'être en sa compagnie, de soigner ces animaux si majestueux, surnaturels mais dans la réalité, ils l'étaient aussi. Ce film n'était pas un remake d'Harry Potter. Non il était un nouveau souffle dans le monde des sorciers, une nouvelle touche de magie dans l'imagination des gens.
VOUS LISEZ
Apprentie Optimiste
PoetryJ'ai besoin de mettre des mots sur les sentiments, comme si écrire me permet de me libérer, de pouvoir m'exprimer. Parler de ce qui me tient à cœur, des vérités qui peuvent être changées. Soixante milles pensées se bousculent et ma plume en attrape...
