The legend of tarzan

Chapitre 3 : Tarzan

J'avais froid , si froid. Tout était sombre autour de moi, j'avais si peur que cette obscurité m'emporte. Je sentis cependant après un long moment une chaleur m'envahir , puis de nouveau mes yeux s'ouvrir sur un visage , le même que celui de la photo. Cet homme , était penchée sur moi et de son regard bleuté il m'observait. Je sentais ces bras autour de mon corps , me serrant contre lui , comme ci la peur de me perdre était présente en lui. Je sentis également une douleur vive sur mon crane , je ne pouvais ni bouger ni parler. Des larmes s'immisserent sur mes joues , elles étaient la preuve de la peur qui me tiraillait le cœur. Je sentis alors , son bras se détendre et sa main venir sécher mes pleurs , il ne parlait pas , il ne disait rien mais à travers son regard je comprenais que ma situation le touchait. Il devait savoir ce que ça faisait d'être perdu.Autour de nous , se trouvait toute sa famille , si il était celui que je crois , il devait s'agir de gorilles. Certains essayent de s'approcher de moi , afin de me tuer , leurs cris ne me faisait pas penser le contraire mais tarzan restait la impassible et ferme. Depuis mon réveil il était rester à mes cotés , puis pour je ne sais quelle raison il me laissa délicatement tomber sur les feuilles entasser pour faire un lit et s'éloigna. Pourquoi me laisser alors que j'allais me faire tuer ? C'est ce que je crus au début , et c'est la qu'elle est venue. Une gorille , plus petite que les autres. Son regard était remplis d'humanité malgré son état animal. Je me doutais de qui elle était , sa mère khala. Elle se mit à mes cotés , continuant la mission de tarzan. Elle me fit amener dans ses long bras , si chaud et doux. Je m'endormis , plus paisiblement que la nuit précédente. 

La douleur au niveau de ma tête me réveilla , la lueur du jour s'était éteinte laissant place à la nuit. Quelque chose avait été placé sur ma blessure , je ne sentais que très rarement le mal. La lune trônait haute dans le ciel , d'ici je pouvais la voire grande et souveraine. Sa lumière me fit voir tout les gorilles endormi , mon corps refusait toujours de bouger et aucun son ne sortait de ma bouche. Je pouvais cependant bouger la tête. Je vus alors , qu'il ne m'avait pas abandonner , il était la , me serrant contre lui , endormis. Et dire qu'il était tarzan. Il ressemblait à la description qu'on faisait de lui , un homme sauvage gouvernant le monde animal. Ce qui me permis d'avoir un semblant d'espoir était son humanité. Sa respiration était lente et chaude , et la fait qu'il me prenne ainsi contre lui me faisait me sentir en sécurité. Je m'endormis une fois encore plus sereine.

Je le sentis se réveiller à peine l'aube arriver , il me bousculait gentille-ment , mes yeux s'ouvrirent sur son visage , et ce regard. On aurait dit une peinture , tellement il était intense, bleu comme un ciel sans nuage et si enflammé. Autour de lui , la troupe commença à partir. Ne pouvant pas bouger , je gesticulais pour montrer mon désaccord je ne pouvais pas rester ici seul , je mourrais si c'était le cas. Le gorille à la cicatrice s'approcha de nous , il hurla sur mon sauveur d'une force certaine , tarzan fit de même. Khala arriva , se balançant vers tarzan. Le mal partit et la mère de tarzan le suivit. Lui , me prit sur ces épaules , marchant à terre comme les primates. Je ne serais dire combien de temps cela dura , mais à notre arrivée je me retrouva en bas de la cascade. Et dire que je revenais presque au point de départ. Tarzan me lâcha épuisé de la route parcouru. Il s'éloigna quelques secondes pour aller a la rivière pour semble t-il boire. Il revint vers moi , et me fit forcer à ouvrir la bouche pour m'y déposé de l'eau. N'ayant pas la force de moi même me substanter il m'y aida. Je fus surprise de ce geste , il le refit deux fois de suite. Puis il me repris sur son dos avant de nous installer dans une sorte de nid à coté des autres membre de son groupe. C'était fascinant malgré tout ce cauchemars,  de voir comment cet homme n'ayant jamais connu d'homme pouvait se montrer bien plus humains que certains que je connaissais avant. Il partit deux fois , revenant avec des fruits et des sortes de fourmis , il ne me demanda pas mon avis pour manger il m'y força. La nuit arriver , il se coucha à mes cotés. Mais différemment , je comprenais que pour lui la distance ne pouvais pas se faire étend donné qu'il ne comprenait pas ce qu'étais l'intimité. Il passa ces bras sur ma poitrine la serrant. Je sentis malgré la situation mon cœur s'affoler. Cet homme m'avais sauvé la vie et peut être même fait comprendre enfin ce qu'étais la véritable essence de l'humanité.