Le noire. Je ne vois plus rien, je ne ressens plus rien. Des chaines, ces se que j'ai accroches a mes pieds. Elles m'empêches de partir, de courir loin de cette prison. Une drole d'odeur m'entoure. C'est un melange de sang ainsi que de sueur. Une atmosphere lugubre se propage dans mon enclos. Le squelette en face de moi me joche de ses deux trous qu'ils lui servent d'oeuils. Il se moque de moi et de ma poisse legendaire. Elle est aussi connu que Garp le heros de la marine. A bien y penssee c'etait attendue que je me retrouve encore une fois emprisonnee par un fous furieux. Cette fois, ce malade se nomme Karkasin, et roulement de tambour . . . ce n'est pas un homme-poisson. Hahahaha, je vous ai bien eu. Non, il n'est rien d'autre qu'une sorte de creature issu du croisement d'un lion et d'un taureau.
Mon Coeur me fait mal. les coups que j'ai reçu se font sentir. Car voyez-vous, cette chère anomalie a un malin plaisir de me défoncer la poitrine. Et c'est maintenant que je resents la douleur, maintenant que la fin me rattrape. Cela fait trois jours que je me suis fait capturer par Jason. Jason, cet enfant que j'ai crus devenir mon nouvel Nakama de voyage, m'a trahis avant meme le commencent de nos aventures. Heureusement que je ne lui avait pas fait part de ma découverte. Mon compas est encore dans ma blouse déchiqueté. Allez savoir par quelle miracle Karkasin ne l'a pas encore trouvée. Le sang coagulée dans mon ventre me fait mal. J'ai l'impression qu'on me déchire ma chaire, bout par bout.
-AHHHHHHHHHHH !; que je gémis de toute mes forces.
-Tais-toi, on dore ici. . . J'AI DIS TA GUEUL ! ; me hurle avec grace et empathie Karkasin.
-Uh . . . Ahhhhhhh !; que je hurle plus fort après qu'il m'aie gentiment fouettée au ventre, le centre de mon mal.
Je me mords ferrocement la lèvre, de peur que mes cris ne reveille en lui le monstre qu'il est. Peine perdu, il me rue de coups de plus en plus fort. Encore, encore, ses éclats de rires graisseux emplissent mes oreilles. Il prend plaisir a me frapper, a m'humilier. Ses acolytes se réveillent au son de jouissance de leur chef. Ils l'entourent de chaque cotes de ses bras et l'encouragent a continuer. Bientôt le cris me sont assourdis. Comme si mon ouïe se détériorait. Peut-être c'était le cas, mais je ne le saurais jamais. Après ces coups, mon corps me lâche pour le meilleur ou pour le pire. Je sombre de nouveaux dans l'inconscience.
-CALYPSO. . . CALYPSO . . . REVEILLE-TOI MA CHERIS
-Ou suis-je et qui etes vous ? . . .
j'étais dans un drôle d'endroit. C'était comme une grande salle. Elle était spacieuse et claire. Plusieurs peintures se trouvées dans ce lieux. J'avais l'impression qu'elles me parlaient qu'elles voulaient me transmettre un message. La premiere illustrée un pirate. Je l'ai reconnue grace au chapeau pourvu d'un crane de mort. Le pirate avait l'aire d'un homme sans age. Il avait un barbe courte et brune. Dans sa main se trouvée une bouteille de rhume. Pour finir dans sa main gauche se cachait un compas. Bizarrement, cet objet me semblait familier. L'autre tableaux illustrait une dame dans la vingtaines d'années. Elle était belle, jeune et avait l'aire intelligente. Elle était habille d'une belle robe rouge qui mariait a merveille ses courbes prononces. Plusieurs fleurs de couleur feus décoraient sa longue chevelure orangée. Elle dégageait une aura de puissance et d'autorité, sans pour autant faire peur. Ces deux peintures avaient l'aire, malgré leurs grandes differences de personnages, de se complétaient. Les autres peintures avaient l'aire de raconter une histoire. L'histoire de ces personnages.
-Oui, tu as raison. . ., me dit une presence fantomatique derriere moi. Ils étaient beaux et forts tes . . .
Je n ai pas eu la chance d 'entendre la fin de sa phrase qu' une bourrasque de vent vient étouffer ses paroles.
-Je n ai pas beaucoup de temps en ma possession, Calypso, mais il faut que tu t oppose au mal que tu subits. Bats-toi avec fierté et courage contre ces corrompus qui t'on emprisonner.
Et puis ses mots deviennent de plus en plus fort.
BATS-TOI. BATS-TOI. BATS-TOI. ENCORE , PLUS FORT. BATS-TOI. BATS-TOI. BATS-TOI.
Je me retourne a la recherche de la voix qui m'ordonne de me battre. Je ne la trouve pas. Je la cherche, l'implore de me soulager de sa presence. Malheureusement, elle a disparu pour de bon, ses dernières paroles faisant echo dans mon esprit.
Puis la salle blanche devient noir, et les tableaux disparaissent. Je me reveille enfin dans ma cage, ma prison, les derniers fragments de mon rêve tourmentant mon esprit embrumé.
Je regarde au tour de moi et ma solitude me frappe. Ma faim aussi m'étonne. Depuis combien de temps sui-je reste enfermée dans cette piece ? La chaleur du soleil me manque, l'aire pure aussi. Mes blessures ne font qu'empirer mon état émotionnelle. Les coups de fouets d'hier ne se sont pas refermés et j'arrive a peine a bouger mes jambes.
Pourquoi m'ont-ils captures ? Si ils espéraient une rançon, c'est peine perdu. Je ne pense pas que Luffy et les autres soit en disposition de le faire. Et les villageois de Cocoyaville en étaient exterminés. Je suis la seul qui pourra garantir ma liberté. La seul que je devrais compter dessus. Je suis seul malgré tout. Je suis seul.
Tout d'un coup, la boussole cachait dans mes vetements dechiquetes me brule. J'ai l'impression que c'est un bout de charbon fondu qui a pris sa place. Mai d'un seule coup, comme si la chaleur c'etait calme par ma peur ou ma colere, elle disparaissa. Elle fut remplacee par une douce chaleur familiere. Sussitant ma curiosite, je decida de prendre en ma procession la boussole et commenca son etude. Quelle fut ma stupefaction quand je me rendis compte d'un detail qui me parue anodin les jour passes.
Un cercle était la seule decoration de cette objet. Plusieurs trous symétriques portant l'inscription de villes ou de noms inconnues. Astrame, Albistame, Lincalme, Marie Jose, Punk Hazard, Prisma, Ontalisma, Brasilan, Athenali, ZebraChane, Heliane, Flambidrane. Le fond de ces trous étaient verts, et avec mon obsession pour les trésors, j'ai appris qu'un objet précieux s'y était placés. D'après la couleur, ca devait être des émeraudes. Et d'après la taille ds trous, ils ne devaient pas être plus gros qu'un petit caillou.
En cherchant plus d'indices sur ces mystérieuses decorations, j'ai maladroitement ouvert (ou cassé ) le couvercle de la partie boussole de mon objet. Précipitamment, un papier jauni par le temps s'en échappa. Après quelques secondes de stupéfactions, je me pencha pour reprendre le fragile bout de papier. En l'ouvrant une drôle d'odeur de coquillage mêlée a des effluves d'orange attaqua mes narines. Sur ce mini-parchemin déchiré avec hate une seule phrase ou plutôt, une seule adresse :
31 Avenue Est, Bakestseert, Albistame, 4018 immeuble, étage 12, troisième porte a gauche. A 15h15. . .
Par contre bientôt je remarqua que quelque lettres, beaucoup plus petites, étaient inscrites sous le message principal :
. . . LA OU LE COEUR DE DAVY JOHN NE POURRA JAMAIS BATTRE. . .
A SUIVRE . . .
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Le secret de Nami
FanfictionEt si je changeais le court de l'histoire. Et si Nami n'avait pas attirer sur une Skyland. Et si l'instinct de Nami pour le temps est plus fort. Et si je rajoutais un peu de piquant a l'histoire ? Voila ce que je vous propose: de l'intrigue, de l'a...