Kamilia : ledya, Nous allons rencontrer chez nous
Ledya : d'accord
Et ils sont partis,
Yannis : cv !
Ledya : oui tranquille et toi !
Yannis : non
Ledya : pourquoi !
Yannis : je ne suis pas comme toi, je ne peux pas être heureux et nous ne somme pas ensemble.
Ledya avait les yeux rouges, elle était énervée comme elle veut le tuer
Ledya (rire énervé, en hurlant): quoi ! Ce n'est pas suffisant pour toi que tu m'as brisé le cœur ! Tu m'as cassé, chaque jour je dormais en pleurant et je me lève en pleurant, t'as cru que je n'ai pas eu un Chagrin, haine, peine ..., t'as pensé que j'étais contente de dormir sans entendre ta voix, de passer une journée sans te voir sans rigoler avec toi ! Discuter ! J'ai pensé à toi tous les jours, j'ai rêvé de toi, parlé sauf de toi, prie pour toi, aimé que toi, j'ai besoin de toi ...(En pleurant)
Il l'a attrapé au niveau de cou et l'a embrassé, en caressant ses cheveux,
Après 15 minutes (mdr) ils ont arrêté
Une mèche de cheveux recouvrait son visage (Lydia), il s'approcha lentement d'elle et l'écarta
Yannis : je t'aime ma folle
Ledya : t'es qui !
Yannis : d'accord, tu veux jouer, on joue
Ledya : vas-y, on rentre chez moi, faut que j'aide les filles à ramasser et faire les taches ménagères. On va faire une petite fête juste nous 7 les 4 filles et les 3 gars
A la voiture,
Ledya : Yannis !
Yannis : les yeux de Yannis
Ledya : arrête, quand tu dis comme ça j'oublie ce que j'ai voulu dire
Yannis (sourire charmant come d'hab.) : vas-y
Ledya : euh, bah, je sais l'histoire de travaille de ta sœur, je suis désolé mais
Yannis : c'est bon Lydia, ferme ce sujet
Ledya : attends, je ne suis pas ta sœur moi. Je travaille un job simple au restaurant ou je ne sais pas, (attrapant sa main et caressant ses cheveux, et parlant avec une douce voix) yannis regarde faut que je travaille pour aider les filles, je ne peux pas les laisser seules.
Yannis : après je vais voir
Ledya : non, voit maintenant
Yannis : la merde, d'accord mais pas restaurant, magasin oui et qui vendent dedans des vêtements des filles oui
Ledya (rigolant) : t'es trop jaloux toi (l'embrasser à sa joue) : merci bébé
Yaniss : et l'autre coté ! Ce n'est pas bien d'embrasser un seul côté
Ledya : hahahaha , non c'est trop bien
.Leurs petite fête a bien passée, ils ont joué, s'amuser, manger après les hommes sont partis
.
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Ledya : les filles, je suis tellement heureuse, j'ai peur
Celia : on va toujours être heureuses, tqt
Celia : kamilia !!
Ledya : Clara !!
Kamilia et Clara dormaient
Ledya : des poules
Celia (rigolant)
Kamilia : shuuu
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Aujourd'hui c'est la grande fête du lycée pour dire au revoir aux étudiants de 3emme année
Les filles ont bien habillées même les hommes,
La fête a bien passé, la musique, la bouffe ...
Kamilia : je vais prendre un verre d'eau
Celia : je viens
Wassim : d'accord
.
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Un gars : t'as des seines magnifique
Kamilia : quoi ! Fdp répètes ce que t'as dit
Celia : kamilia, c'est bon, ne parle pas avec des gens mal éduqués comme celui là
Le gars : ouah, alors kamilia, ton prénom et belle comme toi
Kamilia : casses-toi, vas-y, barres de là sinon
Wassim. Vient ...il bombarde le visage du garsAli et yannis essayent de les séparer
Le gars : tu n'es pas le gars de moto !
Wassim oui et après
Kamilia (attrapant son visage) : ne l'écoute pas
Le gars : d'accord, on va te voir dehors, qu'est ce que tu feras sur la moto
Wassim : d'accord, on verra
Le gar : (s'approcha d'elle en touchant ses cheveux)
Wassim (lui a sauté dessus): Fdp, tu te prends pour qui toi, fils de pute, **************
Wassim (en hurlant) : je vais l'éclater
Kamilia : non, n'aller pas ! Attention Wassim !
Wassim : oui, oui
Le gar est parti avec le sang partoutLa fête est terminée, Wassim et kamilia arrivent devant chez kami
Kamilia : tu vas aller chez toi
Wassim : oui, bien sur
Kamilia : d'accord, bonne nuit ma vie (l'embrasser à sa joue) et retourna pour entrer chez elle
Wassim l'attrapa de son cou et l'embrassa
Wassim : c'est comme ça qu'on dit bonne nuit
Kamilia : euh, bah, bay
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Le Destin Des Orphelines 💜
Romancele destin joue son rôle 4 filles à un moment deviennent des orphelines mais sont-elles vraiment ?