La lune s'élève dans la nuit,
Belle, femme et fille,
Elle se reflète dans l'eau,
Ses rêves sont si beaux.L'encre du ciel l'étreint,
L'obscurité la cache du lendemain.
Et la ronde déesse d'argent
S'aime sans amant.Les frissons la dévorent,
Elle frémis sous le regard des étoiles,
Doucement la hape la mort
Sans pourtant lui faire de mal.Des autres, elle n'a nul besoins.
Solitaire, elle a les cartes en main.
Oubliant son cœur de bohème,
La lune s'aime elle même.Dredre
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Poesya II. Mundus Illusionis
Poetry(Ce recueil est comme une suite à Somnium Terra) Puisque dans nos coeurs fleurissent les rêves et les illusions, Puisque les peurs nous enchainent tel des démons, Puisque l'espoir est une fleur à bercer de douceur, Et la vie, un havre de peines et...