L'aimant attire à lui,
Tous les métaux fortuits,
Attraction sans issue,
Qu'ils soient droits ou tordus.
Mais l'aimant à tout tort,
Plie le droit et le tord
Dans de sombres méandres,
Réduisant l'or en cendre.
Il le détruit, fumée
Qui emplie l'atelier.
Et de tristes pensés,
L'aimant se sent fautif.
Fautif, il l'est, malheur !
Le bel argent se meurt,
Perdant ses belles couleurs.
L'aimant se sent nocif.
Attractif et toxique,
L'aimant mélancolique,
Pense à ses attirés,
De leur joie, délestés.
Dredre
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Poesya II. Mundus Illusionis
Poetry(Ce recueil est comme une suite à Somnium Terra) Puisque dans nos coeurs fleurissent les rêves et les illusions, Puisque les peurs nous enchainent tel des démons, Puisque l'espoir est une fleur à bercer de douceur, Et la vie, un havre de peines et...
