07.

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Ayhan: Donc...
(Il se tient l'arête du nez)
Tu m'empêches de dormir pour des conneries pareilles?

Je crois qu'il commençait à s'énerver.
Et ça me faisait un peur, déjà parce qu'une grosse veine est soudainement apparue et pulsait dans son cou.

Lyana: Ce ne sont pas des conneries pour...

Ayhan: Si, ce sont de véritables conneries!
Si tu peux pas dormir et bien casse toi! Me dit-il violement.

Ayhan: Tu sais bien que c'est soit ça, soit tu te dessappes.
C'est comme tu veux. Mais décide toi vite.

C'est un vrai dilemme. Pour certains ce sera sûrement mais pourquoi elle fait la belle ?
Déshabille toi et puis c'est tout. Et bien pour moi c'est plus que ça. Tout d'abord parce que c'est mon patron et ensuite parce que c'est un homme que je ne connais pas.

En plus de tout ça ce n'est pas mon mari. Donc voilà quoi.

Mais bon je ne vais pas rester éveillé toute la nuit sinon demain je serais complètement morte de fatigue.

Et je risque de me faire virer.

J'enleva tout d'abord mon débardeur.
Mes seins étaient à présent nus.

Je me sentais autant malaisé qu'à l'aise. Je ne savais pas si il le regardait ou pas mais bon j'étais dos à lui.

Oui ce fut au tour de mon short.
Je le baissa de la manière la plus lente possible.

Je ne sais pas pourquoi mais j'avais le besoin puissant qu'il me désire et qu'il ait envie de mon corps, de moi tout entière.

Il ne restait plus sincères moi que ma culotte en dentelle noire.

Il ne restait plus sincères moi que ma culotte en dentelle noire

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Mais bon avec mes fesses ça donne un truc plus... Comment dire?
Bombé.

Je le sentais bouger sur le lit comme si il se rapprochait petit à petit.

Ma peau se mise à frissonner et mes tétons à se durcir.
C'est la première fois de ma vie que je ressens quelque chose comme ça.

À un moment donné j'étais sûre qu'il était tout près de moi.

Au dessus de mon épaule, juste à côté de mon cou, il était là.

Je sentais son souffle chaud et j'entendais sa respiration un tout petit peu saccadée.

Tandis que la mienne était presque coupée. Puis tout à coup sans que je m'y attende il fit ce que je redoutait le plus de sa part.

Il me toucha.
Pas avec se doigts non avec ses lèvres.

Il m'embrassa dans le cou, puis descendit sur mon épaule.

Mon épiderme devint tout soudainement sensible, mes sens sont en éveil.

Et je ressens quelque chose dans mon ventre.
C'est très étrange mais on dirait que c'est chaud ou alors que quelque chose flotte et gigote à l'intérieur.

En fait je sais ne pas trop comment l'expliquer.
À un moment il entoura mon ventre de son gros bras musclé.

L'air se réchauffait peu à peu et je sentais bien la tension qui régnait dans la pièce.

Il remonta sa main qui caressait mon ventre de manière lente et sensuelle.

Jusqu'à mes seins. Il se mit à les toucher, les sous peser.
Mais l'instant fatidique fut quand il me dit:

Ayhan: Putain... Je ne vais pas pouvoir me retenir de te toucher plus Lyana.
Je sens que c'est plus fort que moi. Ton corps est tellement..hmm indescriptible.

Lyana: Monsieur...
Quand je dis cela il se mit à grogner et à ronronner dans mon cou.

Ayhan: J'adore quand tu m'appelles comme ça et surtout maintenant.
C'est encore plus excitant.

Plus il parlait et plus je me sentais excité.

Je sentais quelque chose s'écouler de mon entrejambe.
J'eus soudainement peur. Car mes règles sont finis et elles ne seront là que le mois prochain.

Lyana : Monsieur ?

Ayhan : Hmm (en continuant de m'embrasser le cou)

Lyana: En fait il y a...

Ayhan : Dis moi Lyana. Ne soit pas gêné de me faire part de tes doutes et de tes peurs par rapport à tout ça. Je veux tout t'apprendre.

Ce qu'il dit me troubla vraiment.
Qu'est-ce qu'il veut m'apprendre ?
Mais bon je ne crois que ce soit le moment de lui de demander tout ça.
Ou peut être que si.

Lyana: Je voulais vous dire que... je sentais quelque chose qui coulait d'entre mes cuisses.
Et je sais que ce n'est pas mes règles donc... Je me demandais si vous saviez ce que c'est ?

Dans l'attente de sa réponse, j'étais plus qu'inquiète.
Et si ce n'était pas normal qu'est ce que je ferait?

Puis j'entendis un rire.
Un rire guttural résonna dans la pièce.

Ayhan: Mais
bien sûre que je sais ce que c'est.

Lyana: Alors dites-moi que c'est pas grave, rassurez moi.

Ayhan : En fait ça s'appelle mouille.
Enfin c'est comme ça qu'on l'appelle.

Lyana: Et pourquoi j'ai de la mouille ?
Je suis malade c'est ça ??!

Ayhan: Non.
Au contraire tu es totalement normale.
Tu mouilles parce que tu es excité et donc tu produis ce liquide.

Lyana: Ah d'accord tout s'explique.

Mais avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, il gobat mon sein droit tout en triturant le gauche.

Je gémissais tellement qu'il eut un rire amusé.
Mais c'est tout simplement parce que je ne sais rien de ces choses là.

Lyana: N..non monsieur je ne crois pas que ce soit...

Il fit la même chose au gauche, ne délaissant pas le droit pour autant.

Ce qui me fit lâcher un cri encore plus fort.
Mais est quoi cette sensation?
C'est tellement bon mis en même temps, c'est si inhabituel.

Je sentais quelque chose monter en moi.
Comme si mon ventre allait imploser.
Je me sens comme si mon entrejambe pulsait de plus en plus fort.
C'est vraiment extraordinaire.

J'allais bientôt crier tellement il me faisait du bien.

Puis tout d'un coup, plus rien...

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Lyana: Ma BonneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant