« The sun is also a star » de Nicola Yoon
Je voulais retrouver des passages que j'ai adoré mais tant pis, de toute façon, ce livre mérite d'être réécrit entièrement dans ce carnet, en tant que citation à ne pas oublier. Daniel est d'origine coréen et Natasha est née en Jamaïque. J'ai découvert une culture que je ne connaissais pas, la pauvreté, la sensation de perdre ses racines (comme les parents de Daniel qui refusent qu'il soit avec une Noire)
''que c'est important pour toi, et je voudrais vraiment te donner une bonne raison. Mais la vérité, c'est que je me fiche de connaître cette raison. Je suis peut-être naïf, mais je n'en ai absolument rien à cirer de l'opinion que les gens ont de nous. Je m'en fiche, si on représente une étrangeté à leurs yeux, et qu'ils y voient une opinion politique [...] Ce qui m'importe, c'est toi, et je suis sûr que l'amour suffit à surmonter toutes ces conneries. Parce que ce sont des conneries. Tous ces discours inquiets. Toutes ces discussions sur le choc des cultures, de la préservation des cultures et ce qui arrivera aux enfants'' p 391 quand Daniel explique à Natasha que les regards des passants dans le quartier, interloquent la Jamaïquenne.
Ils avaient une journée pour tomber amoureux avant que Natasha soit expulsée, c'est magnifique et pour certain utopique. Mais je suis certaine que lorsque le temps est compté , tout devient plus fort. On comprend que la vie peut s'arrêter à chaque instant. Une journée suffit à tout faire basculer. Un accident, une maladie, une expulsion et même l'amour. Tant pis, si c'est temporaire, de toute façon ça finit par la mort. Alors j'ai envie de profiter de tous ces moments, où je suis encore sur cette Terre, rien de plus » Dimanche 3 juin à 10h32
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Apprentie Optimiste
PoesiaJ'ai besoin de mettre des mots sur les sentiments, comme si écrire me permet de me libérer, de pouvoir m'exprimer. Parler de ce qui me tient à cœur, des vérités qui peuvent être changées. Soixante milles pensées se bousculent et ma plume en attrape...
