You're My Heart, You're My Soul (Modern Talking Fanfiction)

Chapitre 15

(Ce chapitre se passe pendant la même journée que le précédent)

PDV Dieter

Il est 22 heures et je suis avec Thomas, devant la télé depuis au moins une heure et demie. Et je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que Thomas est différent ce soir. Parce qu'il s'est rapproché de moi. D'habitude c'est moi qui l'incite à se rapprocher quand on est tout les deux sur le canapé mais ce soir, il est venu tout seul. Au début de la soirée, nous étions séparé de quelques centimètres mais Thomas à soudainement brisé cet écart en se rapprochant. Il s'est collé à moi et à posé sa tête sur mon épaule droite. J'ai donc penché un peu ma tête sur le côté, pour pouvoir la poser sur la sienne et j'ai pris ses mains.

Qu'est ce que j'adore ces moments ! Ces moments où nous sommes tout les deux, tranquille, que personne ne peut nous déranger. Et c'est pendant ces moments là que je me rend compte à quel point j'aime cet homme et à quel point j'ai de la chance de l'avoir. Et c'est, aussi, pendant ces moments que j'essaye de lui montrer et de lui transmettre mon amour. Et je sais qu'il essaye de faire de même.

À vrai dire, je commence un peu à m'ennuyer. Parce que les programmes à la télé sont vraiment inintéressants. Mais je suis étonné de voir que Thomas ne s'est pas endormi. Ça me fais de la peine de me séparer de lui mais je préfère aller dormir.

- Excuse moi Tom mais j'aimerais me lever", lui dis-je, pour le prévenir.

Il relève alors sa tête et s'asseoit normalement mais toujours tourné vers moi. Il me regarde avec un air triste, sûrement pour me faire comprendre qu'il aurait préféré rester contre moi. Mais au fond de ses yeux je pouvait voir ce qui semblait être de l'inquiétude. Je ne lui en parle pas, n'osant pas. Je lui sourit et m'avance vers lui. Je l'embrasse et me lève.

"Où tu vas ?, me demande Thomas

- Je vais me coucher, la télé m'ennuie trop, lui répondis-je en souriant.

- Alors je viens aussi, me dit-il en éteignant la télé et en se levant.

- Thomas, t'es sûr que ça va ? Tu as l'air bizarre ce soir ?, je finit par lui demander, débordant d'inquiétude.

- Mais oui je vais bien ne t'inquiète pas !", me répond mon compagnon, en essayant de me rassurer.

Puis je décide de partir en direction de la salle de bain pour me préparer. Thomas, lui, se balade dans l'appartement.
Je me lave les dents, et me change. Je met un short et enlève mon tee-shirt parce que j'ai pris l'habitude de dormir torse nu. Je sors et me dirige dans la chambre. Thomas n'y est pas. Mais en me retournant je me rend compte que le salon est encore allumé. Il doit être entrain de chercher quelque chose. Je le laisse faire et plie mes vêtements sur le lit. J'entend alors Thomas éteindre la lumière et traverser le couloir. Je ne fais qu'entendre parce que je suis dos au couloir. Je fini de plier mes vêtements et me redresse pour aller les ranger.

Et puis, soudain, je sens des mains se poser sur mes hanches. Je sens alors tout mes muscles se contracter. Je prend quelques secondes avant de reprendre mes esprits. Je décide alors de me retourner, même si je sais qui est derrière moi. Je fais donc un tour sur moi-même et me retrouve nez à nez avec Thomas, torse nu aussi. Je le regarde de haut en bas, les yeux écarquillés. Il me sourit avec timidité. Moi je suis tétanisé, je ne sais pas quoi faire. Rien ne se passe pendant plusieurs secondes jusqu'à ce que Thomas se rapproche de moi et vienne m'embrasser. Je ferme les yeux et profite de cet instant. Mais je sens que quelque chose est différent. Je ressens quelque chose de différent. J'ai de petites douleurs agréables dans l'estomac et je sens mon corps se réchauffer. J'aime cette sensation, donc je prend part au baiser de Thomas et je l'intensifie, voulant que cette sensation continue d'envahir mon corps.

Ce qui était d'abord un baiser chaste est finalement devenu passionné. On essaye de respirer comme on peut, ne voulant pas se lâcher. Emporté par la fougue, je prend le visage de Thomas entre mes mains tandis que lui, met les siennes dans mon dos, en s'amusant par moment à me griffer.
Plus le temps passe et plus je sens une chaleur particulière grandir dans mon bas-ventre. Puis je fini par sentir que je recule. J'ouvre les yeux et voit Thomas, qui me pousse délicatement de plus en plus près du lit jusqu'à ce que je tombe sur celui-ci. J'en profite pour reprendre mon souffle, en attendant patiemment la suite. Thomas fini par me rejoindre. Il monte sur le lit tel un chat, ce qui me fais sourire. Puis il vint se mettre à califourchon sur moi pour ensuite venir m'embrasser dans le cou, ce qui me fait souffler d'aise.

Il continue son chemin sur toutes les parties dénudées de mon corps pour finalement s'arrêter juste avant mon short. J'arrive de moins en moins à respirer et je commence à me sentir à l'étroit sous le seul tissu qui recouvre une partie de mon corps.
Je commence alors à lâcher de petits gémissements, en voulant plus. Thomas reste sans rien faire pendant quelques secondes. Enfin il se contentait juste de me caresser le torse. Mais j'en voulais plus donc j'ai prit ses bras et je me suis retourné pour qu'on puisse échanger les rôles. C'est maintenant moi qui suis à califourchon sur lui. Je décide alors de lui faire les même choses qu'il m'a fait. Mais il prend beaucoup moins de temps à s'exciter. Il commence lui aussi à gémir tout en essayant de respirer correctement.
Puis je pris l'initiative de passer ma main sous le seul tissu qui le recouvrait. Je l'entend alors couper sa respiration. Alors je commence à caresser cet endroit sensible de son corps. Je le vois se crisper et gémir, et évidemment tout ça me fait gémir moi aussi. Après plusieurs dizaines de secondes je décide d'arrêter ma douce torture pour me reculer. Je me retrouve alors devant ses genoux car il a plier ses jambes, sûrement à cause du plaisir. J'entreprend alors de lui retirer cet obstacle qui lui sert de vêtement. Je le jette par terre et écarte les jambes de mon compagnon pour pouvoir me frayer un chemin. Je profite de ce moment pour embrasser l'intérieur de ses cuisses ce qui le fait gémir encore plus. Puis je m'avance encore assez haut pour pouvoir l'embrasser. Nous n'avons pas beaucoup de souffle ce qu'il fait que ça ne dure pas très longtemps mais juste après il recommence à faire de petit bruits très plaisant. Je l'entend alors murmurer mon prénom entre deux gémissements. Je pense qu'il en veut plus. Donc je retire mon short et me recule une nouvelle fois, prend ses jambes et les soulève pour les mettre sur mes épaules. Puis je me place, de façon à pouvoir m'introduire en lui. Puis je le regarde, essoufflé. Il relève un peu la tête et me fais un signe positif.

Je donne alors un coup de reins léger pour qu'il puisse s'habituer. Je commence à gémir bruyamment alors que je vois le visage de Thomas se crisper et des larmes couler le long de ses joues. Je recommence doucement d'autres pénétrations et je vois son visage changer d'expression. Il a toujours une expression crispé mais cette fois c'est le résultat du plaisir qui est en train de monter. J'accélère alors la cadence ce qui nous rend de moins en moins discret.
Je n'ai jamais ressenti une sensation pareille. Nous sommes enfermés dans notre bulle, comme si le temps s'était arrêté pour nous laisser nous unir.
Mais après une vingtaine de minutes d'ébats intenses je me vide à l'intérieur de mon amour tout comme celui-ci. Nous sommes essoufflés, pleins de transpiration mais ce n'est pas ces petites choses qui comptent, ce qui compte c'est que Thomas se soit décoincé (oui j'aurai pu le dire autrement mais j'ai trouvé ce mot drôle xD).

Je me couche alors sur Thomas puis utilise les dernières forces qu'il me restent pour nous faire tourner. C'est Thomas qui est maintenant couché sur moi, la tête posée sur mon torse. Je me met alors à lui caresser les cheveux pour lui montrer qu'il est maintenant tranquille et qu'il peut s'endormir.

"C'était magique Dieter, merci, me dit Thomas alors que j'allais sombrer dans le sommeil.

- C'est plutôt moi qui devrait te remercier, tu as fais le premier pas et je suis fier de toi..."

Et c'est sur cette phrase que Thomas s'endormi. Je fis de même quelques secondes plus tard.

Finalement, je trouve cette soirée beaucoup moins ennuyeuse !

À Suivre...