Chapitre 23

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- Passe moi la plaque phare. Demande Louis.

- Elle est où ?

- Sur la table avec les petites pièces.

Je me relève sur mes genoux et file vers la table le trouver.

Après être rentrer, ma moto à été ramené chez moi. Il l'a fait ramener chez moi. Et maintenant, il veut qu'on l'a répare ensemble, soit disant que c'est plus amusant et que ça renforce ma connection avec ma moto.

J'ai rigolé quand il a dit ça, mais d'un côté il n'a pas tord.

- Tient.

Il l'attrape et commence à l'a viser sur ma moto. Il est concentré et bordel qu'est ce qu'il est beau, je l'avoue.

- Remplace les carnages arrière au lieu de me mater.

Je sursaute surprise par sa parole. Je souris et pars de l'autre côté de ma moto et m'assoie en face de lui. Seul ma moto nous sépare. Ses jambes en dessous de celle-ci touchent mes jambes que j'ai allongé et je commence à deviser les carnages amochés et les remplacer.

- Tu peux me passer la clef à côté de toi, pour viser.

Louis me l'a tend en posant ses bras croisés sur ma selle.

- Enlève tes mains de ma selle, grogné-je, tu vas l'a salir.

- Ah oui ? Vraiment ?

Il étale ses bras dessus.

- Louis ! Ma selle !

Je me redresse et fais le tour pour le pousser au sol.

Louis éclate de rire et m'attrape ma cheville.

- Tu m'as poussé ?!

Il tire sur ma cheville et ça me déséquilibre. Je me rattrape à ma moto.

- Louis !

Il rigole et recommence. Cette fois-ci je m'y attendais pas et mon corps bascule sur lui. Je lâche un cri mais mes bras sont retenu par les mains de Louis tandis que mon corps s'écrase contre lui.

- Oh la vache !

- Quoi !

- Tu pèses une tonne ou quoi, je suis sur tu m'as cassé une côte.

- À qui la faute ! T'avais pas qu'à me faire tomber sale bourin.

J'accentue ma phrase en le tapant au torse.

- Tu m'as traité de quoi là ... Répète.

Je mords les lèvres en faisant signe que je me tais.

Il passe ses mains dans mes cheveux et me rapproche de lui. Ses lèvres atteignent les miennes alors que sa main bascule vers le bas de mon dos en froisant mon débardeur.

Ses lèvres s'accrochent plus aux miennes alors que ses doigts aggripent ma peau. Nos respirations se font plus intenses et mes mains attrapent ses cheveux pour m'aider à me calmer.

Louis colle son bassin aux miens en baissant sa main droite qui était posée dans mes cheveux vers le haut de mon dos. Elle frôle mon sous-vêtement alors qu'il tente de le dégraffer.

Je rigole et me détache de lui en le voyant rager.

- On va vraiment faire ça dans un garage ?

Louis ouvre enfin ses yeux et reprend de l'air.

Il retire ses mains et se redresse sur ses coudes. Mon corps qui était assis sur lui se redresse pour éviter de l'écraser.

- Non. T'as raison ...

Ride, my dreamOù les histoires vivent. Découvrez maintenant